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Conference, studio visit and DJset - Gerwald Rockenschaub Project
Conference, studio visit and DJset - Gerwald Rockenschaub

Conference, studio visit and DJset - Gerwald Rockenschaub 20.11.2012, Conférence, DJset et studio visit de Gerwald Rockenschaub L artiste autrichien Gerwald Rockenschaub (né en 1952) est associé depuis le début des années 1980 à la mouvance néo-géo qui emploie le vocabulaire plastique de l avant-garde abstraite. Le néo-géo a instillé la symbolique consumériste du pop art dans l art minimal américain. Pour autant, les oeuvres de Rockenschaub ne sauraient se cantonner dans une catégorie de style. Ses animations Flash, ses Pralinen et ses Intarsien ancrés dans la tradition du tableau de chevalet, ses objets muraux, ses sculptures et ses installations se nourrissent autant des thèmes de la modernité que de notre culture quotidienne. Ils en extraient la quintessence par le biais de la simplification et la condensation radicales qui sont les deux fondements de la méthode de Rockenschaub. Il est également actif dans le domaine de la musique électronique. 20.11.2012, Conférence, DJset et studio visit de Gerwald Rockenschaub L artiste autrichien Gerwald Rockenschaub (né en 1952) est associé depuis le début des années 1980 à la mouvance néo-géo qui emploie le vocabulaire plastique de l avant-garde abstraite. Le néo-géo a instillé la symbolique consumériste du pop art dans l art minimal américain. Pour autant, les oeuvres de Rockenschaub ne sauraient se cantonner dans une catégorie de style. Ses animations Flash, ses Pralinen et ses Intarsien ancrés dans la tradition du tableau de chevalet, ses objets muraux, ses sculptures et ses installations se nourrissent autant des thèmes de la modernité que de notre culture quotidienne. Ils en extraient la quintessence par le biais de la simplification et la condensation radicales qui sont les deux fondements de la méthode de Rockenschaub. Il est également actif dans le domaine de la musique électronique.

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ECAL Conference: Willem de Rooij Event

ECAL Conference: Willem de Rooij,14.11.2012,IKEA Auditorium, ECAL ECAL Conference: Willem de Rooij – Artist, Berlin Dans le cadre du programme d échange 2012-2013 entre le Master Arts Visuels de l ECAL et la Staatliche Hochschule für Bildende Künste –Städelschule, Frankfurt am Main Willem de Rooij, Artiste, Berlin

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Willem de Rooij Project
Willem de Rooij

Willem de Rooij 13.11.2012, Conférence et “ studio visit  ” de Willem de Rooij, artiste Au cours des cinq dernières années, la notion de « référencialité » ou les techniques permettant de passer outre les références extérieures sont devenues des éléments importants dans le travail de Willem de Rooij. Tout au long de sa carrière, l artiste a analysé les conventions de présentation et de représentation et a évalué la tension entre des thématiques socio-politiques et la production d images autonomes. « Je crois qu il ne peut y avoir de contenu sans forme et que par conséquent, l art, dans son principe, trouve essentiellement sa consistance dans la forme. Aussi dramatique ou socialement pertinent que soit un sujet, il restera toujours, et par définition, soumis à la forme dans laquelle il est présenté au spectateur. En d autres termes, si la forme, qui doit toujours être établie en premier lieu, n est pas correctement posée, le contenu ne sera pas lisible. Cette faille morale - le drame humain peut-il être moins important que tout le reste ? - définit, je pense, le dilemme de l art le plus engagé socialement et politiquement, et compromet souvent à l avance ses chances de communiquer son programme avec succès » Willem de Rooij 13.11.2012, Conférence et “ studio visit ” de Willem de Rooij, artisteAu cours des cinq dernières années, la notion de « référencialité » ou les techniques permettant de passer outre les références extérieures sont devenues des éléments importants dans le travail de Willem de Rooij. Tout au long de sa carrière, l artiste a analysé les conventions de présentation et de représentation et a évalué la tension entre des thématiques socio-politiques et la production d images autonomes. « Je crois qu il ne peut y avoir de contenu sans forme et que par conséquent, l art, dans son principe, trouve essentiellement sa consistance dans la forme. Aussi dramatique ou socialement pertinent que soit un sujet, il restera toujours, et par définition, soumis à la forme dans laquelle il est présenté au spectateur.En d autres termes, si la forme, qui doit toujours être établie en premier lieu, n est pas correctement posée, le contenu ne sera pas lisible. Cette faille morale - le drame humain peut-il être moins important que tout le reste ? - définit, je pense, le dilemme de l art le plus engagé socialement et politiquement, et compromet souvent à l avance ses chances de communiquer son programme avec succès » Willem de Rooij

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Deux cinéastes de l'ECAL récompensé·e·s Article
Deux cinéastes de l'ECAL récompensé·e·s

Deux cinéastes de l ECAL récompensé·e·s "A l occasion de la 18e édition du Festival TOUS ECRANS qui se tenait à Genève du 2 au 8 novembre 2012, l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a remporté les deux principaux prix de la section court métrage suisse Jeremy Rosenstein (né à Chêne-Bougeries en 1987) et Natalia Ducrey (née à Chamoson en 1988) ont gagné respectivement le Reflet d Or du meilleur court suisse et le 2e prix offert par les studios Taurus grâce à leurs films de diplôme Bachelor Cinéma 2012. Reflet d Or du meilleur court suisse: CHF 3 000 Résurrection, de Jeremy Rosenstein - REDIFFUSION VENDREDI 9 NOVEMBRE A 21H30 - GRUTLI SIMON LE MOT DU JURY: Nous avons décidé à l unanimité de remettre le Reflet d Or à RESURRECTION de Jeremy Rosenstein, pour son habileté à raconter avec sensibilité, tendresse et légèreté la renaissance d un désir érodé par l âge et la maladie. Jeremy Rosenstein: "Un couple de retraités se voit attribuer la mission de créer un vidéo-clip à la gloire de la résurrection du Christ. Ce tournage amateur marquera la renaissance du désir au sein de leur relation. L enjeu était de porter un regard amusé sur un drame humain, de raconter avec espoir les difficultés d un couple vieillissant. A chaque étape de la fabrication du film, il fallait donc décider d un équilibre entre comique et dramatique. C est cette variation qui m intéresse." 2ème prix offert par les studios Taurus: prestation post-production sont d une valeur de CHF 3 000 Coup de soleil, de Natalia Ducrey LE MOT DU JURY: Pour avoir crée une atmosphère émotionnelle et un univers cohérent, pour avoir su dépeindre avec brio les émois adolescents, le désir féminin et les méandres d un été sans fin, nous donnons le prix Taurus à COUP DE SOLEIL de Natalia Ducrey. Natalia Ducrey: C est l été. Trois adolescentes de seize ans passent quelques jours ensemble, dans la maison des parents de l une d entre elles. A travers ce film, j ai voulu saisir une période de la vie de ces trois filles, entre l enfance et l âge adulte. En travaillant avec de jeunes comédiennes non professionnelles, j ai essayé d être au plus près de leur relation et de restituer la façon dont elles se comportent et se parlent dans "la vraie vie". Cette volonté de liberté concernant le texte m a permis de réfléchir à la place que devait prendre la caméra lors du tournage et m a forcé à définir une façon de travailler particulière pour trouver un équilibre entre la place laissée aux comédiennes et les parties plus écrites du scénario."

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Low-Tech Factory Event
Low-Tech Factory

Low-Tech Factory,03–04.11.2012,Langenthal For its 14th edition, Langenthal Designers Saturday offers carte blanche to the ECAL/University of Art and Design Lausanne. It provides the setting for the ECAL to present its exhibition entitled “Low-Tech Factory”, a selection of machines designed by Bachelor s and Master s students of Industrial Design and Product at a workshop led by designers Chris Kabel and Tomás Král. At Langenthal, factories are omnipresent.For this carte blanche, it seemed to us natural to ask students to look at showcasing the manufacturing process of an object, from the machine to the finished product. They therefore experimented with simple and ingenious shaping methods such as moulding, thermoforming and knitting to obtain finished products.“Low-Tech Factory” tackles the subject of automatic production beloved by designers, bringing together six entertaining machines which throughout the exhibition produce mirrors, hats, sacks, toys, lamps, and even popcorn! www.designerssaturday.ch

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Low-Tech Factory Project
Low-Tech Factory

Low-Tech Factory For its 14th edition, Langenthal Designers Saturday offers carte blanche to the ECAL/ University of Art and Design Lausanne. It provides the setting for the ECAL to present its exhibition entitled “Low-Tech Factory”, a selection of machines designed by Bachelor s students of Industrial Design and Product at a workshop led by designer Chris Kabel. At Langenthal, factories are omnipresent. For this carte blanche, it seemed to us natural to ask students to look at showcasing the manufacturing process of an object, from the machine to the finished product. They therefore experimented with simple and ingenious shaping methods such as moulding, thermoforming and knitting to obtain finished products. “Low-Tech Factory” tackles the subject of automatic production beloved by designers, bringing together six entertaining machines which throughout the exhibition produce hats, sacks, lamps, and even popcorn!

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Fabric of Light – LANTAL Project
Fabric of Light – LANTAL

Fabric of Light – LANTAL Lantal is opening the “Fabric of Light” exhibition on Saturday, October 27, 2012. It showcases imaginary and interactive installations with glimpses of the future in textile design. The exhibition was conceived and implemented by students enrolled in the Media & Interaction Design unit of the ECAL/University of Art and Design Lausanne. Fabrikraum 5 c/o Lantal Textiles Berghofstrasse 1 CH–4917 Melchnau

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ECAL/Lantal: Fabric of Light Event
ECAL/Lantal: Fabric of Light

ECAL/Lantal: Fabric of Light,27.10–01.12.2012,Lantal, Melchnau Lantal is opening the “Fabric of Light” exhibition. It showcases imaginary and interactive installations with glimpses of the future in textile design. The exhibition was conceived and implemented by students enrolled in the Media & Interaction Design course of the ECAL/University of Art and Design Lausanne. Last year, when Lantal celebrated its 125th anniversary, it portrayed the company s success story in an exhibition for its employees and the local population. Lantal s apprentices developed “Phantasia”, their own future vision project, for that event. “The idea of offering youngsters a platform for their perspectives of the future should live on,” says Lantal s CEO Urs Rickenbacher. This was the point of departure for the collaborative venture with the ECAL/University of Art and Design Lausanne. A year ago, students in the bachelor degree course Media & Interaction Design got involved in “The Future of Textile Design” as a keynote topic. “We were given free rein, and the only requirement was to instill educational value in the project,” confirmed Alain Bellet, Head of ECAL s bachelor program in Media & Interaction Design, when he described the scope of artistic liberty. The students researched, developed concepts and prototypes, and implemented the entire exhibition as it stands. Alain Bellet characterized the challenge confronting the project supervisors as follows: “Because we are not experts in textile materials, we felt like voyagers on an expedition in search of the future of textile design. We asked ourselves how textiles might be perceived in the future and developed imaginary scenarios of what we saw.” Visitors who tour the “Fabric of Light” exhibition can experience the students discoveries in various interactive installations. When textiles, the imagination, and multimedia effects interface, perception rises to a new level that makes the future come alive. Including its debut day on October 27, the exhibition is open every Saturday in November and on December 1 from 2 to 5 pm at Fabrikraum 5 on Berghofstrasse 1 in Melchnau. Fabrikraum 5 The former production room on Berghofstrasse 1 in Melchnau has been used as a venue for art shows and encounters since 2008. Past exhibitions featured artists Schang Hutter and Pierre Casé. The private collection of Urs and Renata Baumann as well as Lantal s 125th anniversary retrospective were made accessible to the public in this hall. Lantal Lantal is a leader in the design, production, and distribution of textiles and services for the international community of aircraft, bus, railway, and cruise ship operators. The company offers forward-looking counsel with the objective of achieving the ultimate in passenger well-being. ECAL Enjoying international renown and featuring regularly among the world of art and design, the ECAL/University of Art and Design Lausanne currently offers three Bachelor programmes (Visual Communication with units in Graphic Design – Photography – Media & Interaction Design – Film, Fine Arts, Industrial and Product Design), four Master programmes (Art Direction, Film, Fine Arts, Product Design) and a Master of Advanced Studies in Luxury & Design (MAS-Luxury). The ECAL also offers a one-year Foundation course providing basic theoretical and practical tuition in the arts to prepare students for entrance to the different Bachelor s programs.

