151 - 183 / 183
L'ECAL à Design Miami/ Basel Event
L'ECAL à Design Miami/ Basel

L ECAL à Design Miami/ Basel,16–22.06.2014,Design Miami/ Basel A l occasion de Design Miami/ Basel 2014 (du 17 au 22 juin), l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne, en collaboration avec The Woolmark Company et Mover sportswear, présente « In Wool We Trust ». Cette exposition célèbre les différentes qualités de la laine grâce à des installations réalisées par les étudiants du Master Design de Produit suite à un workshop dirigé par les designers Ronan Bouroullec et Camille Blin. (Brochure) (Vidéo) (Images HD) « La laine est un matériau qui fait partie de notre quotidien. Elle signifie quelque chose pour chacun de nous, sans avoir une forme ou une couleur particulière. Notre travail a été de mener des expérimentations avec pour objectif de donner forme à ces sensations », expliquent Ronan Bouroullec et Camille Blin, les deux designers responsables de ce projet à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne. Dans une démarche prospective, Mover Sportswear, marque suisse pionnière dans l utilisation de la laine dans les vêtements de ski techniques, et The Woolmark Company, l autorité mondiale de la laine, ont fait appel à l ECAL pour revisiter l univers de cette fibre naturelle. A partir d un briefing très ouvert, Ronan Bouroullec et Camille Blin ont conduit les étudiants du Master Design de Produit à travailler sur des installations grand format et à repenser un matériau souvent cantonné à l artisanat, au mobilier ou au vêtement. Les six projets présentés mettent en scène la laine sous un angle poétique, tout en surprenant le visiteur par une approche décalée. Chaque dispositif raconte une histoire, qui met en lumière les multiples qualités de la laine mérinos. De la légèreté d un simple fil qui s envole à la métamorphose de la laine au cours de sa fabrication, en passant par des jeux de couleurs, la variété des approches adoptées par les étudiants crée un ensemble riche qui nourrit et transforme notre vision de cette matière. « In Wool We Trust » à Design Miami/ Basel Vernissage Journée presse (sur invitation uniquement) : Lundi 16 juin 2014 Salon ouvert au public : mardi 17 et mercredi 18 juin, 11.00 à 20.00 et du jeudi 19 à dimanche 22 juin , 11.00 à 19.00 Hall 1 Süd, Messe Basel, Messeplatz, Bâle, Suisse www.designmiami.com Information ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne 5, avenue du Temple, Renens Case Postale, CH-1001 Lausanne Suisse/Switzerland Tél.: +41 21 316 99 33 Email: ecal@ecal.ch www.ecal.ch www.mover.eu www.woolmark.com

Lire le contenu

Projection des films de l'ECAL à Renens Event
Projection des films de l'ECAL à Renens

Projection des films de l ECAL à Renens,05.06.2014,Place du Marché, Renens ECAL Cinéma – Place du Marché à Renens, jeudi 5 juin à 21 h 30. L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne est reconnue pour son excellente formation dans le domaine du cinéma. La Ville de Renens est heureuse de lui donner l occasion de présenter les œuvres de quelques étudiants. L accès à cette belle soirée de découverte est libre. Le programme dure 1 h 20 et peut être vu par tous. Bienvenue dans l imaginaire des cinéastes de demain! «Frère et sœur», Christophe Saber, 2013, fiction, 14 Entre frère et sœur, on fait de son mieux, mais ce n est jamais simple… «Le doigt d honneur», Malika Pellicioli, 2013, fiction, 14 Théodore, Jeanne et Gabriel sont réunis pour les funérailles de leur père que l on enterre… avec sa chevalière, ou non?! «L âge de feu», Léo Haddad, 2013, fiction, 24 30 On peut passer son enfance côte à côte et pourtant, un jour, être éloignés. «Bonne Espérance», Kaspar Schiltknecht, 2013, fiction, 19 Au sein d un foyer pour jeunes filles, la rencontre entre deux femmes que tout semble opposer : une éducatrice face à une fugueuse rebelle. «À beira de Lisboa», Pablo Briones, 2013, documentaire, 8 Près du grand pont, des hommes cherchent des palourdes. Un documentaire respectueux avec des images d un Lisbonne mystérieux… En cas de fortes intempéries, la projection se fera à l abri. Informations dès midi au numéro 1600. Organisation Ville de Renens Informations 021 632 75 06 www.renens.ch

Lire le contenu

Un étudiant de l'ECAL gagne le Prix Emile Hermès 2014 Article
Un étudiant de l'ECAL gagne le Prix Emile Hermès 2014

Un étudiant de l ECAL gagne le Prix Emile Hermès 2014 A l occasion de la remise le 22 mai à Paris de la 3e édition du prestigieux Prix Emile Hermès (décerné tous les 2 ans par la Fondation d entreprise Hermès), le jury présidé par l architecte italien Michele De Lucchi a récompensé par le premier prix Paul Tubiana (né à Chatenay Malabry en 1991), étudiant en 3e année du Bachelor Design Industriel à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne, ex aequo avec deux autres candidats. Chacun des trois lauréats a gagné 30 000 euros. Le projet de Paul Tubiana a été suivi à l ECAL par la designer française Pauline Deltour Parmi les douze finalistes (sur les 700 projets de designers issus de 54 pays différents reçus par les organisateurs), l ECAL comptait également deux autres étudiants du Bachelor Design Industriel: Anaïs Benoit Dignac (née en 1989 à Velizy Villacoublay) et Colin Peillex (né en 1991 à Genève). Les travaux des douze sélectionnés sont à découvrir jusqu au dimanche 25 mai dans le cadre de l exposition «Un temps pour soi» présentée à l Espace Commines (17 rue des Commines, 75003 Paris). «Léon» de ECAL/Paul Tubiana (paultub@gmail.com) Originaire de la région parisienne, Paul Tubiana (22 ans) terminera en juin 2014 ses études en Bachelor Design Industriel à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne. Actuellement, il est exposé dans le cadre des D Days à Paris par l ECAL et Lausanne Jardins, grâce à un concours de scénographie consistant à intégrer des jardins à l espace urbain. Ce projet, sélectionné par la ville de Lausanne, sera prochainement exposé dans le cadre de Lausanne Jardins. Son projet pour le Prix Emile Hermès, «Léon», est une paroi en carton qui se déploie comme un éventail permettant de s isoler pour un instant choisi. Une façon de se dérober, facilement et élégamment, au regard des autres. Son équilibre est assuré par un socle en bois le long duquel se replie le paravent. Qu est-ce qui vous a inspiré ce projet? J avais envie de créer une paroi permettant de s isoler quelques instants, de se cacher des autres mais sans que cela se transforme en un mur gênant. L éventail m est apparu comme la solution la plus adéquate. C est une paroi que l on déploie d un geste élégant. De plus, cela crée une surprise à l ouverture du fait du format rectangulaire. Je l ai appelé «Léon» en référence au cri du paon qui fait la roue. L objet est en carton. Son équilibre est assuré par un socle en bois le long duquel se replie le paravent. Être designer aujourd hui, cela signifie…? Essayer d améliorer les objets pour améliorer la vie quotidienne. Nous devons créer des produits pratiques, malins, instinctifs, beaux, réjouissants, mais aussi faciles à produire et non polluants. Il existe déjà tellement d objets. Avant d en proposer un nouveau, le designer doit se demander: pourquoi en faire un de plus? Est-ce légitime? Qu aura-t-il de mieux qu un autre? Votre vision d un temps pour soi (la thématique du concours)? Faire ce que l on veut quand on veut, pouvoir se retrouver et sortir quelques instants du champ de vision des autres. Le Prix Emile Hermès Programme de la Fondation d entreprise Hermès en faveur du design, le Prix Émile Hermès récompense, tous les deux ans, les projets de designers autour d une problématique relative à l évolution de nos modes de vie. Pour cette troisième édition, la Fondation a choisi d aborder une thématique qui ouvre une réflexion sur un besoin essentiel: «Un temps pour soi». Ou comment faire une pause, s accorder un temps calme, se ménager la possibilité d une suspension des flux dans un monde rapide, qui se nourrit du continuum ininterrompu des actes, des pensées et des obligations. Un jury de professionnels, présidé par l architecte et designer italien Michele De Lucchi, a sélectionné 12 projets sur les 700 reçus, émanant de designers issus de 54 pays différents. Les finalistes sont originaires d Inde, d Autriche, de France, d Italie, de Singapour ou de Suisse. Tous sont des indépendants de moins de 40 ans, au démarrage de leur carrière ou en plein développement de leur activité. Chacun a pu réaliser, grâce à un budget alloué, le prototype de son projet. Une façon de dépasser le concept pour confronter ses idées aux savoir-faire manufacturiers ou industriels ainsi qu aux enjeux environnementaux. Fauteuil à bascule, cabane ventilée, crayon-bilboquet, kit de pêche... Leurs propositions sont aussi variées que les manières de suspendre le temps. Ce Prix s inscrit dans la lignée de la politique de mécénat menée par la Fondation d entreprise Hermès, qui accompagne, au travers d expositions, de résidences d artistes, de spectacles et même d une académie, le dialogue entre savoir-faire et création contemporaine. http://www.prixemilehermes.com Le Jury du concours Pour son Jury 2014, la Fondation d entreprise Hermès avait invité six membres éminents du design international, pour leur expertise et leur complémentarité: • Michele de Lucchi, Architecte (Italie), Président du jury • Pierre-Alexis Dumas, Président de la Fondation d entreprise Hermès et Directeur artistique général de la maison Hermès (France) • Chantal Hamaide, Directrice de la rédaction du magazine Intramuros (France) • Pascale Mussard, Vice-Présidente de la Fondation d entreprise Hermès et Directrice artistique de « petit h », maison Hermès (France) • Oki Sato, Designer (Japon) • Penny Sparke, Professeur d histoire du design, Université de Kingston (Royaume-Uni) Information ECAL Ecole cantonale d art de Lausanne 5, avenue du Temple, Renens Case Postale, CH-1001 Lausanne Suisse/Switzerland Tel.: +41 (0)21 316 99 33 Email: ecal@ecal.ch www.ecal.ch

Lire le contenu

Exposition «La part du dessin» de Pierre Charpin Event
Exposition «La part du dessin» de Pierre Charpin