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Des diplômé·e·s de l'ECAL récompensé·e·s par l'OFC Article
Des diplômé·e·s de l'ECAL récompensé·e·s par l'OFC

Des diplômé·e·s de l ECAL récompensé·e·s par l OFC L Office fédéral de la culture (OFC) a décerné les traditionnels "Prix fédéraux du design". Pour cette édition 2012, six travaux de sept diplômé·e·s de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne ont été primé·e·s sur vingt récompensé·e·s. Parmi eux, Nicolas Le Moigne (design industriel), Sophie Huguenot, Cyril Porchet, Noha Mokhtar et Philippe Jarrigeon (photographie), Jan Abellan et Emmanuel Crivelli (graphisme). En outre, l OFC a distingué par le "Grand Prix du Design" Gilles Gavillet et David Rust, tous deux également diplômés de l ECAL. Le bureau de création graphique Gavillet & Rust travaille depuis des années dans les domaines de l editorial design et de la typographie. Il est l un des plus importants représentants suisses dans le domaine de la création actuelle de polices de caractères. "Grand Prix du Design" En décernant chaque année le "Grand Prix Design", l Office fédéral de la culture veut honorer les designers ou les bureaux de design qui font la réputation du design suisse aux plans national et international. Par le lancement de ce prix, l Office fédéral de la culture complète une gamme de mesures destinées à promouvoir, soutenir et saluer la scène du design helvétique. "Prix Fédéraux du Design" Importante manifestation nationale que la Confédération organise depuis 1918, le Concours fédéral de design entend offrir une plateforme aux designers suisses à partir de laquelle ils·elles peuvent présenter leurs œuvres à un large public et faire leurs premiers pas dans la carrière professionnelle. Sur les 288 dossiers présentés cette année, l OFC a distingué 20 positions œuvres/projets de 26 designers issus du design graphique (7), du design de mode (4), de la photographie (4), des produits et objets (3) et de la médiation (2). Les prix consistent en une somme de 25 000 francs en espèces ou des séjours en atelier, soit auprès de bureaux renommés, soit en toute indépendance à New York. Le choix appartient aux lauréates et aux lauréats. L édition de cette année est la première à s être tenue sans limite d âge (40 ans). On voit en consultant la liste des lauréaty·e·s qu un cinquième de ceux-ci environ sont âgé·e·s de 40 ans et plus, une proportion qui se retrouve dans les inscriptions. Exposition des travaux primés au musée Bellerive à Zurich L exposition «Prix de design 2012 de la Confédération suisse» présente les travaux des lauréates et des lauréats des prix fédéraux de design et du Grand Prix Design. Elle donne une occasion idéale de mieux connaître la création contemporaine. Le public pourra voir des créations réalisées par des designers jeunes ou déjà bien établis. Les œuvres sont soit des commandes, soit des projets autonomes et donnent un aperçu des champs actuels d activité des designers suisses. Dossiers et photos à l intention des médias Des informations détaillées et du matériel iconographique consacrés aux lauréates et lauréats du "Prix fédéral de design" et du "Grand Prix Design" se trouvent sur: www.swissdesignawards.ch Des photos de presse des travaux primés peuvent être téléchargés sur ce site via un mot de passe: http://www.bak.admin.ch/presse Login: stampa Mot de passe: sda2012

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Hot Tools Event
Hot Tools

Hot Tools,19.10.2012–17.02.2013,mudac, Lausanne L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a confié au designer français Ronan Bouroullec la conduite d un workshop dédié au travail du verre à chaud. Placé sous le signe de l expérimentation, mais doté d un cadre très strict et de fortes contraintes, ce défi a réuni le designer, les étudiants du Master Design de produit et l artiste verrier suisse Matteo Gonet. Présentée à Milan au printemps 2012, puis à Londres dans le cadre du Design Festival, l exposition fait sa première étape en Suisse au mudac (musée de design et d arts appliqués contemporains) à Lausanne. Cette exposition présente les expérimentations et recherches d étudiants de 2e année du Master en Design de produit dirigé alors par Alexis Georgacopoulos. «Après une visite de quelques heures dans l atelier du souffleur de verre Matteo Gonet à Bâle, les étudiants devaient penser, puis fabriquer des outils, des ustensiles, élaborer des scénarios susceptibles de produire un effet intéressant dans le processus verrier artisanal de Matteo. Nous avions cinq jours pour aboutir à une palette de tests», explique le designer Ronan Bouroullec, qui a conduit ce workshop. Pour Matteo Gonet, les séances de travail à l atelier ont été intenses et animées, mais le challenge est relevé: «Les outils, fabriqués par les étudiants eux-mêmes, ont pris la forme de moules en bois et en métal, de pierres, de poudre de verre et de cuivre… Cette démarche était vraiment très intéressante!».

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Seminar on History of contemporary ideas Project
Seminar on History of contemporary ideas

Seminar on History of contemporary ideas Séminaire d histoire des idées contemporaines avec François Cusset, philosophe et historien des idées. François Cusset (né en 1969) est un historien des idées, professeur de civilisation américaine à l université de Nanterre. Ancien élève de l École normale supérieure de Saint-Cloud, ancien responsable du Bureau du livre français à New York. Il a été chercheur associé au CNRS (Laboratoire « Communication et politique ») et professeur à l Institut d études politiques de Paris. Il a publié « Queer Critics » (PUF, 2002), « French Theory » ( La Découverte, 2003), « La décennie, le grand cauchemar des années 80 »(La Découverte, 2006),« Contre-Discours de Mai: ce qu embaumeurs et fossoyeurs de 68 ne disent pas à ses héritiers » (Actes Sud, 2008), et son premier roman, « À l abri du déclin du monde » (P.O.L.) en 2012. 9.10.2012 - Première séance: Aux origines de la pensée critique (de Kant à Adorno) La pensée critique, inaugurée par Kant et son projet de "critique du présent", se prolonge chez Nietzsche, avec son soupçon radical face à l histoire et à la morale, puis dans un genre très différent chez les penseurs de l Ecole de Francfort, créée au coeur des sombres années 1930: au croisement de Marx et de Freud, autrement dit de la critique sociale et des théories de l inconscient, et tout en en critiquant les limites, des théoriciens mélancoliques et atypiques comme Walter Benjamin, Theodor Adorno et Max Horkheimer développent une pensée critique globale et rigoureuse de l industrie culturelle, des formes nouvelles de la domination, ou de l histoire à sens unique -- autant de théories critiques incontournables dans lesquelles l histoire intellectuelle contemporaine puise l essentiel de ses sources. 13.11.2012 - Deuxième séance: Culture et pouvoir (de Williams à Bourdieu) Il est un point sur lequel la théorie critique, dans la filiation de l Ecole de Francfort, se démarque du marxisme orthodoxe de ses origines: la culture, qui n est plus seulement un reflet direct de la domination économique, mais une sphère partiellement autonome, avec ses modes de pouvoir, de contrainte, de résistance, d autant plus cruciaux à saisir que la culture au sens large (des médias aux loisirs) est alors en passe de devenir le coeur du nouveau capitalisme mondialisé. C est tout le programme des "cultural studies", nées en Grande-Bretagne dans les années 1960 autour des travaux de Raymond Williams et Richard Hoggart, et prolongées aux Etats-Unis et même en France sous la forme d un dialogue fécond avec d autres théories critiques de l art et de la culture, comme celles de Fredric Jameson et de Pierre Bourdieu. 11.12.2012 - Troisième séance: Vers les sociétés de contrôle (Foucault, Lyotard, Deleuze) Si leurs perspectives philosophiques restent divergentes, les oeuvres majeures de Michel Foucault et Gilles Deleuze, mais aussi dans une moindre mesure de Félix Guattari et Jean-François Lyotard, ont en commun leur insistance sur les nouvelles modalités de la domination et de la circulation du pouvoir: moins par la discipline des corps et plus par le contrôle des comportements, moins par la contrainte extérieure et plus par l intériorisation (subjectivation), moins par la loi et plus par la norme, moins par l extériorité du souverain et plus par l affectivité et les désirs. Ces oeuvres fournissent quelques outils théoriques indispensables à une compréhension de notre présent: la "microphysique du pouvoir", les "machines désirantes", les "dispositifs pulsionnels", etc. 8.01.2013 - Quatrième séance: Textes et identités Face à un pouvoir bienveillant et panoptique, et à ses violences symboliques, les nouvelles résistances se développent. Elles ont trait, de plus en plus, à l affirmation d une position minoritaire et à la mise en avant, fût-ce sur un mode critique, des singularités identitaires: si l essor des pensées de la minorité, qu elle soit sexuelle, culturelle ou postcoloniale, participe au renouvellement intellectuel des cinquante dernières années, c est aussi parce que ces résistances ont lieu à même les discours, à même les textes et les signes -- dont la supposée neutralité est écartée pour de bon, et dont les effets réels sur les sujets vivants et leurs conditions de vie (les effets "performatifs") sont explorés en détail, comme chez Judith Butler ou Gayatri Spivak. Séminaire d histoire des idées contemporaines avec François Cusset, philosophe et historien des idées. François Cusset (né en 1969) est un historien des idées, professeur de civilisation américaine à l université de Nanterre. Ancien élève de l École normale supérieure de Saint-Cloud, ancien responsable du Bureau du livre français à New York. Il a été chercheur associé au CNRS (Laboratoire « Communication et politique ») et professeur à l Institut d études politiques de Paris. Il a publié « Queer Critics » (PUF, 2002), « French Theory » ( La Découverte, 2003), « La décennie, le grand cauchemar des années 80 »(La Découverte, 2006),« Contre-Discours de Mai: ce qu embaumeurs et fossoyeurs de 68 ne disent pas à ses héritiers » (Actes Sud, 2008), et son premier roman, « À l abri du déclin du monde » (P.O.L.) en 2012. 9.10.2012 - Première séance: Aux origines de la pensée critique (de Kant à Adorno) La pensée critique, inaugurée par Kant et son projet de "critique du présent", se prolonge chez Nietzsche, avec son soupçon radical face à l histoire et à la morale, puis dans un genre très différent chez les penseurs de l Ecole de Francfort, créée au coeur des sombres années 1930: au croisement de Marx et de Freud, autrement dit de la critique sociale et des théories de l inconscient, et tout en en critiquant les limites, des théoriciens mélancoliques et atypiques comme Walter Benjamin, Theodor Adorno et Max Horkheimer développent une pensée critique globale et rigoureuse de l industrie culturelle, des formes nouvelles de la domination, ou de l histoire à sens unique -- autant de théories critiques incontournables dans lesquelles l histoire intellectuelle contemporaine puise l essentiel de ses sources. 13.11.2012 - Deuxième séance: Culture et pouvoir (de Williams à Bourdieu) Il est un point sur lequel la théorie critique, dans la filiation de l Ecole de Francfort, se démarque du marxisme orthodoxe de ses origines: la culture, qui n est plus seulement un reflet direct de la domination économique, mais une sphère partiellement autonome, avec ses modes de pouvoir, de contrainte, de résistance, d autant plus cruciaux à saisir que la culture au sens large (des médias aux loisirs) est alors en passe de devenir le coeur du nouveau capitalisme mondialisé. C est tout le programme des "cultural studies", nées en Grande-Bretagne dans les années 1960 autour des travaux de Raymond Williams et Richard Hoggart, et prolongées aux Etats-Unis et même en France sous la forme d un dialogue fécond avec d autres théories critiques de l art et de la culture, comme celles de Fredric Jameson et de Pierre Bourdieu. 11.12.2012 - Troisième séance: Vers les sociétés de contrôle (Foucault, Lyotard, Deleuze) Si leurs perspectives philosophiques restent divergentes, les oeuvres majeures de Michel Foucault et Gilles Deleuze, mais aussi dans une moindre mesure de Félix Guattari et Jean-François Lyotard, ont en commun leur insistance sur les nouvelles modalités de la domination et de la circulation du pouvoir: moins par la discipline des corps et plus par le contrôle des comportements, moins par la contrainte extérieure et plus par l intériorisation (subjectivation), moins par la loi et plus par la norme, moins par l extériorité du souverain et plus par l affectivité et les désirs. Ces oeuvres fournissent quelques outils théoriques indispensables à une compréhension de notre présent: la "microphysique du pouvoir", les "machines désirantes", les "dispositifs pulsionnels", etc. 8.01.2013 - Quatrième séance: Textes et identités Face à un pouvoir bienveillant et panoptique, et à ses violences symboliques, les nouvelles résistances se développent. Elles ont trait, de plus en plus, à l affirmation d une position minoritaire et à la mise en avant, fût-ce sur un mode critique, des singularités identitaires: si l essor des pensées de la minorité, qu elle soit sexuelle, culturelle ou postcoloniale, participe au renouvellement intellectuel des cinquante dernières années, c est aussi parce que ces résistances ont lieu à même les discours, à même les textes et les signes -- dont la supposée neutralité est écartée pour de bon, et dont les effets réels sur les sujets vivants et leurs conditions de vie (les effets "performatifs") sont explorés en détail, comme chez Judith Butler ou Gayatri Spivak.

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Atrocity Exhibition Archive Paradoxe Project
Atrocity Exhibition Archive Paradoxe

Atrocity Exhibition Archive Paradoxe Atrocity Exhibition Archive Paradoxe Une proposition du Swiss Ballardian Automobile Club dans le cadre d un projet de recherche du Master Arts visuels de l ECAL sous la direction de Julien Fronsacq Circuit, Lausanne, 29.09-3.11.2012 Le centre d art contemporain Circuit est heureux d accueillir un projet des étudiants du Master Arts visuels de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne sous la direction de Julien Fronsacq, professeur à l ECAL. Atrocity Exhibition Archive Paradoxe propose, sous la forme d un pavillon construit au coeur de l exposition de Tom Johnson : Les dames du Révérend Kirkman et autres jeux, une exposition d archives et de documents, entre fiction et histoire s inspirant du roman de The Atrocity Exhibition de J.G. Ballard. Les deux expositions qui n en font plus qu une, et dont la résultante est un collage exquis. Reliant des pôles aussi éclectiques que la fiction et l archivage, l hyperréalisme médiatique et le fantasme, le progrès technique et l histoire des dispositifs d exposition. Atrocity Exhibition Archive Paradoxe dessine une constellation singulière. S inspirant du roman The Atrocity Exhibition de J.G. Ballard (1930 - 2009), l exposition tente d en circonscrire le contexte au risque d un savoureux vertige de reflets. The Atrocity Exhibition publié initialement en 1969 aux États-Unis constitue un contexte très riche dont les aspects mettent en abîme le projet même de l exposition. Edité en français notamment sous le titre La Foire aux atrocités (1976), le roman est une étape décisive dans l œuvre de l écrivain cherchant à rompre avec les canons qui caractérisent le genre littéraire « science-fiction ». La conquête de l espace étant entamée, Ballard cherche désormais à explorer les profondeurs de la psychologie humaine pour révéler la façon dont celle-ci est déterminée par les médias (cinéma, publicité). S il commence par la description d une exposition d œuvres réalisées par les patients d une institution psychiatrique, le roman se construit à la manière d un collage. Les écrasantes publicités et les ruines de béton, les hallucinations paranoïaques et les délires libidineux sont comme autant de visions successives par lesquelles le récit s apparente à une véritable exposition qui embrasserait le Surréalisme, le pop britannique et les jeux aléatoire de William S. Burroughs et de Brion Gysin. Grand connaisseur de l art moderne et proche des avant-gardes artistiques contemporaines Ballard a entretenu des liens privilégiés avec l Independent Group dont les expériences en matière d exposition l ont incité à concevoir des dispositifs plastiques et des expériences visuelles. Dans le cadre de leur projet de recherche, les étudiants du Master Arts visuels de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne ont souhaité tenir compte de ces aspects pour concevoir une exposition qui privilégie la nature ambigüe et instable du document et de l exposition autant d éléments oscillant entre document historique et fictif, dispositif de présentation et sculpture. Le choix de l espace d exposition était évident: résultat d une synergie entre artistes fascinés par la réactivation d archives et d histoires oubliées de la culture visuelle au sens le plus large, Circuit s inscrit dans la continuité des pratiques expérimentales de groupes tels l Indépendent Group. Atrocity Exhibition Archive Paradoxe Une proposition du Swiss Ballardian Automobile Club dans le cadre d un projet de recherche du Master Arts visuels de l ECAL sous la direction de Julien Fronsacq Circuit, Lausanne, 29.09-3.11.2012 Le centre d art contemporain Circuit est heureux d accueillir un projet des étudiants du Master Arts visuels de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne sous la direction de Julien Fronsacq, professeur à l ECAL. Atrocity Exhibition Archive Paradoxe propose, sous la forme d un pavillon construit au coeur de l exposition de Tom Johnson : Les dames du Révérend Kirkman et autres jeux, une exposition d archives et de documents, entre fiction et histoire s inspirant du roman de The Atrocity Exhibition de J.G. Ballard. Les deux expositions qui n en font plus qu une, et dont la résultante est un collage exquis. Reliant des pôles aussi éclectiques que la fiction et l archivage, l hyperréalisme médiatique et le fantasme, le progrès technique et l histoire des dispositifs d exposition. Atrocity Exhibition Archive Paradoxe dessine une constellation singulière. S inspirant du roman The Atrocity Exhibition de J.G. Ballard (1930 - 2009), l exposition tente d en circonscrire le contexte au risque d un savoureux vertige de reflets. The Atrocity Exhibition publié initialement en 1969 aux États-Unis constitue un contexte très riche dont les aspects mettent en abîme le projet même de l exposition. Edité en français notamment sous le titre La Foire aux atrocités (1976), le roman est une étape décisive dans l œuvre de l écrivain cherchant à rompre avec les canons qui caractérisent le genre littéraire « science-fiction ». La conquête de l espace étant entamée, Ballard cherche désormais à explorer les profondeurs de la psychologie humaine pour révéler la façon dont celle-ci est déterminée par les médias (cinéma, publicité). S il commence par la description d une exposition d œuvres réalisées par les patients d une institution psychiatrique, le roman se construit à la manière d un collage. Les écrasantes publicités et les ruines de béton, les hallucinations paranoïaques et les délires libidineux sont comme autant de visions successives par lesquelles le récit s apparente à une véritable exposition qui embrasserait le Surréalisme, le pop britannique et les jeux aléatoire de William S. Burroughs et de Brion Gysin. Grand connaisseur de l art moderne et proche des avant-gardes artistiques contemporaines Ballard a entretenu des liens privilégiés avec l Independent Group dont les expériences en matière d exposition l ont incité à concevoir des dispositifs plastiques et des expériences visuelles. Dans le cadre de leur projet de recherche, les étudiants du Master Arts visuels de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne ont souhaité tenir compte de ces aspects pour concevoir une exposition qui privilégie la nature ambigüe et instable du document et de l exposition autant d éléments oscillant entre document historique et fictif, dispositif de présentation et sculpture. Le choix de l espace d exposition était évident: résultat d une synergie entre artistes fascinés par la réactivation d archives et d histoires oubliées de la culture visuelle au sens le plus large, Circuit s inscrit dans la continuité des pratiques expérimentales de groupes tels l Indépendent Group.

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ECAL Diplômes 2012 Event
ECAL Diplômes 2012

ECAL Diplômes 2012,28.09–06.10.2012,Hall Kudelski, ECAL L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne accueille une sélection des diplômes Bachelor et Master de l ECAL. Par le biais d éditions, de photographies, de typographies, de peintures, d installations interactives ou encore d objets, cette exposition donne ainsi l occasion unique de venir découvrir les travaux d étudiants issus des Bachelor Design industriel, Bachelor Arts visuels, Bachelor Communication visuelle (Unités de photographie, Design graphique, Media & interaction design), ainsi que les créations du Master of Advanced Studies en Design et industrie du luxe, du Master Arts visuels et celles des Master Art Direction et Master Design de produit. Quant aux films Bachelor et Master du Département cinéma, ils bénéficient d une projection le 15 novembre à 20h au Capitole à Lausanne. A cette occasion, l ECAL édite pour la première fois un "Yearbook" de 240 pages (CHF 30.-), disponible directement à l ECAL, avec tous les travaux des étudiants diplômés cette année. Cet événement s inscrit dans le cadre des Design Days 2012, qui se déroulent à Renens du 27 au 30 septembre 2012 (www.designdays.ch).

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Exposition projets ECAL édités par Alessi Event
Exposition projets ECAL édités par Alessi

Exposition projets ECAL édités par Alessi,28.09–06.10.2012,Hall Kudelski, ECAL Conjointement à l exposition "ECAL Diplômes 2012", l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne est heureuse de présenter cinq produits ( catalogue Alessi ) réalisés par des étudiants de 2e année Bachelor en Design Industriel pour Alessi suite à un workshop dirigé par Elric Petit, responsable du programme. En juin 2010, L ECAL a proposé à l entreprise Alessi de réaliser des produits pour le bureau, une zone de production rarement touchée par la marque. La collaboration débute concrètement en septembre 2010 par la visite de l usine Alessi à Omegna, au nord de l Italie. L objectif est de présenter aux étudiants l identité de la marque ainsi que les outils de production industrielle dont ils disposent pour imaginer leur projet. Cinq mois plus tard, les étudiants dévoilent leur travail à Alberto Alessi qui rend visite à l ECAL pour la présentation finale du workshop. Il sélectionne dix-huit prototypes en vue d une exposition dans leur showroom pour le Salon international du Meuble de Milan en avril 2011. Suite à cet événement, Alessi décide en octobre 2011 d éditer les cinq objets qui ont remporté le plus de succès à Milan. Commence alors le travail de développement qui permettra aux prototypes de devenir des produits et d intégrer leur célèbre catalogue. Au travers de plusieurs échanges avec Alessi, les étudiants ont affiné leurs projets pour atteindre l objectif de production en série. Nous présentons ici les plans, maquettes et prototypes qui témoignent de ces échanges. Tant pour des raisons pédagogiques qu artistiques, le résultat obtenu est sans nul doute le meilleur que l on puisse attendre d une collaboration!

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Collaboration ECAL/de Sede Event
Collaboration ECAL/de Sede

Collaboration ECAL/de Sede,27.09.2012,Hall Kudelski, ECAL L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne et de Sede, la fameuse manufacture suisse de mobilier en cuir, présentent une sélection de projets créés par les étudiants du Master of Advanced Studies en Design et industrie du luxe (MAS-Luxe) suite à un workshop dirigé par Nicolas Le Moigne, designer et professeur à l ECAL. Ces objets sont à découvrir lors de l exposition «ECAL Diplômes 2012» qui se déroule du 27 septembre au 6 octobre (vernissage le jeudi 27 septembre de 18h à 22h) dans le bâtiment de l ECAL à Renens. Les projets: TRI-FOLDS sofa ECAL/Camille Paillard "Lors d un workshop avec la marque Suisse de Sede, nous avons pu manipuler et observer longuement le cuir, matériau de prédilection de ce fabricant de mobilier. J ai trouvé intéressant de jouer avec la beauté des plis et la sensualité de cette matière. J ai conçu le canapé autour de ce motif qui constitue les accoudoirs. Les plis ne sont pas seulement esthétiques, on peut y glisser des magazines, des livres et cacher des objets. La sélection de l objet par de Sede à partir des croquis et maquettes m a permis de développer le canapé jusqu au prototype. Pendant plusieurs mois, j ai pu découvrir toutes les étapes nécessaires pour concrétiser ce projet par le biais de rendez-vous réguliers avec l entreprise. Conception de la structure, choix des mousses, sélection du tissu, tout un ensemble qui agrémente ce projet et qui fut une expérience enrichissante." DYNAMIC tables ECAL/Andrea Arciniegas-Gomez "En travaillant en partenariat avec l entreprise Suisse de Sede, j ai été inspirée par la façon dont de Sede utilise des concepts ludiques dans un contexte lié au luxe. Avec ce projet, je voulais créer une table basse amusante et dynamique qui pourrait s intégrer dans la collection de de Sede. J ai pris le sofa DS-600 comme point de départ, un sofa qui peut être configuré selon la forme et la taille que l on désire. Je voulais que les clients de de Sede puissent manipuler mes tables pour créer une variété d arrangements. La table est dynamique et interactive, développée pour s adapter à n importe quelle pièce ou configuration selon ses envies. Ce travail m a permis d élaborer un véritable programme avec différentes tailles d éléments et différents matériaux, tous compatibles entre eux." FAN sofa ECAL/Salome Bourny "Ce travail est le prolongement d un atelier en collaboration avec l entreprise helvétique de Sede reconnue pour ses meubles en cuir de haute qualité. Lors de ma visite à la manufacture, j ai été séduite par les différents aspects du cuir, brut et souple à la fois. Mon canapé y puise son esthétique. Donnant l illusion d être issu d une seule grande et large pièce de cuir. Un jeu d épaisseurs où la sensualité du pli sublime la matière. Les accoudoirs et le dossier s inscrivent dans la même courbe, générant un plissé généreux empreint de douceur. Ces plis de cuir sont formés et maintenus par le piétement; 4 pièces en fonte d aluminium qui portent la structure et pincent la matière souple." Le MAS-Luxe de l ECAL Le MAS-Luxe de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne est un programme de dix mois, dirigé par Nicolas Le Moigne (qui a succédé en juillet 2012 à Augustin Scott de Martinville), offre l opportunité aux étudiants du monde entier de travailler avec des manufactures du luxe comme Audemars Piguet, Baccarat, Bernardaud, Christofle, de Sede, Hublot, Nespresso, Nestlé ou Zai. Leur encadrement est assuré par des designers de renom tels que Barber & Osgerby, Ronan Bouroullec, Pierre Charpin, Alexander Taylor ou encore Laura Bethan Wood. ECAL DIplômes 2012 Exposition ouverte du 28 septembre au 6 octobre 2012 Pendant les Design Days, du 28 au 30 septembre, selon les horaires de la manifestation www.designdays.ch Du 1er octobre au 6 octobre de 10h à 17h ECAL Hall Stefan Kudelski 5, avenue du Temple, Renens Image: "Tri-Folds", ECAL/Camille Paillard. Collaboration avec de Sede. Photo ECAL/Romain Mader

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Prix pour un diplômé de l'ECAL en photographie Article
Prix pour un diplômé de l'ECAL en photographie

Prix pour un diplômé de l ECAL en photographie Le lauréat du 16e Prix des Jeunes Talents vfg en photographie est Armand Yerly, né en 1984 à Belfaux dans le Canton de Fribourg et diplômé en 2012 d un Bachelor en photographie de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Site internet d Armand Yerly Le prix des jeunes talents en photographie est un concours organisé tous les ans par l «association de créateurs photographes» (vfg) qui joue un rôle de tremplin et de plateforme de réflexion pour la jeune relève de photographes qui vivent en Suisse. L «association de créateurs photographes» (vfg) tient beaucoup à la promotion des jeunes talents. La créativité de la nouvelle génération est vitale pour la photographie suisse. Le premier prix est doté d une montant de CHF 5000 sponsorisé par Keystone, la deuxième, troisième et quatrième place recevront des prix en espèces. Retrouvez toutes les images en haute définition sur le site du vfg: http://www.vfgonline.ch/p14007341.html

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Vase-O-Rama avec Baccarat Event
Vase-O-Rama avec Baccarat

Vase-O-Rama avec Baccarat,10–15.09.2012,Paris A l occasion de la Paris Design Week, l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présente "Vase-O-Rama", une série de 14 vases imaginés pour Baccarat par les étudiants du Master en Design et industrie du luxe,ainsi que ceux du Master Art Direction. Dans la lignée d une collaboration initiée en 2011 autour de l iconique verre Harcourt, Baccarat et l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne poursuivent en 2012 leur réflexion commune. Une réflexion pour l occasion menée par les étudiants du Master en Design et Industrie du Luxe et du Master en Art Direction, tous réunis autour d un même projet global, alliant design objet, scénographie, photographie et conception d une publication finale. Sous la direction de la designer londonienne Bethan Laura Wood et du photographe parisien Philippe Jarrigeon, chaque groupe d étudiants s est attaché à revisiter la thématique universelle du Vase, en partant d une même forme conique de base et en interrogeant l ensemble des savoir-faire de la Manufacture. Des principes de taille, de coupe, de gravure, de sablage,de dorure est ainsi née Vase-O-Rama , une collection hybride et foisonnante, à l image d un panorama. Témoin du dialogue entre la personnalité et la culture d étudiants issus d une quinzaine de nationalités différentes, l épilogue de ce workshop mené sur 6 mois met en lumière le potentiel contemporain du patrimoine Baccarat. En poussant chaque concept le plus loin possible et en soulignant avec malice les forces à la fois nobles et mystérieuses du cristal, les 6 projets finaux sondent les usages, les matières, les notions d échelles et d esthétiques inhérentes à l objet. Du vase "Brick" cannelé et découpé en strates (design: ECAL/Aurélie Mathieu & Philippe Karrer) au prototype "Harness" transformant par système de harnais le vase en sac à dos (design: ECAL/Charlotte Sünnen & Anna Bitzer), motifs, trames et découpes attisent autant d inspirations que de déclinaisons. Avec humour et transgression, la collection "Vase-O-Rama" révèle des créations célébrant les savoir-faire de Baccarat.