Exposition «La part du dessin» de Pierre Charpin,01.05–05.06.2014,Gallery l elac, Renens Du 1 er mai au 5 juin 2014 à la Galerie l elac à Renens, l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présente «Pierre Charpin – La part du dessin». Cette exposition du designer français propose une centaine de dessins sur différents supports et formats. Une monographie de 160 pages, publiée par JRP|Ringier, accompagne cet événement, ainsi qu une sérigraphie spécialement éditée pour l occasion. «Si l on regarde de près la pureté essentielle des objets de Pierre Charpin, on y remarquera une discrétion, peut-être une fragilité. Cette délicatesse est le propre d une présence qui nous fait signe plutôt que de s imposer comme signe. Ce trait «poétique» est dans son travail la part du dessin. Car dessiner pour Pierre Charpin n a jamais été simplement une étape dans le processus de production de l objet – mais une pratique à part entière qui, si elle fait d un côté la singularité de sa signature, traduit de l autre une relation plus originaire à la forme. C est pour cela que depuis quelques années le corpus de son travail intègre à côté des croquis d objets, finalisés à la production, des «dessins de dessins». Ces derniers réalisés en grand format n aspirent à aucune autre réalité que celle qui leur est propre. En série de quatre, de trois ou parfois seuls les dessins représentent dans une continuité avec sa formation artistique, la possibilité d une approche directe et immédiat à l univers des formes. Car c est d abord par le dessin qu un monde émerge, apparaît devant nous. Dans l économie simple de ses moyens – un crayon, une surface – dans son désir de faire venir la forme, le dessin est puissance poétique. Poiesis, en grec ancien, raconte de la création d un monde… par la puissance des dieux, par la main des hommes. Suspendues des contraintes de la production, sans finalité autre que celle imposée par leur propre élan, les formes dessinées par Pierre Charpin se déploient dans un jeu libre. Une recherche, un cheminement de la main et de la pensée vers une forme qu il ne voit pas encore, qu il entrevoit peut-être. Cette tension devient par la répétition infinie du même geste, par la variation chromatique d une même ligne ou du même point, puissance plastique, dynamisme interne qui implique l œil du spectateur dans l émergence de la forme. C est ici que le plaisir, intime et solitaire, se transforme dans une invitation, silencieuse et discrète. Une invitation à voir entre les lignes, au-delà des lignes, avant toute apparition, le pur spectacle de l apparaître.» Texte d Alessandra Fanari Exposition «Pierre Charpin – La part du dessin» Exposition ouverte du 1er mai au 5 juin 2014 (fermée les 29 et 30 mai) du mercredi au vendredi, de 13h à 17h Une sérigraphie de 50 x 70 cm éditée pour l occasion est disponible à l achat dans la galerie. Livre «Pierre Charpin» Collection: Monographs & Artists Book, édité par Lionel Bovier, Clément Dirié Textes: Pierre Charpin, Alessandra Fanari, Françoise Guichon, Marco Romanelli Design Graphique: Gavillet & Rust Edition Anglais/Français, Hardcover, 265 × 200 mm, 160 pages, 2014 CHF 50 / EUR 40 / £ 31 / US 55 ISBN: 978-3-03764-244-3 www.jrp-ringier.com Galerie l elac 5 av. du Temple 1020 Renens +41 (0)21 316 99 33 ecal@ecal.ch www.ecal.ch Biographie de Pierre Charpin Né en 1962 à Saint-Mandé (Région parisienne), diplômé des Beaux-Arts de Bourges en 1984, Pierre Charpin se consacre au design de mobilier et d objet depuis le début des années 1990. Il vit et travaille à Ivry-sur-Seine, près de Paris. Sa pratique se développe autour de projets expérimentaux, notamment menés avec le Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques (CIRVA) de 1998 à 2001 ou le Centre de recherche sur les arts du feu et de la terre (CRAFT) entre 2003 et 2005, comme lors de ses collaborations avec des éditeurs renommés tels Alessi, Cristallerie de Saint-Louis, Ligne Roset, Manufacture nationale de Sèvres, Montina, Pamar, Tectona, Venini, The Wrong Shop et Zanotta Edizioni. En 2004, Pierre Charpin est lauréat du concours international pour la conception de la carafe Eau de Paris, produite à 10000 exemplaires. Il est également scénographe pour ses propres expositions (au MUDAC et au Grand-Hornu Images) et pour des expositions thématiques comme Les Sixties mode d emploi (Musée de la Mode et du textile, Paris), Mobiboom (Les Arts Décoratifs, Paris) et Quali Cose Siamo, la troisième édition du Triennale Design Museum (Milan), organisée en 2010 par Alessandro Mendini. Depuis 2005, et après une première exposition personnelle en 1999, la Galerie kreo (Paris) édite en exclusivité ses pièces en série limitée, présentées lors d expositions personnelles: Platform en 2006, All aperto en 2008, 8 1/2 en 2009 et Ignotus Nomen en 2011. Parmi ses expositions personnelles, citons également: en 1998, Una mostra di mobili, Galerie Post Design (Milan); en 2001, Torno subito, Galerie des Curiosités, Musée des Arts Décoratifs (Paris); en 2002, Stands, Design Gallery Milano (Milan); en 2005, Oggetti lenti, Design Gallery Milano, et Pierre Charpin 2005 au Grand-Hornu Images (Mons); en 2009, Entre les vases, Musée de design et d arts appliqués contemporains (MUDAC, Lausanne); en 2011, Pierre Charpin au Grand-Hornu, vingt années de travail, Grand-Hornu Images. Parallèlement à ses activités de designer, il enseigne le design de 1998 à 2008 à l Ecole supérieure d Art et de Design de Reims et, depuis 2006, au sein du Département Design Industriel de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne. www.pierrecharpin.com

Lire le contenu

Le Livre d'Or Project
Le Livre d'Or

Le Livre d Or Ré-éditez le contenu d un Livre d Or selon vos propres critères en générant un langage autonome. Le contenu final peut s éloigner du contenu original. Les supports, formats, techniques sont libres. Le nouvel objet doit communiquer les valeurs du lieu. Imaginez ensuite un objet 3D, dont l objectif est de synthétiser le lieu et de commenter sa vocation. The medium is the message. ECAL/Océane Bacher, Thibault Baralon, Maude Bernardoni, Hélène Bezzola, Ludmila Bredikhina, Juliette Caillault, Clement Chavanne, Sebastian Davila, Sarah Di Venosa, Marie Disle, Loïc Dupasquier, Luca Duveau, Eilean Friis-Lund, Monica Gonçalves, Alexis Hominal, Matthieu Huegi, Ines Jaïbi, Claire Mayoud, Guillaume Meyer, Dimitri Nägele, Tamara Niklaus, Tara Quinsac, Nasthasya Reuter, Vincent Sauvaire, Luc Vega et Alice Vodoz Ré-éditez le contenu d un Livre d Or selon vos propres critères en générant un langage autonome. Le contenu final peut s éloigner du contenu original. Les supports, formats, techniques sont libres. Le nouvel objet doit communiquer les valeurs du lieu. Imaginez ensuite un objet 3D, dont l objectif est de synthétiser le lieu et de commenter sa vocation. The medium is the message. ECAL/Océane Bacher, Thibault Baralon, Maude Bernardoni, Hélène Bezzola, Ludmila Bredikhina, Juliette Caillault, Clement Chavanne, Sebastian Davila, Sarah Di Venosa, Marie Disle, Loïc Dupasquier, Luca Duveau, Eilean Friis-Lund, Monica Gonçalves, Alexis Hominal, Matthieu Huegi, Ines Jaïbi, Claire Mayoud, Guillaume Meyer, Dimitri Nägele, Tamara Niklaus, Tara Quinsac, Nasthasya Reuter, Vincent Sauvaire, Luc Vega et Alice Vodoz

Lire le contenu

ECAL Milano 2014: ECAL & Camper présentent le film "Training" Event
ECAL Milano 2014: ECAL & Camper présentent le film "Training"

ECAL Milano 2014: ECAL & Camper présentent le film "Training",09.04.2014,Cinema Arlecchino, Milan A l occasion du Salon international du meuble de Milan 2014, Camper, la marque de chaussures majorquine, et l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présentent le mercredi 9 avril (de 21 h à minuit) au Cinéma Arlecchino un projet multidisciplinaire exceptionnel. Les étudiants du Master Design de Produit ont ainsi créé, sous la direction de Bethan Laura Wood, une boutique qui a servi de décor pour « Training », un court métrage réalisé par Jan Czarlewski, diplômé du Bachelor Cinéma de l ECAL. Images HD La projection de cette fiction est accompagnée d un documentaire d Arthur Touchais, également diplômé en Bachelor Cinéma. Toute la communication de cet événement (graphisme et photographie) est assurée par des anciens étudiants de l ECAL. « L idée de base était de créer une boutique Camper grandeur nature dans le Studio Cinéma de l ECAL, puis d y tourner un court métrage, explique Ramón Úbeda, responsable du projet chez Camper. Nous voulions que ce projet soit multidisciplinaire et qu il regroupe différents des nombreux savoir-faire enseignés à l ECAL, et en particulier la filière Cinéma, qui fait de cette école, un centre de formation unique en son genre ». La première étape consistait en la réalisation d un magasin fictif par les étudiants du Master Design de Produit. Sous la direction de la designer britannique Bethan Laura Wood, ils ont ainsi créé un décor original, authentique objet de design avec ses miroirs sans tain – trucage indispensable au scénario – et sa forme d immense boîte à chaussures. « Que filmer dans une boutique Camper ? Pour trouver le concept du film nous nous sommes inspirés de la philosophie de l entreprise : humour et dérision », révèle Jan Czarlewski, réalisateur de ce court métrage d une douzaine de minutes. Dans cette optique, le film ne pouvait être qu une comédie. L histoire raconte donc la première journée d un jeune vendeur maladroit, stressé et bègue qui est formé par le manager de la boutique, lui-même un angoissé… Cette fiction est accompagnée d un documentaire d Arthur Touchais, qui narre le processus de réalisation de tout le projet, de la création du magasin à la réalisation des objets de communication par Romain Collaud, diplômé du Bachelor Design Graphique de l ECAL. (Brochure) Mercredi 9 avril Projections ouvertes au public (entrée libre) De 21 h à minuit (toutes les 30 minutes) Cinéma Arlecchino Via S. Pietro all Orto 9 20121 Milano www.ccqm.it/5553 www.camper.com Affiche: ECAL/Romain Collaud

Lire le contenu

Événement Project
Événement

Événement Après s être vu attribuer une année, les étudiants ont dû choisir un événement et en faire un projet éditorial. Format imposé, une police de caractères, une couleur. Après s être vu attribuer une année, les étudiants ont dû choisir un événement et en faire un projet éditorial. Format imposé, une police de caractères, une couleur.

Lire le contenu

Second prix pour l'ECAL à l'imm Cologne Article
Second prix pour l'ECAL à l'imm Cologne

Second prix pour l ECAL à l imm Cologne Dans le cadre du salon international du meuble imm Cologne (du 13 au 19 janvier 2014), Yann Mathys (né à Genève en 1989) a obtenu le 2e prix du prestigieux D3 Contest pour son travail de diplôme Bachelor Design Industriel réalisé en 2013 à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne. Pour ce concours, les organisateurs ont reçu près de 700 projets issus de plus d une quarantaine de pays Reverso by ECAL/Yann Mathys Reverso est un système de séparation d espace interactif qui incite au touché. La trame qui a été découpée puis étirée permet de «dessiner» en retournant les écailles, elles réagissent différemment à la lumière selon leur position. Reverso peut être produit en différents formats, il est muni d un système de montage réglable, ce qui lui permet de s adapter à différentes situations. Ce projet est l aboutissement d une recherche sur le papier. Démarche que j ai appréciée car au fil de l avancement de mes expériences et constats j ai pu découvrir de nouvelles possibilités d applications de ce matériau. http://yannmathys.com

Lire le contenu

Un diplômé de l'ECAL lauréat d'une des prestigieuses Bourses Leenaards Article
Un diplômé de l'ECAL lauréat d'une des prestigieuses Bourses Leenaards

Un diplômé de l ECAL lauréat d une des prestigieuses Bourses Leenaards La Fondation Leenaards, active dans les cantons de Vaud et de Genève, favorise l essor artistique de cette région en consacrant notamment, chaque année, un demi-million de francs à l attribution de bourses et de prix culturels. Huit bourses d une valeur de CHF 50 000.- permettront à des artistes et créateurs de cette région de réaliser des projets d envergure qui contribueront à l épanouissement de leur talent., parmi eux Christophe Guberan, diplômé de l ECAL en Bachelor Design Industriel en 2012. Christophe Guberan «Des objets qui sont le fruit d expérimentations à partir de simples matières et d observations», c est avec cette formule que le designer industriel de 28 ans Christophe Guberan conçoit les possibilités d interaction et d esthétiques variables de ses créations. Cette formule, il la cultive d abord dans sa formation professionnelle de dessinateur-architecte terminée en 2006, s initiant ainsi aux vécus des formes et des espaces. A partir de 2008, préférant une réalisation et une conceptualisation d objets à une échelle plus réduite, il réoriente son parcours avec un bachelor en design industriel à l ECAL, qu il termine en 2012. Pendant ces années, un premier objet est produit chez Alessi et ensuite présenté au Salon international du meuble de Milan. Dans la foulée, Christophe Guberan participe à un workshop autour du bambou au National Institute of Design à Ahmedabad, en Inde, et effectue un stage au Chocolate Centre of Excellence de Nestlé. Il développe également le projet Hydro-Fold, qui vise à explorer les propriétés du papier et plus particulièrement la façon dont un liquide peut modifier sa structure, permettant de passer de la 2D à la 3D et de créer des volumes en quelques minutes. Ce projet est exposé en 2012 au SaloneSatellite de Milan ainsi qu au festival Les Urbaines de Lausanne. Le caractère innovant de ce travail attire notamment l attention de l EPFL et du MIT Massachusetts Institute of Technology, qui l invitent à présenter ses recherches. Une année d assistanat à l ECAL donne l opportunité à Christophe Guberan de continuer son exploration des nombreux matériaux et des formes qui l inspirent dans ses créations. Outre un workshop sur le verre à Meisenthal, il présente une série de meubles collection Neil, au Festival Images de Vevey. Avec le Collectif Richoz-Clopath-Guberan, il est lauréat du concours Lausanne Jardins 2014. Invité par Erik Demaine, professeur au MIT, Christophe Guberan pourra, grâce au soutien de la Fondation Leenaards, se rendre à Boston pour continuer ses recherches sur Hydro-Fold. La possibilité d y travailler en équipe avec des ingénieurs, jointe à sa fascination pour les matériaux, devrait lui ouvrir de nouveaux horizons et marquer un tournant dans sa carrière de designer industriel.

Lire le contenu

Conférence ECAL: Freitag Bros. Event

Conférence ECAL: Freitag Bros.,06.11.2013,IKEA Auditorium, ECAL Conférence ECAL: Freitag Bros. – Fondateurs et directeurs créatifs Freitag, Zurich Freitag Bros. Fondateurs et directeurs créatifs Freitag, Zurich Holistic design – A sustainable Freitag brand perspective Mercredi 6 novembre 2013 à 18 h Auditoire IKEA, ECAL Daniel et Markus Freitag, graphistes de formation, ont développé en 1993 leur premier sac de messager en bâches de camion, chambres à air de vélos et ceintures de voitures recyclés. Aujourd hui, ce classique du design suisse est décliné en une cinquantaine de modèles pour une production de 400 000 unités par an.

Lire le contenu

Romain Collaud – Mémoire Project
Romain Collaud – Mémoire

Romain Collaud – Mémoire La grille, Grida, m accompagne depuis le début de ma formation de graphiste. Au travers de multiples états d âme, je pose différentes analyses et points de vue, visant à découvrir quelle est la forme, l influence, la pertinence, le rôle de cette Grida, au-delà même du graphisme. La grille, Grida, m accompagne depuis le début de ma formation de graphiste. Au travers de multiples états d âme, je pose différentes analyses et points de vue, visant à découvrir quelle est la forme, l influence, la pertinence, le rôle de cette Grida, au-delà même du graphisme.

Lire le contenu

«ECAL Terroir» au Marché de Renens Event
«ECAL Terroir» au Marché de Renens

«ECAL Terroir» au Marché de Renens,27.04.2013,Place du Marché, Renens Le 27 avril 2013 dès 09h30, la Ville de Renens lance les animations musicales du marché du samedi avec la formation de jazzSwiss TriBe. A cette occasion, l ECAL présentera exceptionnellement son stand «ECAL Terroir», résultat d un travail surprenant entre étudiants en Master Design de Produit et artisans vaudois. La Ville de Renens et l ECAL sont heureux de s associer lors de la reprise des animations musicales du marché du samedi en présentant de façon exceptionnelle le stand aux couleurs de «ECAL Terroir». Quelque 15 produits ont été ainsi revisités par 16 étudiants de première année du Master Design de Produit. Les étudiants de 7 nationalités différentes sont partis à la découverte des artisans de la région et ont élaboré de nouveaux articles. Les résultats de ces rencontres sont détonants: bricelets provençaux, pâté au fromage de chèvre ou encore sushi de chocolat. Supervisés par le designer et responsable du programme Augustin Scott de Martinville, les étudiants de première année ont pu découvrir lors de cette démarche les savoir-faire de la région et se familiariser avec l exercice de la production en petite série. Ils vendront ainsi des produits du terroir revisités dans leur présentation et leurs emballages dans un stand spécialement conçu en collaboration avec les étudiants du Master Espaces et Communication de la HEAD Genève sous la conduite du designer Adrien Rovero. Certains artisans seront présents sur le stand de l ECAL dès 10h00. Plus de renseignements sur www.renens.ch

Lire le contenu

Richard Hollis Event
Richard Hollis

Richard Hollis,23.04–17.05.2013,Gallery l elac, ECAL Du 24 avril au 16 mai 2013 (vernissage le mardi 23 avril à 18h30), l espace lausannois d art contemporain (l elac – galerie de l ECAL) accueille «Richard Hollis». Une exposition réalisée pour la Gallery Libby Sellers à Londres par l historienne du graphisme Emily King. Une occasion unique de découvrir 267 documents issus des archives personnelles et professionnelles du graphiste britannique Richard Hollis. «Richard Hollis est graphiste, auteur et professeur. Il a réalisé ses premiers travaux depuis son appartement du centre de Londres au milieu des années 1950. Aujourd hui, il travaille toujours depuis chez lui. En effet, Hollis privilégie une collaboration étroite avec ses commanditaires (écrivains, éditeurs, artistes, commissaires d exposition et architectes). Estimant que le travail d un graphiste est de communiquer efficacement le message d un client avec la plus grande économie de moyens, il le décrit comme «diamétralement opposé au travail d un artiste» et ajoute que «si tout se passe bien, le processus s apparente à une consultation chez le médecin qui dispose d un savoir et d une expertise». Né à Londres en 1934, Richard Hollis a fait ses études à Chelsea et à l école d arts de Wimbledon. En 1957, il délaissa ses cours à Wimbledon, préférant exercer comme graphiste indépendant, imprimant souvent ses travaux à son domicile. Parallèlement, il a suivi des cours du soir à la Central School of Arts and Crafts, qu il considérait plus pointus que ceux de Chelsea et de Wimbledon. Malgré son manque de qualifications formelles, il commença à enseigner en 1958, tout d abord à la London School of Printing and Graphic Arts, puis, plus tard, à la Chelsea School of Art et à la Central School. Il a travaillé de 1964 à 1966 au West England College of Art avec le designer «du construit» Norman Potter avec qui il a fondé une nouvelle école de graphisme. Admirateur du graphisme moderniste Suisse et de l art concret, Hollis a voyagé à Zurich à la fin des années 1950 pour rendre visite à des artistes et des graphistes, dont Richard Paul Lohse et Josef Müller-Brockmann. Il y rencontra également des membres de l ancienne avant-garde à Paris, comme par exemple l artiste De Stijl Georges Vantongerloo. En 1960, il rencontra le personnel et les étudiants de la Hochschule für Gestaltung d Ulm. Deux ans plus tard, il retourna en Suisse pour visiter l école de design de Bâle et, presque cinquante plus tard, il écrivit et conçut le livre «Swiss Graphic Design» (Laurence King, 2006). En 1962, Hollis se rendit à Cuba, voyage au cours duquel s est fondée sa sensibilité politique de gauche. A son retour, il publia «I, Eye», un journal de voyage grand-format racontant ses expériences. De 1963 à 1964, Hollis vécut à Paris où il travailla comme directeur artistique pour les Galeries Lafayette. Sa publicité pleine page de Noël, «Mais j ai oublié. Tante Agathe!» a été nommée réclame du mois par Vendre magazine. Hollis a dirigé et conçu le graphisme de plusieurs journaux parmi lesquels New Society, New Middle East, Sogat Journal ainsi que Modern Poetry in Translation, le dernier qu Hollis ait conçu en quarante ans de travail. Il a par ailleurs travaillé pour de nombreux éditeurs dont ponctuellement pour Penguin ainsi que comme directeur artistique du journal de gauche Pluto-Press et brièvement comme directeur de la production de Faber & Faber. En 1972, Hollis fut un des cinq de l équipe qui produisit la série télévisée de John Berger intitulée «Manières de voir». Il utilisa à cette occasion des caractères gras pour représenter la voix du présentateur alternant avec des images non légendées, avec le désir de produire un équivalent imprimé de l expérience télévisuelle. Hollis avait auparavant travaillé avec Berger, en concevant le graphisme de son roman «G.» (1972) et son étude sur les travailleurs émigrés intitulée «Un Septième homme» (1975), produite avec la collaboration du photographe Jean Mohr. En 1969, Hollis commença à travailler pour la Whitechapel Art Gallery alors dirigée par Mark Grazebrook. Il quitta l institution en 1972 mais y retourna en 1978, juste après la nomination de son nouveau directeur Nicholas Serota. Travaillant pour la Whitechapel Art Gallery sept années durant, Hollis put y établir un système de communication graphique cohérent. Depuis ce moment, il collabora avec de nombreuses institutions privées et publiques, et au cours de ces années, forgea des relations durables avec nombre d artistes. Hollis a ainsi dessiné de nombreuses publications pour Bridget Riley et a récemment collaboré à de multiples projets pour l artiste et cinéaste Steve McQueen. Depuis les années 1960, Hollis a également publié de nombreux articles dans des magazines et des revues, la plupart à propos du design. Il est aussi à la fois l auteur et le concepteur de «Graphic Design: A Concise History» (Le Graphisme de 1890 à nos jours), édité par Thames & Hudson en 1994. En 2010, il a commencé à éditer des ouvrages sous son propre nom, dont celui de son compagnon Romek Marber «No Return: Journeys in the Holocaust». Une compilation des écrits de Hollis a été publiée par Occasional Papers en avril 2012, sous le titre «About Graphic Design». Passant en revue l ensemble de cinquante années d activité, Hollis y affirme qu il n a pas de style en particulier et que chaque proposition porte son style en soi. Cela est sans doute vrai d un point de vue purement formel mais l intérêt qu il porte aux différents messages de ses clients et son plaisir à trouver des solutions économiques transparaissent dans chaque proposition.» Texte d Emily King, historienne du graphisme et curatrice de l exposition, Londres «Richard Hollis» Exposition du 24 avril au 16 mai 2013 (fermeture les 9 et 10 mai), du lundi au vendredi de 13 h à 18 h Galerie l elac 5, avenue du Temple CH-1020 Renens www.ecal.ch