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Hot Tools Event
Hot Tools

Hot Tools,06–29.09.2012,Gallery Libby Sellers, Londres L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présente à la Gallery Libby Sellers à Londres, un travail de recherche sur le verre réalisé par les étudiants du Master Design en de Produit suite à un workshop avec le designer Ronan Bouroullec et le souffleur de verre Matteo Gonet. Cette exposition présente les expérimentations et recherches d étudiants de 2e année du Master en Design de produit. Cette exposition présente les expérimentations et recherches d étudiants de 2e année du Master en Design de produit. «Après une visite de quelques heures dans l atelier du souffleur de verre Matteo Gonet à Bâle, les étudiants devaient penser, puis fabriquer des outils, des ustensiles, élaborer des scénarios susceptibles de produire un effet intéressant dans le processus verrier artisanal de Matteo. Nous avions cinq jours pour aboutir à une palette de tests»,explique le designer Ronan Bouroullec, qui a conduit ce workshop. Pour Matteo Gonet, les séances de travail à l atelier ont été intenses et animées, mais le challenge est relevé: «Les outils, fabriqués par les étudiants eux-mêmes, ont pris la forme de moules en bois, de pierres, de poudre de verre et de cuivre, de cuir… Cette démarche était vraiment très intéressante!». Avec le généreux support du Swiss Cultural Fund in Britain Gallery Libby Sellers 41–42 Berners Street London W1T 3NB +44 (0)20 3384 8785 www.libbysellers.com

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L'ECAL gagne le James Dyson Award Article
L'ECAL gagne le James Dyson Award

L ECAL gagne le James Dyson Award Ce sont souvent les inventions les plus simples qui sont les plus géniales. Imaginez un monde sans pinces à linge, sans goujons ou sans la bande velcro. La lauréate du James Dyson Award de cette année en Suisse, Laure Gremion de Neuchâtel, étudiante en design à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne, se range dans cette série de développements simples mais pratiques. Sa brouette novatrice en deux éléments, baptisée Accolade, allie un maniement peu compliqué à une grande utilité pratique et à un design très esthétique. Outre la lauréate, quatre autres étudiants de l ECAL étaient sélectionnés dans les finalistes. «En tant qu ingénieurs, nous devons mettre en question les choses existantes et vérifier s il n y a pas un meilleur moyen.» James Dyson a lui-même prouvé que cette citation de lui s applique aussi aux brouettes, puisqu il a inventé en 1976 le Ballbarrow (une brouette qui roule sur une balle en plastique) et qu il est devenu ainsi le leader du marché en Angleterre. Trente-six ans plus tard, Laure Gremion (23 ans), de Neuchâtel, a remis la brouette en question. « J ai remarqué que les brouettes sont peu maniables et de capacité limitée. J ai eu envie de changer cela.» Avec son travail de diplôme Accolade, distingué par la mention «très bien» à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne, elle a simplifié le jardinage de manière décisive et gagné ainsi le James Dyson Award en Suisse. Cette étudiante de l ECAL a étudié d un œil critique le système de poche et de porteur des brouettes ordinaires et séparé les deux éléments. Le clou avec Accolade: d un seul geste, poche et châssis sont de nouveau reliés et prêts à l emploi. Pas besoin de visser ou de cliquer pour la fixation ou le vidage. Il suffit de quatre boucles et de deux crochets. En outre, on peut utiliser diverses poches selon les besoins. «C est la fonctionnalité par excellence», a déclaré le professeur Gregor Naef, président du jury, plein d éloges pour Accolade. «En outre, l idée a des chances d être appliquée à d autres domaines, par exemple au bureau pour l élimination du vieux papier.» Laure Gremion explique le dur labeur que recèle ce projet: «J ai esquissé divers modèles et prototypes avant d inventer la brouette idéale: il fallait harmoniser entre eux forme, poids, effet de levier et maniement.» Pour la matière du conteneur, Laure Gremion a emprunté un chemin peu conventionnel et collabore avec une entreprise qui produit des toiles à voiles. Le résultat: une poche robuste et néanmoins légère et d un design parfait. Grâce à Accolade, Laure Gremion gagne le James Dyson Award 2012 et reçoit 2000 francs, une adhésion de jeune membre à la swiss design association et un concept idéel d Atizo d une valeur de 6000 francs. 9 projets suisses sélectionnés pour la finale internationale Avec le lauréat suisse Accolade et quatre autres projets de l ECAL participeront à la demi-finale internationale du James Dyson Award, où tous auront encore une chance de gagner 10 000 livres pour eux-mêmes et le même montant pour leur haute école. La qualité des projets était décisive pour pouvoir avancer, car seul un maximum de dix idées de produit de grande qualité pouvait être transmis conformément au règlement. Le lauréat international sera proclamé début octobre. Voici les qualifiés de l ECAL qui vont représenter la Suisse: Accolade: Brouette en deux parties facile à manier. ECAL/Laure Gremion, Neuchâtel (NE) Lumnezia: Système d éclairage automatisé pour parcs. ECAL/Carlo Clopath, Coire (GR) Easy Muzz: La nouvelle laisse-muselière pour chiens remplace la muselière. ECAL/Sasha Landolt, Lausanne (VD) Bow!: Casque de vélo pliable. ECAL/Marie Douel, Tours, France Filtracotta: Carafe filtrante, à base de terre cuite. ECAL/Marie Schenker, Fribourg (FR) A propos du James Dyson Award En Suisse, le dixième James Dyson Award a été décerné en collaboration avec la swiss design association (sda). Le 22 août, le jury national a choisi le meilleur projet national parmi les 30 projets suisses soumis issus des domaines du design industriel et des produits. Le jury se composait de Lilia Glanzmann (rédactrice de «Hochparterre»), d Alexis Georgacopoulos (directeur ECAL Lausanne), de Nicole Kind (directrice Industrial Design à la Haute école des beaux-arts de Zurich), du professeur Gregor Naef (président de longue date de la swiss design association, chargé de cours à la Hochschule für Gestaltung und Kunst, à l Institut Industrial Design à Aarau, FHNW) et de Peter Schweizer (directeur de la société Methosys GmbH). Au cours de la phase préparatoire, plus de 530 projets de 18 pays du monde entier étaient inscrits – un excellent cru du James Dyson Award. Dans le cadre du James Dyson Award, des étudiant(e)s du monde entier peuvent inscrire leurs projets sur la plate-forme Internet www.jamesdysonaward.org. Les participants y présentent les inventions au moyen de fichiers vidéo, images et texte. Sur ce site, les personnes intéressées peuvent également examiner à tout moment les projets soumis dans le monde entier. Le James Dyson Award est octroyé à l échelon international par la James Dyson Foundation, qui soutient ainsi des étudiants innovateurs du monde entier. L Award représente l opportunité pour les jeunes designers d être découverts au niveau national et international et d acquérir leurs premières expériences dans l activité de concours. Contacts Tous les projets suisses peuvent être consultés sous www.jamesdysonaward.org (région Suisse). Sur tous les projets il y a des informations complémentaires, et des photos peuvent être téléchargées en ligne, ainsi que du matériel vidéo à télécharger ou à interconnecter (Youtube). On peut prendre contact avec tous les finalistes par l intermédiaire du bureau de presse, où l on peut également commander directement du texte, des photos et des vidéos haute résolution.

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On Tour Project
On Tour

On Tour On the occasion of the 2010 editions of the Tour de Romandie and Tour de Suisse, the ECAL has made a photographic and editorial project about competitive cycling. Conducted in collaboration with La Vaudoise Assurances and Les Editions Infolio "On Tour" was primarily to explore the forms of convergence between creative photography, sports sponsorship and the world of publishing. Students in photography, under the direction of their teachers, were immersed in the world of Tours to produce views likely to exceed the stereotypes usually associated with this type of sport s events. According to their sensitivities, they were especially encouraged to inspire from innovative approaches offered by a growing number of contemporary photographers. In parallel with this prospective approach in terms of artistic and documentary photography, the goal was also to take account of recent redefinitions in the field of branding and communication and to generate original contributions, interviews and essays, on this issue. The results of this project are multiple: Production of an archive of thousands of images. Publication of "On Tour: Tour de Romandie & Tour de Suisse 2010," 3000 copies Publication of "Off Tour, compte-rendu d étapes", 500 copies, (interviews & essays) Exhibition at ECAL Edition of postcards Acquisition of photographs by La Vaudoise Assurances Press articles On line publication (La Vaudoise Assurances website) Main applicantsECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Pierre Fantys (project leader)Research teamFrançois Rappo (artistic direction) Nicolas Faure, Joël Tettamanti (photographers, coaching) Philippe Keanel (in charge of theoretical essays) Joël Vacheron (in charge of "Off Tour") Elise Guillod (assistant) Cédric Raccio (assistant) Erol Gemma (assistant) Robert Huber (assistant) Students of the department of visual communication / photography ECALPartnersLa Vaudoise assurances InfolioDuréeapril 2010 – september 2012 Supported byECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Strategic fund of the University of Applied Sciences Western Switzerland (HES-SO RCDAV)DisseminationPublication On Tour, Tour de Romandie & Tour de Suisse en 2010 © 2010, Infolio éditions, CH-Gollion / www.infolio.ch ISBN: 978-2-88474-621-2

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L'ECAL gagne trois prix à Locarno Article
L'ECAL gagne trois prix à Locarno

L ECAL gagne trois prix à Locarno Pour la quatrième fois en cinq ans (et la 3e fois consécutive), le Département cinéma de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne, dirigé par le cinéaste Lionel Baier, a remporté le Pardino d oro du meilleur court métrage suisse à l occasion du Festival du film de Locarno 2012. Lors de cette édition, l ECAL a également gagné le Pardino d argento et le Prix Cinema e Gioventù. Ainsi, Nathan Hofstetter (né à Neuchâtel en 1989) a été récompensé d un Pardino d oro pour son film de diplôme "Radio-actif". Le Pardino d argento est revenu à "L Amour bègue" de Jan Czarlewski (né à Paris en 1988), déjà lauréat d un Pardino d oro et du Prix Cinema e Gioventù en 2011 pour "L Ambassadeur et moi". Il enrichit encore son palmarès avec le Prix Cinema e Gioventù 2012. Pardino d oro, meilleur court métrage suisse (CHF 10 000.-) "Radio-actif" de Nathan Hofstetter, film de diplôme Bachelor, 27m24s, 2012 "Je ne pourrais pas dire exactement comment ça a démarré. Ce dont je me rappelle, c est d avoir été sur un tournage, d avoir dormi de moins en moins, de sentir l angoisse monter; puis, un matin, d avoir regardé la télévision avec le sentiment très fort que c était moi qui allais me marier avec Kate Middleton et non le Prince William. On appelle cela une décompensation psychotique. Mais ça, je l ai appris plus tard. "Radio-actif", raconte "du dedans" le territoire de cette maladie." Pardino d argento, 2e meilleur court métrage suisse (CHF 5 000.-) "L Amour bègue" de Jan Czarlewski, film de diplôme Bachelor, 20m04s, 2012 "Tim a 23 ans. Il est intelligent, plutôt beau garçon, mais il est bègue. Séduire une fille est un calvaire pour lui. Poussé par son ami, il va essayer de décrocher le Graal - Victoria, une jolie fille qu il croise à la boxe. Mais il est incapable d aligner deux mots correctement..." Prix du jury Cinema e Gioventù – Pardi di domani (CHF 3 000.- à partager) "L Amour bègue" de Jan Czarlewski, film de diplôme Bachelor, 20m04s, 2012 "Tim a 23 ans. Il est intelligent, plutôt beau garçon, mais il est bègue. Séduire une fille est un calvaire pour lui. Poussé par son ami, il va essayer de décrocher le Graal - Victoria, une jolie fille qu il croise à la boxe. Mais il est incapable d aligner deux mots correctement..." Renseignements ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne ECAL/Haute école d art et de design (HES-SO) ECAL/University of Art and Design Lausanne Directeur Alexis Georgacopoulos 5, avenue du Temple, Renens Case postale 555, 1001 Lausanne Tél.: +41 (0)21 316 99 33 www.ecal.ch Images © Pardino d oro for the Best Swiss Short Film Premio Swiss Life: RADIO-ACTIF (Radio-active) by ECAL/Nathan Hofstetter, Switzerland. Picture by © Festival del film Locarno / Marco Abram Pardino d argento offered by Swiss Life to: L AMOUR BÈGUE (Stammering Love) by ECAL/Jan Czarlewski, Switzerland. Picture by © Festival del film Locarno / Marco Abram