Lire le contenu

Nouvelle collaboration ECAL/Vacheron Constantin Event
Nouvelle collaboration ECAL/Vacheron Constantin

Nouvelle collaboration ECAL/Vacheron Constantin,06.03.2013,Auditorium Leenaards, ECAL Grâce au généreux soutien de Vacheron Constantin, l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne renouvelle l ancien MAS en Design et Industrie du Luxe, qui devient désormais le Master of Advanced Studies in Design for Luxury & Craftsmanship. Avec cette nouvelle formule, ce programme entend mettre en lumière différents types de savoir-faire et offrir l opportunité à de jeunes designers industriels d aborder pendant une année des secteurs d excellence aussi variés que les métiers d arts, la haute horlogerie, les arts de la table ou encore l utilisation de matériaux nobles à travers des techniques spécifiques. La contribution d une manufacture aussi prestigieuse que Vacheron Constantin, qui rayonne depuis plus de 250 ans et participe activement à la promotion des artisans d excellence, témoigne de la richesse de ce programme et en assure la pérennité. Master of Advanced Studies in Design for Luxury & Craftsmanship La Suisse est un pays privilégié en terme de savoir-faire dans le domaine du luxe. S inscrivant dans cette tradition, ce Master of Advanced Studies s adresse à des étudiants titulaires d un Bachelor ou d un Master qui désirent se perfectionner dans le design industriel et aborder des secteurs d excellence aussi variés que les métiers d arts, la haute horlogerie, les arts de la table ou encore l utilisation de matériaux nobles à travers des techniques spécifiques. Par le biais de collaborations avec des entreprises prestigieuses fortes d héritage séculaire, ainsi que par des workshops donnés par des acteurs majeurs de la scène internationale, les étudiants expérimentent toutes les étapes de production d un produit : du dessin à la réalisation, en passant par le rendu 3D ou la photographie. Ils bénéficient également d analyses d identité de marques et de conférences dispensées par des experts en la matière ou encore de visites de manufactures. Nombre de projets sont retenus par les entreprises-partenaires pour être édités, exposés et publiés dans la presse internationale. Après une année à l ECAL, les étudiants sont en mesure de présenter un portfolio varié répondant aux standards les plus exigeants. Très sollicités par des agences internationales et des entreprises de renommée mondiale, ils trouvent souvent l opportunité de monter leur propre structure parallèlement. Des places de stages qui aboutissent parfois à des emplois fixes sont également proposées aux diplômés directement à la fin de leur cursus. Responsable Nicolas Le Moigne Professeurs Thilo Brunner, Alexandre Gaillard, André Vladimir Heiz, Tomas Kral, Xavier Perrenoud, Julien Wegmüller, Cédric Widmer... Intervenants Ronan Bouroullec (Paris), Pierre Charpin (Paris), Ligia Dias (Paris), Jaime Hayon (Valence), Nicolas Le Moigne, Luca Nichetto (Venise), Christian Schwamkrug (Zell am See), Alexander Taylor (Londres), Bethan Laura Wood (Londres) Titres exigés Formation dans le domaine du design 3D, ou un domaine apparenté attestée par un diplôme (niveau Bachelor ou Master) d une Haute école Concours d entrée Sur dossier Dates d inscription Inscription en ligne : 3 mai 2013 Dépôt du dossier : 8 mai 2013 Entretiens: entre le 3 et le 7 juin 2013 Durée 1 année Ecolage annuel CHF 8 000. – Crédits 60 Titre délivré Master of Advanced Studies HES-SO in Design for Luxury and Craftsmanship Vacheron Constantin Fondée en 1755 à Genève, la manufacture horlogère Vacheron Constantin est la plus ancienne au monde avec une activité ininterrompue depuis plus de 250 ans. Fondateurs de l esprit même de la Haute Horlogerie technique et précieuse, les hommes et les femmes de Vacheron Constantin continuent aujourd hui de concevoir, développer et produire des garde-temps d exception, fidèles aux trois fondamentaux de la marque: technique maîtrisée, esthétique harmonieuse et inspirée, finition extrême. Depuis toujours liée au monde de l art et de la culture, Vacheron Constantin s engage en faveur des Métiers d Arts, véritables acteurs de la création contemporaine, tout en valorisant l excellence atteinte à travers la combinaison de talents entre le Design et les Métiers d Arts. La marque est également le partenaire privilégié de nombreuses institutions culturelles comme l Opéra national de Paris, l Institut National des Métiers d Art, la Fondation Culturelle Musée Barbier-Mueller et l Orchestre de la Suisse Romande.

Lire le contenu

Multimodal Publishing Project
Multimodal Publishing

Multimodal Publishing La sphère des médias de masse est profondément bouleversée par l irruption des technologies de réseaux. Le champ éditorial des magazines connaît ainsi un phénomène de fragmentation et de différenciation croissant. Des projets éditoriaux nouveaux et des « communautés de lecteurs » nouvelles apparaissent, caractérisés par une structure de diffusion et de réception innovante et sans précédent. Ces médias offrent l image paradoxale d être à la fois des produits de haute complexité éditoriale capables, par les réseaux, d agréger un lectorat extrêmement profilé appartenant à une géographie « globale », tout en s appuyant cependant sur une structure rédactionnelle restreinte, également profilée. Ils participent de la logique du projet, évolutif et, en cela, ils diffèrent considérablement des produits de l industrie des médias de masse. Ils préfigurent ainsi un nouvel espace de conception et de réception de produits éditoriaux à forte valeur distinctive, en relation multimodale avec leur lectorat. Quelques exemples contemporains : Purple (France), Re (Pays-Bas), Butt (Pays-Bas) ; Beople (Belgique), Sang bleu (Suisse), 032c (Allemagne). Dans ce contexte, le projet Multimodal Publishing vise à : développer de nouvelles formes de magazines susceptibles de participer, voire d anticiper et d orienter les mutations des médias envisagés ; caractériser le nouvel espace de conception autorisé par cette nouvelle presse magazine, déterminé principalement par ses différents acteurs ; révéler et décrire les nouvelles compétences à développer de manière spécifique, pour et de la part des designers. Dans cette perspective, des modèles éditoriaux types sont développés lors de 9 ateliers de réalisation. Chaque atelier répond à un cahier des charges documenté, élaboré conjointement par les requérants et les intervenants avec le soutien théorique nécessaire. Le cahier des charges est centré sur une thématique rédactionnelle, d une part, et sur une thématique liée au média lui-même (à l actualisation du « format » magazine), d autre part. Les thématiques abordées dans le cadre des ateliers servent de grille pour des entretiens menés, de manière progressive, avec les principaux acteurs de cette nouvelle scène éditoriale. Le développement des prototypes et la réalisation des entretiens se déroulent en parallèle, mettant ainsi à disposition du matériel qui permettra, en fin de projet, de dresser les caractéristiques de ce nouvel espace de conception et de décrire les compétences des designers qui y prennent part. De plus, des contributions théoriques et critiques accompagnent de manière coordonnée la partie créative du projet. Elles aident à fonder les cahiers des charges des ateliers successifs et prennent en compte leurs résultats et enseignements pour préparer les workshops suivants.Requérant principalECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Pierre Fantys (chef de projet)Équipe de rechercheFrançois Rappo Erol Gemma (assistant)Soutenu parECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Réserve stratégique de la HES-SO (RCDAV)PartnersDirection de workshops : Jop van Bennekom, Maxime Buechi, Jason Evans, Jörg Koch, Erwan Frotin, Ian Party, Paolo Roversi, Maurice Scheltens, Christian Schwartz, Yorgo Tloupas, Gerard Unger. Entretiens et contributions théoriques : Michel Guerrin, Angelo Cirimele, Lionel Bovier, Stéphanie Moisdon.Durée2009 –  2013DisseminationSite internet www.ma-ad.ch/maad-project/mock-up-x36 Livre Mock up x36 Edité par l ECAL, 2013

Lire le contenu

Atrocity Exhibition Project
Atrocity Exhibition

Atrocity Exhibition De la technique littéraire de John Graham Ballard marquée notamment par le Surréalisme, aux références explicites aux oeuvres d art et pratiques artistiques que ce dernier effectue, en passant par les relations qu il entretenait avec les artistes Pop britanniques (Independant Group), La Foire aux atrocités [Atrocity Exhibition] nourrit de nombreuses affinités avec le domaine de l art contemporain. L ambition de ce projet de recherche a été de définir les modalités d une exposition consacrée à La Foire aux atrocités. En interrogeant les formats de l exposition documentaire, historique et thématique et, au-delà, les dispositifs plus expérimentaux développés ces dernières années dans les domaines de l art, les étudiants-chercheurs ont décidé de concevoir une exposition articulant restitution documentaire et création. Les documents choisis pour l exposition participaient d une perte de repères faisant écho à la critique ambigue des médias initiée par Ballard. En une ellipse entropique, la structure réalisée à cette occasion s inspirait de dispositifs aussi éclectiques que les salons commerciaux contemporains, les expositions universelles ou encore les Pavillons de l Independant Group. Un ouvrage rassemble la somme des exposés de spécialistes et intervenants, des interventions de professeurs et le cheminement des étudiants chercheurs dans l élaboration de cette exposition. Requérant principal Ecole cantonale d art de Lausanne (ECAL) Julien Fronsacq (chef de projet) Andreas Hochuli (assistant) Les étudiant-e-s du Master en Arts Visuels de l ECAL Partenaires Circuit, centre d art contemporain à Lausanne Maison d Ailleurs à Yverdon-les-Bains Période De février 2012 à février 2013 Publication Atrocity Exhibition Archive Paradoxe Déambulations dans La Foire aux atrocités Publié par l ECAL avec le soutien de la HES-SO Edité par Julien Fronsacq Projet soutenu par la réserve stratégique de la HES-SO De la technique littéraire de John Graham Ballard marquée notamment par le Surréalisme, aux références explicites aux oeuvres d art et pratiques artistiques que ce dernier effectue, en passant par les relations qu il entretenait avec les artistes Pop britanniques (Independant Group), La Foire aux atrocités [Atrocity Exhibition] nourrit de nombreuses affinités avec le domaine de l art contemporain.L ambition de ce projet de recherche a été de définir les modalités d une exposition consacrée à La Foire aux atrocités. En interrogeant les formats de l exposition documentaire, historique et thématique et, au-delà, les dispositifs plus expérimentaux développés ces dernières années dans les domaines de l art, les étudiants-chercheurs ont décidé de concevoir une exposition articulant restitution documentaire et création. Les documents choisis pour l exposition participaient d une perte de repères faisant écho à la critique ambigue des médias initiée par Ballard. En une ellipse entropique, la structure réalisée à cette occasion s inspirait de dispositifs aussi éclectiques que les salons commerciaux contemporains, les expositions universelles ou encore les Pavillons de l Independant Group.Un ouvrage rassemble la somme des exposés de spécialistes et intervenants, des interventions de professeurs et le cheminement des étudiants chercheurs dans l élaboration de cette exposition.Requérant principal Ecole cantonale d art de Lausanne (ECAL)Julien Fronsacq (chef de projet)Andreas Hochuli (assistant) Les étudiant-e-s du Master en Arts Visuels de l ECALPartenaires Circuit, centre d art contemporain à LausanneMaison d Ailleurs à Yverdon-les-BainsPériodeDe février 2012 à février 2013PublicationAtrocity Exhibition Archive ParadoxeDéambulations dans La Foire aux atrocitésPublié par l ECAL avec le soutien de la HES-SOEdité par Julien FronsacqProjet soutenu par la réserve stratégique de la HES-SO

Lire le contenu

Les bases de la création Project
Les bases de la création

Les bases de la création André Vladimir Heiz Le fruit du projet de recherche « Didactica » 1. La création dans tous ses états Saluées par la presse allemande comme « la bible pour designers »,« Les bases de la création » touchent au ça-voir-faire tous domaines confondus. La méthodologie de ces ouvrages s attarde sur le passage : passer d une idée à la réalisation, d une fonction à la forme, d un problème à une solution – tout l enjeu du génie créateur est là. Cultiver la pluralité des regards, diversifier les approches théoriques et pratiques : « Les bases de la création » y incitent. L évaluation et la qualité des concepts et artefacts se montrent sous un nouveau jour, perception et production étroitement mises en parallèle sous toutes leurs formes. Les quatre volumes en font le tour : Volume 1 : Ça-voir-faire et processus Volume 2 : Systèmes et structures Volume 3 : Signes et situations Volume 4 : Identités et différences. 2. Les atouts de la recherche « Les bases de la création » forment un prototype de la recherche-création par, sur et impérativement pour le Design. Des aventures expérimentales, des approches empiriques, des études comparatives et des investigations scientifiques ont permis d embrasser les thématiques respectives. Une équipe bien soudée a sondé les terrains et circonscrit les territoires. Des visites à l atelier, des fouilles dans les archives de créateurs et créatrices, nombre d études de cas ont étoffé ce corpus édifiant et représentatif. Qui dit recherche, sous-entend passion et patience qui contournent et retournent le déclic décisif de la création, ce moment crucial lorsqu une décision se prend et s engage à aller jusqu au bout. A aucun moment cette transmission de la pratique des Arts et Métiers se dérobe pour se placer intellectuellement au-dessus de l engagement créatif. Les architectes et artistes, les designers et graphistes, les photographes et typographes, les informaticiens et inventeurs, les médiateurs et concepteurs se reconnaissent et se retrouvent. Entre théories et pratiques les regards se croisent et les mots tombent à pic. Sous son étiquette initiale « Didactica » la recherche a fait ce qu on lui demande : mettre en place les instruments et ingrédients pour « aimer faire » et « faire aimer » : la pratique de la création ! 3. A l atelier au quotidien Il suffit d ouvrir « Les bases de la création » au pied levé pour tomber sur un exemple, un diagramme, une série d images, une question brûlante ou une observation excitante. La lectrice et le lecteur sont pris par la main, d une page à l autre. Faire le vide, faire le plein ? Faire une pause, faire le pont ? Entre deux séances ou le temps d un rendez-vous annulé, « Les bases de la création » offrent des plages d évasion, invitent à des arrêts sur images et lancent des défis de découvertes. Comme des ciseaux ou des lunettes, un crayon ou un logiciel « Les bases de la création » sont indispensables au« ça-voir-faire ». Renversantes comme un roman policier, savoureuses comme un livre de cuisine, aventureuses comme un guide de voyage, poignantes comme une bande dessinée, hasardeuses comme une expédition scientifique, audacieuses comme un saut dans l eau, inoubliables comme un coup de foudre, « Les bases de la création » font leur chemin, à portée de la main sur les tables d atelier.Requérant principalECAL/Ecole cantonale d art de LausanneSoutenu parECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Réserve stratégique de la HES-SO (RCDAV) ZHdK Office fédéral de la Culture Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologique Fondation Vitra Fondation Jan Michalski Atelier Pfister, Pour cent culturel Migros Design Center Langenthal et une ribambelle de designers et créateurs suisses.Durée2006 – 2012DisseminationLivres André-Vladimir Heiz Les bases de la création, 1408 pages, ISBN 978-3-7212-0839-9, Niggli/Sulgen 2013. André-Vladimir Heiz Grundlagen der Gestaltung, 1436 Seiten, ISBN 978-3-7212-0805-4, Niggli/Sulgen 2012.

Lire le contenu

ECAL/Lantal: Fabric of Light Event
ECAL/Lantal: Fabric of Light

ECAL/Lantal: Fabric of Light,27.10–01.12.2012,Lantal, Melchnau Lantal inaugure son exposition “Fabric of Light” qui présente des installations imaginaires et interactives avec un regard onirique sur les textiles de demain. Les étudiants de l unité Media & Interaction Design de l‘ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne ont imaginé et réalisé ce projet. Lantal fêtait l année dernière ses 125 années de jubilé et réalisait pour ses collaborateurs et collaboratrices ainsi que pour la population locale une exposition qui racontait l histoire et la réussite de l entreprise. Les personnes en formation de Lantal y avaient intégré leur propre projet “Phantasia” qui posait un regard inédit sur l avenir. “L idée d offrir aux jeunes une plate-forme leur permettant d exprimer leur vision du futur doit se perpétuer”, affirme Urs Rickenbacher, CEO de Lantal. Est ainsi née l idée d une collaboration avec l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne. Il y a une année, les étudiants de l unité Bachelor Media & Interaction Design se penchaient sur le thème “Le design textile du futur”. “On nous a donné carte blanche avec un seul desideratum, celui de présenter et de valoriser le projet de manière pédagogique”, souligne Alain Bellet, directeur artistique de l unité bachelor Media & Interaction Design de l ECAL. Les étudiants recherchaient et développaient tout d abord des idées conceptuelles et des prototypes pour les concrétiser et les finaliser ensuite par le biais de l exposition. Alain Bellet décrit les défis posés tant par la direction de ce projet que pour les étudiants: “Ce challenge a été pour nous un voyage d exploration dans le futur du design textile, car nous ne sommes pas des experts en matériaux textiles. Nous avons conjecturé comment les textiles pourraient à l avenir être ressentis et avons imaginé des aboutissements.” Les visiteurs de l exposition “Fabric of Light” vivent ici les découvertes des étudiants en navigant parmi des installations interactives. Quand les textiles se rencontrent dans un esprit imaginaire et multimédia, s ouvre alors une nouvelle dimension de perception et l avenir se pare d une surprenante vivacité. L exposition est ouverte tous les samedis à partir du 27 octobre durant tout le mois de novembre ainsi que le 1er décembre de 14 à 17 heures au Fabrikraum 5, Berghofstrasse 1, Melchnau. Fabrikraum 5 Depuis 2008, les anciens locaux de production de la Berghofstrasse 1 à Melchnau sont devenus un lieu artistique de rencontre. Des expositions d usine avec les artistes Schang Hutter et Pierre Casé ont déjà vu le jour. La collection privée de Urs et Renata Baumann ainsi que la présentation de l usine pour les 125 ans de jubilé de Lantal ont été ouvertes au public dans ces locaux. Lantal Lantal est leader en matière de conception, de fabrication et de commercialisation de textiles et de services pour le transport international par avion, bus, chemin de fer et bateau de croisière. L entreprise offre des conseils tournés vers l avenir dans le but d apporter aux voyageurs le plus grand bien-être possible. ECAL L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne est une des écoles incontournables sur la scène mondiale de l art et du design. Elle offre actuellement trois filières de niveau Bachelor (Arts visuels – Communication visuelle avec des unités en Photographie, Design graphique, Media & Interaction Design, Cinéma – Design industriel et de produit) et quatre de niveau Master (Art Direction, Design de produit, Cinéma, Arts visuels). Elle propose également une année propédeutique qui prépare à l entrée dans ses départements et un Master of Advanced Studies (MAS) en Design et industrie du luxe.