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Stammering love Project
Stammering love

Jan Czarlewski – Stammering love Tim is 23 years old. He stammers a lot. His friend is a charmer. For Tim, seducing a girl is difficult. Fiction / 20min Synopsis Tim is 23 years old. He s intelligent, rather good looking, but he stammers. Seducing a girl is an ordeal. Encouraged by his friend, he will try and reach for the brass ring – Victoria, a pretty girl he met boxing. However, he has trouble stringing two words together… Commentaire The bodies and their defects, their weights, their dysfunctions, their failures. Watching Jan s film is a physical experience. We breathe with this character and suffer with him. We are the young girl who listens, the one who tells him "you want to", the friend who encourages him. And the relationship that is gradually established with the boxer brings us closer to this last unique and untranslatable scene. A scene of cinema. Hippolyte Girardot / Actor, director Festivals 2012 Winterthur - Suisse - Internationale Kurzfilmtage Winterthur, Compétition 2012 Locarno - Suisse - Festival del film Locarno, séction pardi di domani (concorso Nazionale) - Pardino d argent (pardi di domani concorso nazionale) 2012 Genève - Suisse - Cinéma Tous Ecrans-Féstival international du cinéma et de télévision, Compétition Suisse 2013 Angers - France - Festival premier plan d angers 2013 Clermont-Ferrand – France - Festival international du court métrage, Compétition 2013 Nijmegen - Pays-Bas - "the Breaking Shorts Student Competition at the Go Short - International Short Film Festival Nijmegen" 2013 Kustendorf – Serbie - Kustendorf International Film & Music Festival - Golden Egg Award

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Spare time Project
Spare time

Spare time Two young women live together in a brothel. The camera captures their daily life in their hours away from work. Documentary / 22min Synopsis Two young women live together in a brothel, between arguments and tenderness. Invited into their intimacy, the camera captures their daily life behind closed doors, where hope is their only breathable substance in this strange heavy atmosphere. Commentaire Cinema as an answer to voyeurism and moralization, as the art of taking a position in space, of observing and doing justice to the people we film. The result speaks for itself: we will not soon forget these two girls whose race across Europe once crossed Myriam s. Dominique Marchais / Director Festivals 2013 Tampere – Finland - Tampere Film festival 2013 Solothurn – Suisse - Journées du Cinéma suisse de Soleure 2013 Kustendorf – Serbie - Kustendorf International Film & Music Festival 2013 Creteil – France - Festival International de Films de Femmes de Créteil - compétition internationale courts-métrages 2012 Amsterdam - Pays-Bas - IDFA International Documentary Film Festival Amsterdam, compétition pour Best Student Documentary

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Festival Images Project
Festival Images

Festival Images On the occasion of the 2012 Images Festival, ECAL had proposed to the students from the 3rd year Bachelor Industrial Design to compose a reception zone for the EX-EPA building. Staging systems are known for its quality of usage and innovation. The students therefore decided to use staging systems to make a link to future renovations of the building that would start by the end the Images Festival so the preparations would already be done. For the project «Neil», the students worked on a scenography for the Grand Café Les Mouettes, which was a side event of the Images Festival, organised by the collective RATS, located in Vevey. It involves a series of furniture, composed of two materials: plane pine wood boards and ALUCOBOND panels. The precise manufacturing of the wooden pieces eases the joints of the white surfaces and forms the character of the furniture.

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ECAL Chez Le Corbusier Event
ECAL Chez Le Corbusier

ECAL Chez Le Corbusier,02.07–29.08.2012,Villa "Le Lac", Corseaux L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présente des projets d étudiants en 2e année du Bachelor Design Industriel réalisés pour la Villa «Le Lac» Le Corbusier à Corseaux suite à un workshop dirigé par  Elric Petit, responsable du programme, et suivi par Chris Kabel, designer et professeur à l ECAL. A cette occasion, sous la direction de Patrick Moser, conservateur de la Villa « Le Lac » Le Corbusier, un catalogue (voir PDF ci-dessous) est publié aux Editions Castagniééé. «ECAL Chez Le Corbusier» est un magnifique hommage à Le Corbusier pour marquer les 125 ans de sa naissance. C est aussi et surtout une rencontre entre un maître et des élèves – entre Le Corbusier et les étudiants de l ECAL. Imaginer puis produire des objets pour la Villa «Le Lac» de Le Corbusier, à Corseaux, tel est le projet conçu par Elric Petit et Chris Kabel. Le projet dépasse vite le cadre d un enseignement classique :le potentiel du site, l inventivité mise en oeuvre dans ce travail et la qualité des réalisations ont conduit naturellement à l idée d une exposition in situ. Les contraintes liées au lieu (proximité du lac, intégration du paysage), à la nature du bâtiment (monument historique) et au plan spécifique de la Villa (4 mètres sur 16) ont été une véritable gageure pour les étudiants et ont joué un rôle de révélateur de talents: quand la machine à habiter devient machine à apprendre. Suivez le guide pour un petit tour du propriétaire Yann Mathys a imaginé des poignées en silicone permettant d amortir les chocs. Zoé Blanchard a créé un objet qui rend toute sa fonctionnalité à la barre métallique scellée dans le mur juste sous la fenêtre. Daniel Simon Lohss propose un objet inspiré des plateaux à thé turcs que l on peut porter d une seule main. Pablo Goury a pensé à des lampes (radio, station météo, table de chevet) qui viennent directement se brancher sur les prises pour devenir des appliques murales.. Plusieurs types d étagères sont parsemées dans les espaces de la Villa. Celles de Guillaume Capt qui par leur mobilité s adaptent à l architecture du lieu – des espaces de rangement qui viennent «parasiter» les volumes en béton – eux-mêmes prévus pour le rangement. L étagère de Micael Filipe, inspirée par les conduites apparentes de la «machine à habiter», est un simple tube découpé et déployé pour supporter les tablettes de chêne. Celle de Benoît Le Pape qui vient s encastrer sur la cloison qui sépare la chambre à coucher de la salle de bain. Et finalement, une étagère mobile et empilable réalisée par Massao Combeau qui, tel un bateau naviguant sur le Léman, traverse le paysage le long de la fenêtre en bandeau. La Villa recèle également de trésors comme le sofa modulable de Fanny Pellegrin composé d un élément horizontal fixe et de deux éléments mobiles qui s imbriquent dans la surface principale grâce à leur structure dentelée. Sylvain Aebischer, quant à lui, a réalisé un tapis en laine tuftée qui peut servir lors des visites commentées, et qui permet au guide de se placer en son centre pour faire sa présentation. Romain Viricel propose un dispositif d éclairage extérieur, résistant aux intempéries. Alice Spieser a créé un ensemble de modules qui viennent s accrocher à la structure cannelée de la façade et qui permettent, lors de vernissages de poser un verre, un dépliant ou des flyers. Thibault Dussex est parti d une phrase tirée du livre Une Petite Maison de Le Corbusier: «Le cerisier est devenu un gros garçon. Ma mère en fait des confitures pour tout l hiver» pour crééer une matérialisation de cette anecdote. Mathieu Briand propose une cloche de table permettant d annoncer l heure du repas si elle est utilisée seule, ou glockenspiel s il y en a plusieurs. Giulia-Amélie Chéhab introduit dans La Villa la notion d ornement dont elle manque par essence avec des objets subtilement décoratifs. Et enfin, Jonathan Vallin a produit un mobile qui crée une interaction entre intérieur et extérieur, le tout actionné par un système de balancier... Texte de Patrick Moser, conservateur de la Villa «Le Lac» Le Corbusier Villa «Le Lac» Le Corbusier Route de Lavaux 21, CH-1802 Corseaux www.villalelac.ch Catalogue «ECAL Chez Le Corbusier» © Editions Castagniééé, 2012 80 pages (18x22cm), FR/ENG CHF 42.–, € 35.– ISBN : 978-2-940425-79-2 NQSAR : 11E-2DI-12C/07A-08L www.castagnieee.com

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Une étudiante gagne le Grand Prix Design Parade 7 Article
Une étudiante gagne le Grand Prix Design Parade 7

Une étudiante gagne le Grand Prix Design Parade 7 Après avoir déjà remporté dans ce cadre des prix en 2006, 2008, 2009 et 2011 (Adrien Rovero, Michel Charlot, Antoine Boudin et Brynjar Sigurdarson), l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne continue sa moisson à l occasion de Design Parade 7 (Festival international de design) présenté à la Villa Noailles (Hyères). Pour l édition 2012, c est Julie Richoz, diplômée en Bachelor Design Industriel depuis quelques jours, qui est devenue la lauréate du Grand Prix. Outre Julie Richoz, le jury avait sélectionné quatre autres écalien·e·s (Fanny Dora, Maxence Loisson de Guinaumont, Lili Gayman, Giorgia Zanellato) parmi les 10 candidat·e·s en compétition (sur 75 pré-sélectionné·e·s et plus de 140 dossiers envoyés par des designers de 16 pays différents). Julie Richoz (née à Yverdon-les-Bains en 1990) Après une enfance passée à La Rochelle, elle retrouve son pays d origine en intégrant l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne en 2008, où elle se forme au design industriel pendant 4 ans. En 2010, elle dessine «Fierzo» pour Alessi. Il s agit d un cadre d affichage pour le bureau qui sera exposé dans différents salons, de Milan à Tokyo, en passant par Bruxelles. Elle intègre, en 2011, l équipe du Chocolate Center of Excellence de Nestlé. Ce stage lui permet de se sensibiliser au design culinaire. L année suivante, elle participe à l exposition «Too Cool for School» de l ECAL à l occasion du Salon international du Meuble de Milan en présentant un projet de recherche sur la couleur. En 2012, Julie Richoz est sélectionnée pour présenter son travail à Design Parade 7 dans le cadre de la Villa Noailles à Hyères en France. www.julierichoz.ch Les projets présentés par Julie Richoz Prenant comme point de départ l observation d un système ou d une matière qui la fascine, Julie Richoz s en réapproprie l essence pour créer des objets d une simplicité ludique et ingénieuse comme l illustre les séries Arrotolare et Bouleau. Arrotolare Inspirée par la gestuelle du ramasse-miette en métal roulé, le set de bureau Arrotolare collecte d un seul mouvement tout ce qui repose sur le bureau. A mi-chemin entre le pot et le plateau, les contenants se posent autant à l horizontal qu à la verticale et en se présentant de face ou de dos ils cachent ou dévoilent leurs contenus. S associant les unes aux autres, les différentes pièces du set s enlacent pour former un ensemble. D une facture simple, chaque objet est usiné dans une plaque de métal découpée et courbée puis fermée par un bouchon de plastique. Bouleau La série Bouleau s inspire d une pince de serrage en métal. Bien que fabriquée dans un matériau rigide, la découpe crénelée de la pince la rend élastique. En transposant celle-ci au bois, on obtient une souplesse similaire. La corbeille et le plateau Bouleau sont constitués d une parois en multiplis de bouleau souple, un anneau et un fond en aluminium. Toutes les pièces sont maintenues ensemble grâce à l élasticité du bois. Au-delà de ses atouts fonctionnels, la découpe de la pince transposée au bois façonne l esthétique de la série. Thalie (travail de diplôme Bachelor 2012) La série Thalie se construit sur un dialogue entre un processus industriel et une mise en forme artisanale. Elle se compose d un plat, d un bol à fruit et d une corbeille à pain. En prenant pour référence les ouvrages manuels tels que le crochet ou le tricot, j ai amené le métal dans une dimension proche du textile. L usinage chimique a permis de découper les patrons de mes paniers en acier ressort avec une grande finesse, ces formes sont ensuite mises en volume manuellement par un fil d acier qui court le long des tiges métalliques. Ainsi se façonnent des formes irrégulières et sensuelles à partir d un dessin au départ très mécanique. Le jury était composé de: • François Azambourg, designer, Paris – président du jury • Fernando Amat, Vincon, Barcelone • Lionel Blaisse, auteur, Paris • Giulio Cappellini, Cappellini, Milan • Paloma Canizares, PCM, Madrid • Jean-Baptiste Fastrez, designer, Paris • Raymond Guidot, auteur, Paris • Didier Krzentowski, Galerie kreo, Paris • Inga Sempé, designer, Paris • Brynjar Sigurdarson, designer, Lausanne Le jury du concours décerne le Grand Prix Design Parade qui est doté de: • un séjour de recherche d un an à Sèvres – Cité de la céramique • un séjour de recherche d un an au CIRVA (Centre International de Recherche sur le Verre et les Arts plastiques) à Marseille, pour la réalisation d un vase en 3 exemplaires qui fera partie des collections du CIRVA et de la villa Noailles • une bourse d aide à la création de 5 000 euros offerte par la Galerie kreo pour la réalisation d un projet libre. Ce projet pourra être édité par la Galerie kreo • une exposition personnelle à la villa Noailles lors de Design Parade 8, en juillet 2013 Information: http://www.villanoailles-hyeres.com/design-parade-7/

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Days of Threshold Project
Days of Threshold