Lire le contenu

Le Retranchement Event
Le Retranchement

Le Retranchement,17.03–29.04.2012,Manoir de Martigny Du 17 mars au 29 avril 2012 (vernissage le vendredi 16 mars à 18h), le Manoir de la Ville de Martigny accueille «Le Retranchement ». Cette exposition des étudiants du Master HES-SO en Arts visuels (European Art Ensemble) de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a été conçue sous la direction de l artiste Valentin Carron et de la commissaire et critique d art Stéphanie Moisdon. Sous la forme originale d une carte blanche confiée à Valentin Carron par le Manoir de la Ville de Martigny, ce projet s est développé autour des enjeux collectifs des artistes impliqués dans la formation European Art Ensemble. A partir d un processus actif de discussion, il s agissait de penser la réalité d une exposition de groupe aujourd hui, ses risques, ses conventions et ses promesses. Profondément inspirée par le contexte unique du Manoir, l histoire de ce «Retranchement» est celle d une enquête, d une errance qui mène à travers les nombreux espaces délaissés de la demeure à l apogée de la chambre 11. Une énigme, faite de vides, de courants d air, de sensations d art, d architecture, de littérature qui aboutit à l étrange apparition de tous ces objets «retranchés», forcés à cohabiter. Ce retranchement est aussi l histoire d un ballet mécanique, l exposition étant amenée à se déplacer dans le manoir sur toute sa durée. Au cœur de ce dispositif, Valentin Carron intervient sous une forme réflexive, à travers un agencement qui ne cherche pas à se définir, entre la sculpture et la scénographie, du lien à la séparation. Les propositions des étudiants embrassent pratiquement tous les champs de l art contemporain, souvent avec humour et poésie. Jonathan Naas rend ainsi hommage à un groupe de Doom Metal par le biais d un «wallpainting». Grégory Corthay promène Eliot, son chien, au gré du temps et de son humeur. Agnès Ferla réalise in situ un monochrome de 14 m2. Sylvain Croci-Torti peint au spray acrylique une toile qui suscite l énergie d un riff de guitare de Jay Mascis, voire la rencontre d un bonbon Mentos et d une bouteille de Coca-Cola. Natacha Steiner utilise des supports en bois pour réaliser des pièces en 2D ou 3D sur lesquelles elle grave, colle ou peint. Cécile Mestelan propose une photographie numérique représentant une chambre, évoquant l occupation passée. Kyung Roh Bannwart présente une série de dessins à l aquarelle et une maquette architecturale de l idée initiale de l installation qu elle voulait construire. Matthias Gabi travaille avec des photographies achetées à des banques d images et qui font appel à des stéréotypes universellement établis. David Weishaar s est penché sur l iconographie de la tapisserie de chasse. Tarik Hayward joue de la batterie avec des baguettes modélisées à partir de ses tibias. Sami Benhadj apprend les rudiments de la composition de peintures abstraites. Eric Emery s intéresse aux ronds-points de Martigny. Benjamin Husson réalise une girouette pour la tour du Manoir. Emil Michael Klein esquisse sa jeunesse passée à Ernen (VS). Andrzej Urbanski produit des peintures à partir d informations recueillies dans la publicité, l architecture, le paysagisme, la mode et les médias. Christophe Sarlin fera courant d air. Guy Meldem, qui a conçu l affiche, érige une colonne reconstituée. Matthias Sohr utilise trois écrans LED dont la disposition limite la réception de l information. Du 17 mars au 29 avril 2012, du mardi au dimanche, de 14h à 18h (sauf jours fériés) Place du Manoir 1, 1920 Martigny www.manoir-martigny.ch

Lire le contenu

Le Retranchement Project
Le Retranchement

Le Retranchement 17.03-29.04.2012 Le Retranchement, Manoir de la ville de Martigny, Martigny Exposition du Master arts visuels de l ECAL à Martigny Du 17 mars au 29 avril 2012 (vernissage le 16 mars à 18h), le Manoir de la Ville de Martigny accueille « Le Retranchement ». Cette exposition des étudiants du Master HES-SO en Arts visuels (European Art Ensemble) de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a été conçue sous la direction de l artiste Valentin Carron et de la commissaire et critique d art Stéphanie Moisdon. Sous la forme originale d une carte blanche confiée à Valentin Carron par le Manoir de la Ville de Martigny, ce projet s est développé autour des enjeux collectifs des artistes impliqués dans la formation European Art Ensemble. A partir d un processus actif de discussion, il s agissait de penser la réalité d une exposition de groupe aujourd hui, ses risques, ses conventions et ses promesses. Profondément inspirée par le contexte unique du Manoir, l histoire de ce « Retranchement » est celle d une enquête, d une errance qui mène à travers les nombreux espaces délaissés de la demeure à l apogée de la chambre 11. Une énigme, faite de vides, de courants d air, de sensations d art, d architecture, de littérature qui aboutit à l étrange apparition de tous ces objets «retranchés», forcés à cohabiter. Ce retranchement est aussi l histoire d un ballet mécanique, l exposition étant amenée à se déplacer dans le manoir sur toute sa durée. Au cœur de ce dispositif, Valentin Carron intervient sous une forme réflexive, à travers un agencement qui ne cherche pas à se définir, entre la sculpture et la scénographie, du lien à la séparation. Les propositions des étudiants embrassent pratiquement tous les champs de l art contemporain, souvent avec humour et poésie. Jonathan Naas rend ainsi hommage à un groupe de Doom Metal par le biais d un «wallpainting». Grégory Corthay promène Eliot, son chien, au gré du temps et de son humeur. Agnès Ferla réalise in situ un monochrome de 14 m2. Sylvain Croci-Torti peint au spray acrylique une toile qui suscite l énergie d un riff de guitare de J. Mascis, voire la rencontre d un bonbon Mentos et d une bouteille de Coca-Cola. Natacha Steiner utilise des supports en bois pour réaliser des pièces en 2D ou 3D sur lesquelles elle grave, colle ou peint. Cécile Mestelan propose une photographie numérique représentant une chambre, évoquant l occupation passée. Kyung Roh Bannwart présente une série de dessins à l aquarelle et une maquette architecturale de l idée initiale de l installation qu elle voulait construire. Matthias Gabi travaille avec des photographies achetées à des banques d images et qui font appel à des stéréotypes universellement établis. David Weishaar s est penché sur l iconographie de la tapisserie de chasse. Tarik Hayward joue de la batterie avec des baguettes modélisées à partir de ses tibias. Sami Benhadj apprend les rudiments de la composition de peintures abstraites. Eric Emery s intéresse aux ronds-points de Martigny. Benjamin Husson réalise une girouette pour la tour du Manoir. Emil Michael Klein esquisse sa jeunesse passée à Ernen (VS). Andrzej Urbanski produit des peintures à partir d informations recueillies dans la publicité, l architecture, le paysagisme, la mode et les médias. Christophe Sarlin fera courant d air. Guy Meldem, qui a conçu l affiche, érige une colonne reconstituée. Matthias Sohr utilise trois écrans LED dont la disposition limite la réception de l information. Le Retranchement Du 17 mars au 29 avril 2012, du mardi au dimanche, de 14h à 18h (sauf jours fériés) Place du Manoir 1, 1920 Martigny www.manoir-martigny.ch 17.03-29.04.2012 Le Retranchement, Manoir de la ville de Martigny, Martigny Exposition du Master arts visuels de l ECAL à Martigny Du 17 mars au 29 avril 2012 (vernissage le 16 mars à 18h), le Manoir de la Ville de Martigny accueille « Le Retranchement ». Cette exposition des étudiants du Master HES-SO en Arts visuels (European Art Ensemble) de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne a été conçue sous la direction de l artiste Valentin Carron et de la commissaire et critique d art Stéphanie Moisdon. Sous la forme originale d une carte blanche confiée à Valentin Carron par le Manoir de la Ville de Martigny, ce projet s est développé autour des enjeux collectifs des artistes impliqués dans la formation European Art Ensemble. A partir d un processus actif de discussion, il s agissait de penser la réalité d une exposition de groupe aujourd hui, ses risques, ses conventions et ses promesses. Profondément inspirée par le contexte unique du Manoir, l histoire de ce « Retranchement » est celle d une enquête, d une errance qui mène à travers les nombreux espaces délaissés de la demeure à l apogée de la chambre 11. Une énigme, faite de vides, de courants d air, de sensations d art, d architecture, de littérature qui aboutit à l étrange apparition de tous ces objets «retranchés», forcés à cohabiter. Ce retranchement est aussi l histoire d un ballet mécanique, l exposition étant amenée à se déplacer dans le manoir sur toute sa durée. Au cœur de ce dispositif, Valentin Carron intervient sous une forme réflexive, à travers un agencement qui ne cherche pas à se définir, entre la sculpture et la scénographie, du lien à la séparation. Les propositions des étudiants embrassent pratiquement tous les champs de l art contemporain, souvent avec humour et poésie. Jonathan Naas rend ainsi hommage à un groupe de Doom Metal par le biais d un «wallpainting». Grégory Corthay promène Eliot, son chien, au gré du temps et de son humeur. Agnès Ferla réalise in situ un monochrome de 14 m2. Sylvain Croci-Torti peint au spray acrylique une toile qui suscite l énergie d un riff de guitare de J. Mascis, voire la rencontre d un bonbon Mentos et d une bouteille de Coca-Cola. Natacha Steiner utilise des supports en bois pour réaliser des pièces en 2D ou 3D sur lesquelles elle grave, colle ou peint. Cécile Mestelan propose une photographie numérique représentant une chambre, évoquant l occupation passée. Kyung Roh Bannwart présente une série de dessins à l aquarelle et une maquette architecturale de l idée initiale de l installation qu elle voulait construire. Matthias Gabi travaille avec des photographies achetées à des banques d images et qui font appel à des stéréotypes universellement établis. David Weishaar s est penché sur l iconographie de la tapisserie de chasse. Tarik Hayward joue de la batterie avec des baguettes modélisées à partir de ses tibias. Sami Benhadj apprend les rudiments de la composition de peintures abstraites. Eric Emery s intéresse aux ronds-points de Martigny. Benjamin Husson réalise une girouette pour la tour du Manoir. Emil Michael Klein esquisse sa jeunesse passée à Ernen (VS). Andrzej Urbanski produit des peintures à partir d informations recueillies dans la publicité, l architecture, le paysagisme, la mode et les médias. Christophe Sarlin fera courant d air. Guy Meldem, qui a conçu l affiche, érige une colonne reconstituée. Matthias Sohr utilise trois écrans LED dont la disposition limite la réception de l information. Le Retranchement Du 17 mars au 29 avril 2012, du mardi au dimanche, de 14h à 18h (sauf jours fériés) Place du Manoir 1, 1920 Martigny www.manoir-martigny.ch

Lire le contenu

Do You Read Me? Event
Do You Read Me?