Jeremy Ayer – Days of Threshold “Days of Threshold is a photographic project composed of 26 inkjet prints narrating the story of a country boy who has invented his own dream world. I have chosen a teenage boy to tell my story because of the autobiographical component of the project. Having already worked several times with him, we have developed an intimate relationship that has enabled me to access his imagination and world. Through this relationship, I have been able to establish a specific consistency and fluidity between the images. Reinterpreting various themes close to adolescence I have punctuated the storytelling with more abstract imagery, allowing me to vary the tone. I decided to only reveal fragments of this period in the life of the boy. The images are separated by only a thin line between childhood and adulthood. My character constantly crosses this line, navigating between the two positions despite always keeping one foot within childhood. For this project, similar to my previous work, I have established my own playground that has allowed me to play with different photographic styles such as portraiture, staged photography, documentary, and fiction.“ “ Days of Threshold is a photographic project composed of 26 inkjet prints narrating the story of a country boy who has invented his own dream world.I have chosen a teenage boy to tell my story because of the autobiographical component of the project. Having already worked several times with him, we have developed an intimate relationship that has enabled me to access his imagination and world. Through this relationship, I have been able to establish a specific consistency and fluidity between the images.Reinterpreting various themes close to adolescence I have punctuated the storytelling with more abstract imagery, allowing me to vary the tone. I decided to only reveal fragments of this period in the life of the boy. The images are separated by only a thin line between childhood and adulthood. My character constantly crosses this line, navigating between the two positions despite always keeping one foot within childhood. For this project, similar to my previous work, I have established my own playground that has allowed me to play with different photographic styles such as portraiture, staged photography, documentary, and fiction. ”Jeremy Ayer

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Artforum 2011 / Annual Report Project
Artforum 2011 / Annual Report

Artforum 2011 / Annual Report My work consists in an Annual Report 2011 for the magazine Artforum International. I ve analysed the gallery advertisements of the 10 issues of this year and then created statistics showing the content/advertisements ratio and also the distribution of the number of ads per gallery and artist. Based on the results of these statistics, I then created a new generative graphic system which, with its simple geometric forms and its mathematical placements, recalls some aspects of Concrete Art. During this project I ve learned a lot about generative graphic systems, their advantages and difficulties. On the other hand this work has revealed interesting aspects concerning the development and the present situation of the international art market and its economic interdependences. Teo Schifferli My work consists in an Annual Report 2011 for the magazine Artforum International. I ve analysed the gallery advertisements of the 10 issues of this year and then created statistics showing the content/advertisements ratio and also the distribution of the number of ads per gallery and artist. Based on the results of these statistics, I then created a new generative graphic system which, with its simple geometric forms and its mathematical placements, recalls some aspects of Concrete Art. During this project I ve learned a lot about generative graphic systems, their advantages and difficulties. On the other hand this work has revealed interesting aspects concerning the development and the present situation of the international art market and its economic interdependences. Teo Schifferli

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Above the Cloud Project
Above the Cloud

Boris Meister – Above the Cloud Above the Cloud is an atlas about archeology on the social networks, death and digital marks left in distress on the internet. “I try to serve this complex subject and, above all, to explain it by creating a coherent object, both in its structure, its images and its layout. I play with the general idea of the atlas and I use different languages (associations of images, illustrations, data visualisation) to create an "atmosphere" favorable to the understanding of the subject, and, in the end, make a book "object" which might have several levels of interpretation. This is a work of graphic design, art direction, editorial research and a statement of my opinion on the status of the printed book. By providing special care to the finish of the object and its materiality (a cover made of glass, mixed paper, ...) I would like to create something simple but captivating and intriguing. This way, I want to say how I see a media (the book) whose status is now more than ever under debate.” Boris Meister

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Sion: microcosme, systèmes d'influences Project
Sion: microcosme, systèmes d'influences

Louisa Gagliardi – Sion: microcosme, systèmes d influences Sion, capital city of Valais is a small town with 30,000 inhabitants. Despite its size, the art scene is very prolific. Artists, museums, galleries, auctions, monuments, studios and residencies, all the institutions are in place. Add to that the mountains, soccer clubs, wine makers, banks, politicians and superstars and you ll get a very original artstic scenery. The aim of this book is to show how such a place works, with influences systems, networking, alliances, sponsorship, cronyism and so on… Whereas the past 4 years have given me all the tools to realise a coherent book graphic design-wise, this work also allies serious research with a strong content which, to me, was still something to achieve. Having spent the first 20 years of my life in Sion, with an artist mother and an architect father, I allow myself a sometimes acid, sometimes fun commentary on a small but very proud art scene. Louisa Gagliardi Sion, capital city of Valais is a small town with 30,000 inhabitants. Despite its size, the art scene is very prolific. Artists, museums, galleries, auctions, monuments, studios and residencies, all the institutions are in place. Add to that the mountains, soccer clubs, wine makers, banks, politicians and superstars and you ll get a very original artstic scenery. The aim of this book is to show how such a place works, with influences systems, networking, alliances, sponsorship, cronyism and so on…Whereas the past 4 years have given me all the tools to realise a coherent book graphic design-wise, this work also allies serious research with a strong content which, to me, was still something to achieve. Having spent the first 20 years of my life in Sion, with an artist mother and an architect father, I allow myself a sometimes acid, sometimes fun commentary on a small but very proud art scene. Louisa Gagliardi

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Chroniques d'une disparition Project
Chroniques d'une disparition

Jonas Berthod – Chroniques d une disparition “ This work tells the story of boxer and poet Arthur Cravan, precursor of Dada and Surrealism, who was born in Switzerland in 1887 and vanished somewhere in the Pacific Ocean in 1918. When I discovered his story in bits, I was struck by the number of lives he led, all full and intense. In order to tell them, I reenacted them in a visual enquiry, with a series of different design objects. Assembled and edited in a report completing my investigation, they retrace the facets of Arthur Cravan. This work in two phases allowed me to make a foray, through my interests (art, the function and role of design, history, the materiality of print…), into the ways of telling a life beyond words — experimenting on the one hand with storytelling and on the other hand with the tools, both technical and visual, of design. ” Jonas Berthod “ This work tells the story of boxer and poet Arthur Cravan, precursor of Dada and Surrealism, who was born in Switzerland in 1887 and vanished somewhere in the Pacific Ocean in 1918. When I discovered his story in bits, I was struck by the number of lives he led, all full and intense. In order to tell them, I reenacted them in a visual enquiry, with a series of different design objects. Assembled and edited in a report completing my investigation, they retrace the facets of Arthur Cravan.This work in two phases allowed me to make a foray, through my interests (art, the function and role of design, history, the materiality of print…), into the ways of telling a life beyond words — experimenting on the one hand with storytelling and on the other hand with the tools, both technical and visual, of design. ”Jonas Berthod

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Made in Switzerland in China Project
Made in Switzerland in China

Julien Mercier – Made in Switzerland in China After discovering the existence of a replica of the village of Interlaken in China, I decided to go on site to document a phenomenon: the copy of Swiss (and extensively occidental) culture. Located in the middle of the mountains, one premise appeared: every single detail there was to see, from the Alphorn statues to the pigeons were the results of an intelligent, total design. In parallel, I decided to talk about the copy and this village immersively, adopting some similar processes and using Chinese means of production. A font was produced, hand copied by a Chinese copy artist, before being redigitsed, in order to obtain the copy of a classic Swiss font, whose shapes were renewed by this particular creative process. It finally takes the form of a book as well as an installation, showing the original outputs and documenting the whole process, many of which having involved a third party. Every one of these constitutive elements and the reason for their presence have a lot to do with the way they were produced. Copies, enriched by the justification of their own existence and by a new cultural context. Just like the village of Interlaken, in China. Julien Mercier After discovering the existence of a replica of the village of Interlaken in China, I decided to go on site to document a phenomenon: the copy of Swiss (and extensively occidental) culture. Located in the middle of the mountains, one premise appeared: every single detail there was to see, from the Alphorn statues to the pigeons were the results of an intelligent, total design. In parallel, I decided to talk about the copy and this village immersively, adopting some similar processes and using Chinese means of production. A font was produced, hand copied by a Chinese copy artist, before being redigitsed, in order to obtain the copy of a classic Swiss font, whose shapes were renewed by this particular creative process. It finally takes the form of a book as well as an installation, showing the original outputs and documenting the whole process, many of which having involved a third party. Every one of these constitutive elements and the reason for their presence have a lot to do with the way they were produced. Copies, enriched by the justification of their own existence and by a new cultural context. Just like the village of Interlaken, in China.Julien Mercier

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Parkin Not Dal Mot Project
Parkin Not Dal Mot

Anna Schudel – Parkin Not Dal Mot In the Swiss Alps, far away in the lower Engadine, there is an arcane garden which is home to many peculiar installations produced by Swiss artist Not Vital. Lying on a steep ground its nature is primal and raw, yet has a taste of enchanted romance. Entering the park is like stepping through a gate that separates the rational from the surreal. This particular nature, combined with the architectural sculptures, gives the visitor a fevered, dreamlike experience. The editorial project transcribes this place into an object, which allows the reader to make a virtual visit.  Parkin Not dal Mot  consists of a story book with local tales and lyrics of cultural value and a smaller guide presenting the artwork and the garden. Furthermore, it refers to its strong themes - art, surrealism, momentariness, nostalgia and the force of nature. It is my personal interpretation of Parkin Not dal Mot and a wish to share it with others. Anna Schudel In the Swiss Alps, far away in the lower Engadine, there is an arcane garden which is home to many peculiar installations produced by Swiss artist Not Vital. Lying on a steep ground its nature is primal and raw, yet has a taste of enchanted romance. Entering the park is like stepping through a gate that separates the rational from the surreal. This particular nature, combined with the architectural sculptures, gives the visitor a fevered, dreamlike experience. The editorial project transcribes this place into an object, which allows the reader to make a virtual visit. Parkin Not dal Mot consists of a story book with local tales and lyrics of cultural value and a smaller guide presenting the artwork and the garden. Furthermore, it refers to its strong themes - art, surrealism, momentariness, nostalgia and the force of nature. It is my personal interpretation of Parkin Not dal Mot and a wish to share it with others.Anna Schudel

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Snowpark Project
Snowpark

Philippe Fragnière – Snowpark This project proposes an analysis of landscapes modified by human intervention. An undefined landscape, dotted by the presence of functional ephemeral objects, which acquires, through the eye of the camera, a hybrid status halfway between architecture and sculpture. Although they are dedicated to a specific use and built without any sculptural intention, these structures suggest definite relationships with Land Art or minimalism. These objects are voluntarily shown at the same time without any elements able to indicate their size in order to generate an oscillation of the perception; as well as to reveal few elements in a distorted way, but nonetheless a lot of material. This transposition can result in a transformation of these objects into structures which could formally belong to the art piece register, while showing how these same objects generate an aestheticization of the Alpine landscape; a landscape transfigured by shapes inspired by urban patterns.

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27.06.2012, Conversation entre Michel Houellebecq et Stéphanie Moisdon Project
27.06.2012, Conversation entre Michel Houellebecq et Stéphanie Moisdon