Do You Read Me?,02.02–02.03.2012,Gallery l elac, ECAL L espace lausannois d art contemporain (l elac) accueille «Do You Read Me?», une exposition de 60 ouvrages du Département Communication visuelle réalisés à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne dans le cadre du cours «Edition Magazine» donné par Pierre Fantys et François Rappo. La scénographie a été conçue par les étudiants du Master en Design HES-SO (Master Art direction et Master Design de produit) suite à un workshop dirigé à l ECAL par Michael Marriott et Jonathan Hares. Le magazine est un agrégat, texte et image, un hybride. Composant de l espace public, relai communautaire de lecteurs. Paradoxalement, concurrencé par les nouveaux médias, mais dynamisé par la liberté des nouvelles technologies, le format magazine s est fait plus hybride et polymorphe encore, plus réticulaire et viral, brouillant les limites entre diffusion restreinte et large, entre fanzine et projet éditorial, entre «statement» privé et stratégie professionnelle. C est cette ambiguïté et cette dynamique qui parcourent les projets éditoriaux menés transversalement dans le Département Communication visuelle de l ECAL, lors de ces 10 années: plus de 200 projets, parmi lesquels 60 ont été sélectionnés pour la présente exposition. Des magazines dans lesquels les étudiants des filières de Design graphique, Photographie et Media & interaction design auront occupé toutes les fonctions (photographe, rédacteur, graphiste) et défini la totalité des contenus. Dépassant ainsi le cadre d un projet académique, le magazine s est imposé comme un véritable prototype de média, anticipant un projet professionnel dans lequel se sont inscrits avec succès nombre d étudiants de la filière, en tant que directeur artistique, éditeur, photographe, graphiste, dessinateur de caractères, coursier à vélo, sur la scène éditoriale internationale. Ainsi des titres tels que «Sang Bleu», «Novembre», «Dorade», recevant une large reconnaissance, ont été modélisés, tout ou partie, dans le cadre expérimental offert par les cours de l ECAL. Cette exposition s inscrit dans le cadre du projet de Recherche et développement du Département Communication visuelle de l ECAL, «M/M publishing», qui bénéficie du soutien du fonds stratégique de la HES-SO.

Lire le contenu

N= R* x ƒp x ne x ƒl x ƒi x ƒc x L Project
N= R* x ƒp x ne x ƒl x ƒi x ƒc x L

N= R* x ƒp x ne x ƒl x ƒi x ƒc x L où N est le nombre de civilisations extraterrestres dans notre galaxie avec lesquelles nous pourrions entrer en contact R* est le nombre d étoiles en formation par an dans notre galaxie fp est la fraction de ces étoiles possédant des planètes ne est le nombre moyen de planètes par étoile potentiellement propices à la vie fl est la fraction de ces planètes sur lesquelles la vie apparaît effectivement fi est la fraction de ces planètes sur lesquelles apparaît une vie intelligente fc est la fraction de ces planètes capables et désireuses de communiquer L est la durée de vie moyenne d une civilisation, en années. oùN est le nombre de civilisations extraterrestres dans notre galaxie avec lesquelles nous pourrions entrer en contactR* est le nombre d étoiles en formation par an dans notre galaxiefp est la fraction de ces étoiles possédant des planètesne est le nombre moyen de planètes par étoile potentiellement propices à la viefl est la fraction de ces planètes sur lesquelles la vie apparaît effectivementfi est la fraction de ces planètes sur lesquelles apparaît une vie intelligentefc est la fraction de ces planètes capables et désireuses de communiquerL est la durée de vie moyenne d une civilisation, en années.

Lire le contenu

ECAL/Baccarat Event
ECAL/Baccarat

ECAL/Baccarat,06.10–02.11.2011,Lausanne Palace L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présente à l occasion du lancement de la Boutique du Lausanne Palace & SPA des projets réalisés pour Baccarat dans le cadre du Master en Design et industrie du luxe (MAS-Luxe) suite à un workshop dirigé par les designers Ed Barber et Jay Osgerby. L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne est heureuse de présenter des projets réalisés par la troisième volée du Master en Design et industrie du luxe, lancé à l automne 2008. Le MAS-Luxe est un programme de 10 mois organisé au sein de l ECAL. Cette formation offre aux étudiants venus du monde entier la possibilité de collaborer avec des entreprises comme Audemars Piguet, Hublot, Nespresso, Bernardaud, TAG Aviation, Reuge ou encore Christofle. Pour Baccarat, les étudiants ont travaillé sous la direction des deux designers londoniens Ed Barber et Jay Osgerby pour donner de nouvelles interprétations du fameux verre Harcourt, icône de la marque, qui fête ses 170 ans en 2011. Ce verre, dont le dessin reste inchangé depuis sa créa tion, est devenu un classique dans le monde diplomatique, de la table de Napoléon III à celle de Jean-Paul II. Les nouvelles propositions, de l iconoclasme du verre étiré Harcourt au détournement des verres en pièces de jeu d échec, démontrent à la fois l engouement des étudiants pour le cristal et rappellent que le style Harcourt est intemporel. A cette occasion, seront également à découvrir une nouvelle collection signée par le designer espagnol Jaime Hayon et deux lustres dessinés par Philippe Starck.

Lire le contenu

Types We Can Make Event
Types We Can Make

Types We Can Make,28.04–14.05.2011,Gallery l elac, ECAL L ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne présente «Types We Can Make» à l elac (l espace lausannois d art contemporain. Initiée par le Consulat de Suisse/swissnex Boston, le MIT Museum/Massachussetts Institute of Technology et l ECAL, cette exposition a déjà été présentée en 2010 à la Compton Gallery du MIT Museum et en 2011 à l Institut suisse de Rome à Milan. Cet événement, qui offre une sélection de typographies contemporaines helvétiques, est accompagné d un livre de 150 pages publié par l ECAL. Par le biais de cette exposition, l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne est fière de confronter la tradition suisse à une approche irrévérencieuse plus contemporaine. Les deux d ailleurs s inscrivent parfaitement dans la ligne de ce qui a été fait à l ECAL depuis l arrivée en 1995 de Pierre Keller en tant que directeur. Notamment grâce à l Unité de design graphique dirigée jusqu en 2009 par François Rappo (présent dans l exposition avec diverses fontes) et aujourd hui responsable avec Pierre Fantys du Master in Art Direction lancé à l automne dernier. Cette exposition reflète totalement la politique instaurée dans cette école. On y trouve ainsi tout ce qui a permis d hisser cette institution dans le club très select des dix meilleures écoles d art et de design du monde. A commencer par la présence d intervenants et professeurs de renommée internationale tels que Ludovic Balland, Cornel Windlin, Jonas Voegeli, NORM (Dimitri Bruni et Manuel Krebs). Des personnalités qui ont su dispenser leur savoir-faire tant en matière de Corporate Identity (fonte, logo, affiche…) que de design de caractères. L apprentissage de la courbe qui va droit au but! On y trouve également les travaux d un grand nombre d anciens étudiants qui ont pu expérimenter par eux-mêmes ou avec le concours de l ECAL les différents champs de l art typographique et les nombreuses applications qui en découlent. Qu il s agisse de la création pure de fontes comme celles d Aurèle Sack, Nicolas Eigenheer, Philippe Desarzens, Mathieu Cortat, Emmanuel Rey, Jeremy Schorderet ou Ian Party. Du lancement d un magazine tel que Sang Bleu par Maxime Büchi dont les qualités sont louées aux quatre coins du globe. D un travail de recherche par David Keshavjee et Julien Tavelli mis en application dans l ouvrage Typeface as program édité par JRP/Ringier et l ECAL. De monographies d artistes, de revues et magazines, voire même de logos comme celui réalisé pour RocNation du célèbre rappeur américain Jay-Z, par Gilles Gavillet et David Rust. De projets de scripting qui confinent au design interactif comme ceux initiés par Jürg Lehni et Alex Rich. De travaux de direction artistique par FAGETA composé d Adeline Mollard et Philippe Egger pour Gestalten Verlag, d Annina Mettler pour Das Magazin ou encore de Marie Lusa pour Migros Museum für Gegenwartskunst à Zurich. Sans oublier des affiches illustrées par Körner Union (formé de Guy Meldem, Tarik Hayward, Sami Benhadj) et Tatiana Rihs. La scénographie réalisée par Alexis Georgacopoulos, responsable du Master en design de produit, met en lumière les typographies grâce à des affiches au format mondial (F4) qui est utilisé dans les rues en Suisse. Elles sont directement imprimées sur du carton «nid d abeilles», un matériau rigide, léger et respectueux de l environnement. Cette sélection opérée par François Rappo, Alexis Georgacopoulos et Pierre Keller, témoigne de la large palette graphique (!) et typographique que possèdent les anciens écaliens. Grâce à cette génération dorée, l excellence helvétique en la matière a encore de beaux jours devant elle et nul doute que la typographie suisse continuera à s écrire longtemps en lettres capitales!