27.06.2012, Conversation entre Michel Houellebecq et Stéphanie Moisdon 27.06.2012, Conférence: Conversation entre Michel Houellebecq et Stéphanie Moisdon A l occasion de l exposition Le Monde comme volonté et comme papier peint au Consortium de Dijon, Michel Houellebecq, en conversation avec Stéphanie Moisdon, aborde les questions des relations entre la représentation du travail et son esthétique, tant dans son roman « La Carte et le territoire » que dans l exposition. « LE MONDE COMME VOLONTE ET COMME PAPIER PEINT » Une exposition d après « La carte et le territoire », de Michel Houellebecq, commissariat : Stéphanie Moisdon Le personnage principal de « La carte et le territoire » de Michel Houellebecq n est pas un artiste mais un chauffe-eau. L art contemporain n est ni le sujet ni le motif du livre mais la fin de l âge industriel en Europe, la gloire du capitalisme, son achèvement. Au travers de la description des périodes artistiques de Jed Martin, de son exploration de la modernité et de sa fin, s actualisent différentes visions réalistes autour des notions de production, de travail, de métier, de matière et de « technique ». Plusieurs passages du livre évoquent la présence des machines, des objets manufacturés, au destin tragique, en voie de disparition, mais aussi des procédures, des questions formelles (la représentation, la répétition, le report ou la surimpression), des notions critiques ou politiques (l utopie de Fourier, l architecture fonctionnaliste de Le Corbusier, l invention des fabriques d art au temps de William Morris et des pré-raphaélites). Dans ce roman de courte anticipation, on peut voir le monde changer, la France se transformer en une région agricole et touristique. Où l auteur y décrit un monde sans déterminisme, livré au hasard, aux pannes, où chaque existence, individuelle et collective, peut à chaque instant bifurquer. Un temps historique, dont la fin est celle de la victoire de la nature, indifférente au drame humain, dernier atelier de Jed Martin. Car à la fin, les choses se dissolvent, « puis tout se calme, il n y a plus que des herbes agitées par le vent. Le triomphe de la végétation est total. » « Je crois que j en ai à peu près fini avec le monde comme narration – le monde des romans et des films, le monde de la musique aussi. Je ne m intéresse plus qu au monde comme juxtaposition – celui de la poésie, de la peinture » (Michel Houellebecq, « La carte et le territoire », éditions Flammarion, 2010, page 259) « Plus que de la science-fiction, Lafferty donne parfois l impression de créer une sorte de philosophie-fiction, unique en ce que la spéculation ontologique y tient une place plus importante que les interrogations sociologiques, psychologiques ou morales. Dans Le Monde comme volonté et papier peint (le titre anglais, The World as Will and Wallpaper, donne de plus un effet d allitération), le narrateur, voulant explorer l univers jusqu à ses limites, perçoit au bout d un temps des répétitions, se retrouve dans des situations similaires, et finit par prendre conscience que le monde est constitué d entités de petite taille, nées chacune d un acte de volonté identique, et indéfiniment répétées. » (Michel Houellebecq, « Sortir du XXe siècle », in « Lanzarote et autres textes », Librio 2002) « Au préalable, je vous demanderais d étendre l acception du mot « art » au-delà des productions artistiques explicites, de façon à embrasser non seulement la peinture, la sculpture et l architecture, mais aussi les formes et les couleurs de tous les biens domestiques, voire la disposition des champs pour le labour ou la pâture, l entretien des villes et de tous nos chemins, voies et routes ; bref, d étendre le sens du mot « art », jusqu à englober la configuration de tous les aspects extérieurs de notre vie. Je voudrais en effet vous persuader qu il n existe rien de ce qui participe à notre environnement qui ne soit beau ou laid, qui ne nous ennoblisse ou ne nous avilisse, qui ne constitue pour son auteur ou bien un écrasant supplice, ou bien un plaisant réconfort. Qu en est-il donc de notre environnement actuel ? Quel bilan serons-nous en mesure de dresser pour les générations futures de notre commerce avec la terre, une terre que nos ancêtres nous ont transmise fort belle encore, malgré des millénaires de guerroiement, de négligence, d égoïsme ? » (William Morris, “L art en ploutocratie”, conférence prononcée à l Université d Oxford, le 14 novembre 1883) 27.06.2012, Conférence: Conversation entre Michel Houellebecq et Stéphanie Moisdon A l occasion de l exposition Le Monde comme volonté et comme papier peint au Consortium de Dijon, Michel Houellebecq, en conversation avec Stéphanie Moisdon, aborde les questions des relations entre la représentation du travail et son esthétique, tant dans son roman « La Carte et le territoire » que dans l exposition. « LE MONDE COMME VOLONTE ET COMME PAPIER PEINT » Une exposition d après « La carte et le territoire », de Michel Houellebecq, commissariat : Stéphanie MoisdonLe personnage principal de « La carte et le territoire » de Michel Houellebecq n est pas un artiste mais un chauffe-eau. L art contemporain n est ni le sujet ni le motif du livre mais la fin de l âge industriel en Europe, la gloire du capitalisme, son achèvement. Au travers de la description des périodes artistiques de Jed Martin, de son exploration de la modernité et de sa fin, s actualisent différentes visions réalistes autour des notions de production, de travail, de métier, de matière et de « technique ». Plusieurs passages du livre évoquent la présence des machines, des objets manufacturés, au destin tragique, en voie de disparition, mais aussi des procédures, des questions formelles (la représentation, la répétition, le report ou la surimpression), des notions critiques ou politiques (l utopie de Fourier, l architecture fonctionnaliste de Le Corbusier, l invention des fabriques d art au temps de William Morris et des pré-raphaélites). Dans ce roman de courte anticipation, on peut voir le monde changer, la France se transformer en une région agricole et touristique. Où l auteur y décrit un monde sans déterminisme, livré au hasard, aux pannes, où chaque existence, individuelle et collective, peut à chaque instant bifurquer. Un temps historique, dont la fin est celle de la victoire de la nature, indifférente au drame humain, dernier atelier de Jed Martin. Car à la fin, les choses se dissolvent, « puis tout se calme, il n y a plus que des herbes agitées par le vent. Le triomphe de la végétation est total. » « Je crois que j en ai à peu près fini avec le monde comme narration – le monde des romans et des films, le monde de la musique aussi. Je ne m intéresse plus qu au monde comme juxtaposition – celui de la poésie, de la peinture » (Michel Houellebecq, « La carte et le territoire », éditions Flammarion, 2010, page 259) « Plus que de la science-fiction, Lafferty donne parfois l impression de créer une sorte de philosophie-fiction, unique en ce que la spéculation ontologique y tient une place plus importante que les interrogations sociologiques, psychologiques ou morales. Dans Le Monde comme volonté et papier peint (le titre anglais, The World as Will and Wallpaper, donne de plus un effet d allitération), le narrateur, voulant explorer l univers jusqu à ses limites, perçoit au bout d un temps des répétitions, se retrouve dans des situations similaires, et finit par prendre conscience que le monde est constitué d entités de petite taille, nées chacune d un acte de volonté identique, et indéfiniment répétées. » (Michel Houellebecq, « Sortir du XXe siècle », in « Lanzarote et autres textes », Librio 2002) « Au préalable, je vous demanderais d étendre l acception du mot « art » au-delà des productions artistiques explicites, de façon à embrasser non seulement la peinture, la sculpture et l architecture, mais aussi les formes et les couleurs de tous les biens domestiques, voire la disposition des champs pour le labour ou la pâture, l entretien des villes et de tous nos chemins, voies et routes ; bref, d étendre le sens du mot « art », jusqu à englober la configuration de tous les aspects extérieurs de notre vie. Je voudrais en effet vous persuader qu il n existe rien de ce qui participe à notre environnement qui ne soit beau ou laid, qui ne nous ennoblisse ou ne nous avilisse, qui ne constitue pour son auteur ou bien un écrasant supplice, ou bien un plaisant réconfort. Qu en est-il donc de notre environnement actuel ? Quel bilan serons-nous en mesure de dresser pour les générations futures de notre commerce avec la terre, une terre que nos ancêtres nous ont transmise fort belle encore, malgré des millénaires de guerroiement, de négligence, d égoïsme ? » (William Morris, “L art en ploutocratie”, conférence prononcée à l Université d Oxford, le 14 novembre 1883)

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ECAL Conference: Michel Houellebecq Event

ECAL Conference: Michel Houellebecq,27.06.2012,ECAL, cour intérieure ECAL Conference: Michel Houellebecq – Writer, Paris Mercredi 27 juin 2012, l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a eu le privilège de recevoir l écrivain Michel Houellebecq, Prix Goncourt 2010. A cette occasion, l auteur des Particules élémentaires a participé à une conversation autour de l exposition "Le Monde comme volonté et comme papier peint" créée d après le livre La carte et le territoire. Devant un parterre de 250 personnes, il s est ainsi entretenu pendant plus d une heure avec Stéphanie Moisdon, commissaire de cette exposition et responsable du Master arts visuels à l ECAL. Exposition "Le Monde comme volonté et comme papier peint" Le Consortium, Dijon Jusqu au 10 septembre 2012 http://leconsortium.fr/

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Terrazzo Project Project
Terrazzo Project

Luke Archer – Terrazzo Project The Terrazzo Project is a furniture design company started by two ex-ECAL students, working with a particular stone material; terrazzo (a mixture of cement and marble). Starting as a collaboration with the Terrazzo Project , this work is a research into materials and processes within graphic design, type design and art direction. It investigates ways to develop a visual identity with reference to the use of specific materials. This involves printing experimentation with the stone to capture the surface and texture of the material and translate it into a graphic medium, a corporate typeface, with a special CNC cut, presented as a stone type specimen, and a photographic style. The Terrazzo Project is a furniture design company started by two ex-ECAL students, working with a particular stone material; terrazzo (a mixture of cement and marble). Starting as a collaboration with the Terrazzo Project, this work is a research into materials and processes within graphic design, type design and art direction. It investigates ways to develop a visual identity with reference to the use of specific materials. This involves printing experimentation with the stone to capture the surface and texture of the material and translate it into a graphic medium, a corporate typeface, with a special CNC cut, presented as a stone type specimen, and a photographic style.

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Spheres Project
Spheres

Philippe Karrer – Spheres The publication Spheres  is the creative documentation of a close collaboration between an artist and the editor, graphic designer Philippe Karrer. Every issue is dedicated to a young artist and their work, in each case exploring character, surroundings, everyday life, inspirations and ideas using unconventional innovative formats so as to create a different, more visual approach and understanding of the artist and their work. The focus lies on what is important to the artist during the period of collaboration for the publication, hereby capturing a certain essence of the artist s work at that time. Not only can the reader dive in to the artist s world, receiving small personal snippets of the life in and around their art, but also (and perhaps even more importantly) the way in which the artist chooses to present things in the publication gives the reader an idea of the artist s whole artistic sphere. For this first issue of Spheres , Philippe Karrer invited Dutch artist Melanie Bonajo to present herself and her work. An image archive to show Bonajo s inspirations, a visual interview as a dialogue between editor and artist and text contributions by Annelies Blijveld, Jaimey Hamilton and Joël Vacheron make up this first issue of Spheres. spheres-publication.ch The publication Spheres is the creative documentation of a close collaboration between an artist and the editor, graphic designer Philippe Karrer. Every issue is dedicated to a young artist and their work, in each case exploring character, surroundings, everyday life, inspirations and ideas using unconventional innovative formats so as to create a different, more visual approach and understanding of the artist and their work. The focus lies on what is important to the artist during the period of collaboration for the publication, hereby capturing a certain essence of the artist s work at that time. Not only can the reader dive in to the artist s world, receiving small personal snippets of the life in and around their art, but also (and perhaps even more importantly) the way in which the artist chooses to present things in the publication gives the reader an idea of the artist s whole artistic sphere. For this first issue of Spheres, Philippe Karrer invited Dutch artist Melanie Bonajo to present herself and her work. An image archive to show Bonajo s inspirations, a visual interview as a dialogue between editor and artist and text contributions by Annelies Blijveld, Jaimey Hamilton and Joël Vacheron make up this first issue of Spheres.spheres-publication.ch

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ECAL Conférence: Christian Marclay Event

ECAL Conférence: Christian Marclay,15.05.2012,IKEA Auditorium, ECAL ECAL Conférence: Christian Marclay – Artist, New York En conversation avec l historienne de l art Valérie Mavridorakis Christian Marclay, Plasticien, New York

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Jean-Luc Manz: Pièces choisies Event
Jean-Luc Manz: Pièces choisies

Jean-Luc Manz: Pièces choisies,02.05–01.06.2012,Gallery l elac, ECAL L espace lausannois d art contemporain (l elac) accueille «Pièces choisies», une exposition de Jean-Luc Manz. «La démarche artistique de Jean-Luc Manz est structurée de telle façon qu un tableau peut posséder en lui les éléments capables de convoquer tous les autres tableaux. Mais la logique intrinsèque qui, sur maintenant près de trente ans de production, relie dans l œuvre de Manz l ensemble des expériences formelles qu il a conduites dans le champ de l abstraction géométrique, va bien au-delà de ce que l on appelle la cohérence d un travail. Il s agit plutôt d une attitude qui se rapproche davantage de la nécessité d inventer des stratégies pour soustraire son œuvre à la réification, si ce n est pour se soustraire lui-même à une identité trop restrictive de peintre de l abstraction. Ainsi, au cours des ans, il renouvelle sans cesse son vocabulaire formel, sa palette de couleurs mais aussi sa manière de réinterpréter les différentes tendances déjà visitées dans l art abstrait. Il développe des systématiques qui ont le plus souvent un lien avec la réalité et dans lesquels l appropriation comme le ready-made jouent un rôle déterminant. Pourtant ces procédés ne relèvent pas d une position critique de l artiste à l égard des pratiques et des discours de ses contemporains ; au contraire, il s agit pour lui de mettre davantage l accent sur l art comme expérience, voire comme une possible relation au monde où l affect et le vécu ont autant d importance que le détournement de formes préexistantes.» Extrait du texte «L art comme expérience: du ludique au contemplatif» de Catherine Othenin-Girard, in «Jean-Luc Manz Peintures 1984-2010», Musée cantonal des Beaux-Arts, edition fink. «Pièces choisies» à l elac L exposition s articule principalement autour de deux séries, les «Bedroom Fantasies» (2001) et «Ohio I-IV» ( 2006 ). La série «Bedroom Fantasies» est la dernière qui utilise le damier qui est un motif récurrent dans le travail de Jean-Luc Manz. Celle-ci fait partie d un ensemble autour de la figure de Lily St-Cyr, célèbre strip-teaseuse américaine des années 1950. Le titre de cette série vient d un vaudeville dans lequel elle joua. Les couleurs s opposent et s affrontent en intensifiant la répétition du carré. «Ohio» est le pendant à la série «Bari s paintings I-IV» ( 1998-1999 ). La toile est ici divisée en rectangles verticaux dans une gamme chromatique sourde. Ce travail fait appel au souvenirs de voyage; mémoire intense et fragile.

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Remote control Project
Remote control

Remote control Why do we invest in a vase, a plate, or a candlestick, but not in a remote control for the television? Sixty years after its creation under the name, “Lazy Bones,” the remote control is still perceived as a collection of buttons on a block of plastic. It hasn t acquired the status of an object, nor does it carry cultural, emotional or social value. However, it occupies a central place in our living room. What s more, it constitutes a vital link between our real bodies and the digital world, which now includes television. As part of its effort to renew our relationship to the digital world, and under the title of “Lazy Bytes,” the EPFL+ECAL Lab collaborated with the Kudelski Group to invite four major design schools to rethink the remote control: the Royal College of Art in London, ENSCI-Les Ateliers de Paris, Parsons The New School for Design in New York, and the ECAL/University of Art and Design Lausanne. To concentrate on the value of the object in relation to the user, the projects were given the freedom to limit the number of functions. The results fit well alongside more complex interfaces for controlling our domestic environment. They aim to challenge and renew our daily relationship with the digital world.

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Le Retranchement Project
Le Retranchement

Le Retranchement 17.03-29.04.2012 Le Retranchement, Manoir de la ville de Martigny, Martigny Exposition du Master arts visuels de l ECAL à Martigny Du 17 mars au 29 avril 2012 (vernissage le 16 mars à 18h), le Manoir de la Ville de Martigny accueille « Le Retranchement ». Cette exposition des étudiants du Master HES-SO en Arts visuels (European Art Ensemble) de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a été conçue sous la direction de l artiste Valentin Carron et de la commissaire et critique d art Stéphanie Moisdon. Sous la forme originale d une carte blanche confiée à Valentin Carron par le Manoir de la Ville de Martigny, ce projet s est développé autour des enjeux collectifs des artistes impliqués dans la formation European Art Ensemble. A partir d un processus actif de discussion, il s agissait de penser la réalité d une exposition de groupe aujourd hui, ses risques, ses conventions et ses promesses. Profondément inspirée par le contexte unique du Manoir, l histoire de ce « Retranchement » est celle d une enquête, d une errance qui mène à travers les nombreux espaces délaissés de la demeure à l apogée de la chambre 11. Une énigme, faite de vides, de courants d air, de sensations d art, d architecture, de littérature qui aboutit à l étrange apparition de tous ces objets «retranchés», forcés à cohabiter. Ce retranchement est aussi l histoire d un ballet mécanique, l exposition étant amenée à se déplacer dans le manoir sur toute sa durée. Au cœur de ce dispositif, Valentin Carron intervient sous une forme réflexive, à travers un agencement qui ne cherche pas à se définir, entre la sculpture et la scénographie, du lien à la séparation. Les propositions des étudiants embrassent pratiquement tous les champs de l art contemporain, souvent avec humour et poésie. Jonathan Naas rend ainsi hommage à un groupe de Doom Metal par le biais d un «wallpainting». Grégory Corthay promène Eliot, son chien, au gré du temps et de son humeur. Agnès Ferla réalise in situ un monochrome de 14 m2. Sylvain Croci-Torti peint au spray acrylique une toile qui suscite l énergie d un riff de guitare de J. Mascis, voire la rencontre d un bonbon Mentos et d une bouteille de Coca-Cola. Natacha Steiner utilise des supports en bois pour réaliser des pièces en 2D ou 3D sur lesquelles elle grave, colle ou peint. Cécile Mestelan propose une photographie numérique représentant une chambre, évoquant l occupation passée. Kyung Roh Bannwart présente une série de dessins à l aquarelle et une maquette architecturale de l idée initiale de l installation qu elle voulait construire. Matthias Gabi travaille avec des photographies achetées à des banques d images et qui font appel à des stéréotypes universellement établis. David Weishaar s est penché sur l iconographie de la tapisserie de chasse. Tarik Hayward joue de la batterie avec des baguettes modélisées à partir de ses tibias. Sami Benhadj apprend les rudiments de la composition de peintures abstraites. Eric Emery s intéresse aux ronds-points de Martigny. Benjamin Husson réalise une girouette pour la tour du Manoir. Emil Michael Klein esquisse sa jeunesse passée à Ernen (VS). Andrzej Urbanski produit des peintures à partir d informations recueillies dans la publicité, l architecture, le paysagisme, la mode et les médias. Christophe Sarlin fera courant d air. Guy Meldem, qui a conçu l affiche, érige une colonne reconstituée. Matthias Sohr utilise trois écrans LED dont la disposition limite la réception de l information. Le Retranchement Du 17 mars au 29 avril 2012, du mardi au dimanche, de 14h à 18h (sauf jours fériés) Place du Manoir 1, 1920 Martigny www.manoir-martigny.ch 17.03-29.04.2012 Le Retranchement, Manoir de la ville de Martigny, Martigny Exposition du Master arts visuels de l ECAL à Martigny Du 17 mars au 29 avril 2012 (vernissage le 16 mars à 18h), le Manoir de la Ville de Martigny accueille « Le Retranchement ». Cette exposition des étudiants du Master HES-SO en Arts visuels (European Art Ensemble) de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a été conçue sous la direction de l artiste Valentin Carron et de la commissaire et critique d art Stéphanie Moisdon. Sous la forme originale d une carte blanche confiée à Valentin Carron par le Manoir de la Ville de Martigny, ce projet s est développé autour des enjeux collectifs des artistes impliqués dans la formation European Art Ensemble. A partir d un processus actif de discussion, il s agissait de penser la réalité d une exposition de groupe aujourd hui, ses risques, ses conventions et ses promesses. Profondément inspirée par le contexte unique du Manoir, l histoire de ce « Retranchement » est celle d une enquête, d une errance qui mène à travers les nombreux espaces délaissés de la demeure à l apogée de la chambre 11. Une énigme, faite de vides, de courants d air, de sensations d art, d architecture, de littérature qui aboutit à l étrange apparition de tous ces objets «retranchés», forcés à cohabiter. Ce retranchement est aussi l histoire d un ballet mécanique, l exposition étant amenée à se déplacer dans le manoir sur toute sa durée. Au cœur de ce dispositif, Valentin Carron intervient sous une forme réflexive, à travers un agencement qui ne cherche pas à se définir, entre la sculpture et la scénographie, du lien à la séparation. Les propositions des étudiants embrassent pratiquement tous les champs de l art contemporain, souvent avec humour et poésie. Jonathan Naas rend ainsi hommage à un groupe de Doom Metal par le biais d un «wallpainting». Grégory Corthay promène Eliot, son chien, au gré du temps et de son humeur. Agnès Ferla réalise in situ un monochrome de 14 m2. Sylvain Croci-Torti peint au spray acrylique une toile qui suscite l énergie d un riff de guitare de J. Mascis, voire la rencontre d un bonbon Mentos et d une bouteille de Coca-Cola. Natacha Steiner utilise des supports en bois pour réaliser des pièces en 2D ou 3D sur lesquelles elle grave, colle ou peint. Cécile Mestelan propose une photographie numérique représentant une chambre, évoquant l occupation passée. Kyung Roh Bannwart présente une série de dessins à l aquarelle et une maquette architecturale de l idée initiale de l installation qu elle voulait construire. Matthias Gabi travaille avec des photographies achetées à des banques d images et qui font appel à des stéréotypes universellement établis. David Weishaar s est penché sur l iconographie de la tapisserie de chasse. Tarik Hayward joue de la batterie avec des baguettes modélisées à partir de ses tibias. Sami Benhadj apprend les rudiments de la composition de peintures abstraites. Eric Emery s intéresse aux ronds-points de Martigny. Benjamin Husson réalise une girouette pour la tour du Manoir. Emil Michael Klein esquisse sa jeunesse passée à Ernen (VS). Andrzej Urbanski produit des peintures à partir d informations recueillies dans la publicité, l architecture, le paysagisme, la mode et les médias. Christophe Sarlin fera courant d air. Guy Meldem, qui a conçu l affiche, érige une colonne reconstituée. Matthias Sohr utilise trois écrans LED dont la disposition limite la réception de l information. Le Retranchement Du 17 mars au 29 avril 2012, du mardi au dimanche, de 14h à 18h (sauf jours fériés) Place du Manoir 1, 1920 Martigny www.manoir-martigny.ch

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Le Retranchement Event
Le Retranchement

Le Retranchement,17.03–29.04.2012,Manoir de Martigny Du 17 mars au 29 avril 2012 (vernissage le vendredi 16 mars à 18h), le Manoir de la Ville de Martigny accueille «Le Retranchement ». Cette exposition des étudiants du Master HES-SO en Arts visuels (European Art Ensemble) de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a été conçue sous la direction de l artiste Valentin Carron et de la commissaire et critique d art Stéphanie Moisdon. Sous la forme originale d une carte blanche confiée à Valentin Carron par le Manoir de la Ville de Martigny, ce projet s est développé autour des enjeux collectifs des artistes impliqués dans la formation European Art Ensemble. A partir d un processus actif de discussion, il s agissait de penser la réalité d une exposition de groupe aujourd hui, ses risques, ses conventions et ses promesses. Profondément inspirée par le contexte unique du Manoir, l histoire de ce «Retranchement» est celle d une enquête, d une errance qui mène à travers les nombreux espaces délaissés de la demeure à l apogée de la chambre 11. Une énigme, faite de vides, de courants d air, de sensations d art, d architecture, de littérature qui aboutit à l étrange apparition de tous ces objets «retranchés», forcés à cohabiter. Ce retranchement est aussi l histoire d un ballet mécanique, l exposition étant amenée à se déplacer dans le manoir sur toute sa durée. Au cœur de ce dispositif, Valentin Carron intervient sous une forme réflexive, à travers un agencement qui ne cherche pas à se définir, entre la sculpture et la scénographie, du lien à la séparation. Les propositions des étudiants embrassent pratiquement tous les champs de l art contemporain, souvent avec humour et poésie. Jonathan Naas rend ainsi hommage à un groupe de Doom Metal par le biais d un «wallpainting». Grégory Corthay promène Eliot, son chien, au gré du temps et de son humeur. Agnès Ferla réalise in situ un monochrome de 14 m2. Sylvain Croci-Torti peint au spray acrylique une toile qui suscite l énergie d un riff de guitare de Jay Mascis, voire la rencontre d un bonbon Mentos et d une bouteille de Coca-Cola. Natacha Steiner utilise des supports en bois pour réaliser des pièces en 2D ou 3D sur lesquelles elle grave, colle ou peint. Cécile Mestelan propose une photographie numérique représentant une chambre, évoquant l occupation passée. Kyung Roh Bannwart présente une série de dessins à l aquarelle et une maquette architecturale de l idée initiale de l installation qu elle voulait construire. Matthias Gabi travaille avec des photographies achetées à des banques d images et qui font appel à des stéréotypes universellement établis. David Weishaar s est penché sur l iconographie de la tapisserie de chasse. Tarik Hayward joue de la batterie avec des baguettes modélisées à partir de ses tibias. Sami Benhadj apprend les rudiments de la composition de peintures abstraites. Eric Emery s intéresse aux ronds-points de Martigny. Benjamin Husson réalise une girouette pour la tour du Manoir. Emil Michael Klein esquisse sa jeunesse passée à Ernen (VS). Andrzej Urbanski produit des peintures à partir d informations recueillies dans la publicité, l architecture, le paysagisme, la mode et les médias. Christophe Sarlin fera courant d air. Guy Meldem, qui a conçu l affiche, érige une colonne reconstituée. Matthias Sohr utilise trois écrans LED dont la disposition limite la réception de l information. Du 17 mars au 29 avril 2012, du mardi au dimanche, de 14h à 18h (sauf jours fériés) Place du Manoir 1, 1920 Martigny www.manoir-martigny.ch

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ECAL Conference: Nathaniel Mellors Event

ECAL Conference: Nathaniel Mellors,05.03.2012,IKEA Auditorium, ECAL ECAL Conference: Nathaniel Mellors – Artist, London and Amsterdam Dans le cadre d une semaine Pool.ch du Master Arts visuels HES-SO en partenariat avec la HEAD/Haute école d art et de design Genève et l ECAV/Ecole cantonale d art du Valais Nathaniel Mellors, Artiste, Londres et Amsterdam

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Juliana Stadelmann – Theoretical thesis Project
Juliana Stadelmann – Theoretical thesis

Juliana Stadelmann – Theoretical thesis Bad faith Fine arts Bad faith Fine artsMain applicantsECAL/University of Art and Design Lausanne Juliana Stadelmann (project leader) Stéphanie Moisdon (professor) Period2012Supported byECAL/University of Art and Design Lausanne

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Anna Schudel – Theoretical thesis Project
Anna Schudel – Theoretical thesis

Anna Schudel – Theoretical thesis Dramaturgie im Buchdesign  Graphic design Dramaturgie im Buchdesign Graphic designMain applicantsECAL/University of Art and Design Lausanne Anna Schudel (project leader) André-Vladimir Heiz (professor) Period2012Supported byECAL/University of Art and Design Lausanne

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Fabrice Schneider – Theoretical thesis Project
Fabrice Schneider – Theoretical thesis

Fabrice Schneider – Theoretical thesis Photography as object. Between sculpture and instrumentalisation Photography Photography as object. Between sculpture and instrumentalisation PhotographyMain applicantsECAL/University of Art and Design Lausanne Fabrice Schneider (project leader) Joël Vacheron (professor) Period2012Supported byECAL/University of Art and Design Lausanne

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Matthieu Rohrer – Theoretical thesis Project
Matthieu Rohrer – Theoretical thesis

Matthieu Rohrer – Theoretical thesis The sound of wood Industrial design The sound of woodIndustrial design Main applicantsECAL/University of Art and Design Lausanne Matthieu Rohrer (project leader) André-Vladimir Heiz (professor) Period2012Supported byECAL/University of Art and Design Lausanne

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Clara Peyrot – Theoretical thesis Project
Clara Peyrot – Theoretical thesis

Clara Peyrot – Theoretical thesis Tell me an object Industrial design Tell me an object Industrial designMain applicantsECAL/University of Art and Design Lausanne Clara Peyrot (project leader) André-Vladimir Heiz (professor) Period2012Supported byECAL/University of Art and Design Lausanne

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Nathalie Perrin – Theoretical thesis Project
Nathalie Perrin – Theoretical thesis

Nathalie Perrin – Theoretical thesis Bumblebee, king of the stars Fine ArtsMain applicantsECAL/University of Art and Design Lausanne Nathalie Perrin (project leader) Stéphanie Moisdon (professor) Period2012Supported byECAL/University of Art and Design Lausanne

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