Lire le contenu

Veilhan/Millet/Obrist Project
Veilhan/Millet/Obrist

Veilhan/Millet/Obrist 6.12.2010, Conférences de Xavier Veilhan, Catherine Millet et Hans-Ulrich Obrist Symposium MASTER ECAL : « IT S ONLY JUST BEGUN » Il semblerait aujourd hui que les notions de carrière, de célébrité, d ascension, d intégration dominent la sphère de l art. La question “en être ou ne pas en être? “ aurait remplacé toutes les autres.   Pourtant, il existe bien d autres réalités, des récits parallèles, une manière différente de raconter l histoire de ces artistes, critiques, commissaires qui voyaient l art et l exposition comme un terrain de jeu, de conquête, d inventions premières. L école étant le lieu par excellence de toutes sortes de projections, folles et dérisoires, extravagantes et triviales, c est aussi le meilleur contexte pour transmettre un peu de l histoire réelle et clandestine de ces origines, des grands et des petits commencements. L idée de cette journée de symposium, qui ne revient à aucune thématique, est de donner aux étudiants des classes de Master l opportunité d entendre et de partager le récit de quelques-unes de ces trajectoires uniques qui ont marqué les dernières décennies. Où l on comprend comment le jeune Hans Ulrich Obrist, alors étudiant en économie, loin d imaginer qu il serait un jour qualifié de « meta-curator », décide d aller à la rencontre des artistes de son temps. Une mise en mouvement qui deviendra une méthode. Peter Fischli et David Weiss se souviennent avec lui de leur rencontre et de ces débuts héroïques des années 90. Dans l œuvre de Xavier Veilhan, l universalisme formel, qui semble renvoyer à l idéal de l art classique, se trouve contrebalancé par la singularité des dispositifs de mise en scène des œuvres, des situations et des environnements construits, par la modernité des sujets et par les procédés high-tech utilisés qui convoquent des images de la société de production industrielle et de consommation dans des univers étranges et équivoques. Catherine Millet, qui n avait pas encore réalisé le succès phénoménal de “La vie sexuelle de Catherine M”, un des plus beaux romans des dix dernières années, se souvient de ses débuts de critique d art, de la formation d art press , modèle et contre modèle d une presse spécialisée amenée à disparaître, et s interroge sur l évolution de la pratique et de l écriture critique. 6.12.2010, Conférences de Xavier Veilhan, Catherine Millet et Hans-Ulrich Obrist Symposium MASTER ECAL : « IT S ONLY JUST BEGUN » Il semblerait aujourd hui que les notions de carrière, de célébrité, d ascension, d intégration dominent la sphère de l art. La question “en être ou ne pas en être? “ aurait remplacé toutes les autres. Pourtant, il existe bien d autres réalités, des récits parallèles, une manière différente de raconter l histoire de ces artistes, critiques, commissaires qui voyaient l art et l exposition comme un terrain de jeu, de conquête, d inventions premières. L école étant le lieu par excellence de toutes sortes de projections, folles et dérisoires, extravagantes et triviales, c est aussi le meilleur contexte pour transmettre un peu de l histoire réelle et clandestine de ces origines, des grands et des petits commencements. L idée de cette journée de symposium, qui ne revient à aucune thématique, est de donner aux étudiants des classes de Master l opportunité d entendre et de partager le récit de quelques-unes de ces trajectoires uniques qui ont marqué les dernières décennies. Où l on comprend comment le jeune Hans Ulrich Obrist, alors étudiant en économie, loin d imaginer qu il serait un jour qualifié de « meta-curator », décide d aller à la rencontre des artistes de son temps. Une mise en mouvement qui deviendra une méthode. Peter Fischli et David Weiss se souviennent avec lui de leur rencontre et de ces débuts héroïques des années 90. Dans l œuvre de Xavier Veilhan, l universalisme formel, qui semble renvoyer à l idéal de l art classique, se trouve contrebalancé par la singularité des dispositifs de mise en scène des œuvres, des situations et des environnements construits, par la modernité des sujets et par les procédés high-tech utilisés qui convoquent des images de la société de production industrielle et de consommation dans des univers étranges et équivoques. Catherine Millet, qui n avait pas encore réalisé le succès phénoménal de “La vie sexuelle de Catherine M”, un des plus beaux romans des dix dernières années, se souvient de ses débuts de critique d art, de la formation d art press, modèle et contre modèle d une presse spécialisée amenée à disparaître, et s interroge sur l évolution de la pratique et de l écriture critique.

Lire le contenu

Second Life Project
Second Life

Romain Hügli – Second Life Ce travail tente de poser un regard critique sur l évolution des sociétés humaines depuis un idéal vers un univers dystopique à travers Second Life, un monde virtuel régi par les mêmes mécanismes d appropriation capitaliste de la vie réelle, mais qui glisse progressivement vers une société dysfonctionnelle. Pour produire ces images, j ai repris les formations générées par les désirs des utilisateurs de Second Life – lieux de vie, architectures et décors idéaux , que j ai fabriqué en 3D puis photographiées.

Lire le contenu

Laurent Mercier: Les escarpins de Lola Event
Laurent Mercier: Les escarpins de Lola

Laurent Mercier: Les escarpins de Lola,27.05–11.06.2010,Gallery l elac, ECAL L espace lausannois d art contemporain (l elac) accueille «Les escarpins de Lola», une exposition de Laurent Mercier, créature et créateur de mode. A cette occasion, il présente en exclusivité une partie de sa collection de chaussures à talons hauts. «Les escarpins de Lola» «Je suis un passionné de chaussures à talons hauts depuis aussi loin que je m en souvienne. C est un fétichisme assez commun, sans doute lié à un désir d élévation. Dans mon imaginaire, une silhouette part toujours de la chaussure. Ma référence absolue serait un escarpin à talon aiguille très fin et pointu des années 60, à la cambrure vertigineuse et suivant une courbe très précise. Le talon serait très haut, tourné vers l intérieur et la talonnette en métal. J adore le bruit du talon en métal. J ai trouvé récemment une série de chaussures d une collection Dolce & Gabbana très proche de mon fétichisme ultime. Le bout est juste un peu trop long pour être à la perfection. Mon fétichisme est assez monomaniaque. Je poursuis donc la recherche de la chaussure parfaite. Je suis, ceci dit, séduit par plein d autres chaussures et lorsqu une chaussure me plaît, je dois l avoir, quels que soient la marque et le prix. Je la traque et la chasse partout dans le monde, ce sont d ailleurs les seuls souvenirs de voyages que je ramène. Après avoir communiqué mon amour de la chaussure à Pierre Keller, il m a proposé de mettre en scène ma collection à l elac, accompagnée à l occasion du vernissage de mon alter ego féminin Lola, qui a la chance, la joie et le privilège de porter ces chaussures.» Biographie Laurent Mercier quitte la Suisse après un apprentissage de couturier chez Di Marino à Lausanne, une formation technique à l EPSIC en poche. Il poursuit par une formation de créateur de mode au Studio Berçot à Paris, puis Jean-Paul Gaultier l engage en qualité d assistant au studio de création. Laurent Mercier quitte Gaultier pour être engagé par le groupe ESCADA afin d assister Natalie Acatrini sur sa propre ligne et pour Crisca et Laurel. Il rencontre Lenny Kravitz qui lui propose de dessiner ses costumes de scène et de l accompagner en tournée. Après plusieurs tours du monde en compagnie du chanteur, il crée sa propre marque et défile à Paris. Quelques années plus tard, Balmain l engage en qualité de directeur artistique du prêt-à-porter d abord, puis après le départ d Oscar de la Renta, pour la haute couture également. Laurent Mercier quitte ensuite Balmain pour se concentrer sur sa propre ligne de haute couture. Il habille une clientèle particulière, mais crée également et confectionne des costumes de scène, de films, ou encore de spectacles pour des artistes internationaux. Il rencontre une princesse d Arabie Saoudite avec laquelle ils montent la marque de prêt-à-porter haut de gamme Ghadah Paris, dont il est directeur de création. Parallèlement, Thierry Mugler l engage comme "Creative Advisor" pour la création des costumes de Beyonce. Il collabore aussi pour différents projets avec Thierry Mugler (publicités pour parfums, costumes...).

Lire le contenu

Pierre Keller: Travaux de 1965 à 2010 Event
Pierre Keller: Travaux de 1965 à 2010

Pierre Keller: Travaux de 1965 à 2010,25.02–23.04.2010,Gallery l elac, ECAL L espace lausannois d art contemporain (l elac) accueille une exposition de Pierre Keller. A cette occasion, le directeur de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne (de 1995 à 2011) présente des créations réalisées entre 1965 et 2010. L occasion de (re)découvrir un parcours artistique pléthorique et atypique parfois méconnu du grand public. «On n est jamais aussi bien servi que par soi-même», se félicite Pierre Keller. A 65 ans, après avoir propulsé son institution vers les sommets, le directeur de l ECAL (de 1995 à 2010) démontre avec cette exposition qu il connaît bien le métier et que cette volonté de former et d engager des praticiens n est pas le fruit du hasard. Cette exposition donne l occasion de (re)découvrir ses travaux en tant que graphiste (salués par de nombreux prix entre 1963 et 1971), des peintures et sculptures réalisées entre 1970 et 1972, le fameux Kilo-Art produit en 1971, une série datant de 1975 à 1983 de 235 polaroïds au format 1/1 et 26 autres polaroïds agrandis, ainsi que des vidéos retraçant son parcours. Biographie Pierre Keller Pierre Keller est né à Gilly, sur la Côte vaudoise, le 9 janvier 1945. Il obtient en 1965 son diplôme de graphiste à l Ecole cantonale des beaux-arts et d arts appliqués de Lausanne. C est le départ d une brillante carrière d artiste – il représente la Suisse dans de nombreuses manifestations, notamment à la Biennale de l affiche de Varsovie, à la 9e Biennale des jeunes de Paris et à la 17e Biennale internationale de São Paulo 1983 – d éditeur, d enseignant et d organisateur. De 1988 à 1991, il est Délégué du Gouvernement Vaudois au 700e et prend en 1995 la direction de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne, qu il conduit en quelques années dans le top cinq des écoles d art européennes. Passionné de musique (il a été trompette dans la fanfare militaire), il siège au Conseil de Fondation du Montreux Jazz Festival et se console d être resté simple soldat avec un grade d Officier des Arts et des Lettres de la République française. Pierre Keller est également professeur titulaire à l Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). En 2006, il a reçu le Prix du Rayonnement décerné par la Fondation vaudoise pour la culture (FVPC). En 2007, Pierre Keller a été nommé Docteur Honoris Causa de la European University de Barcelone et distingué par le prestigieux Merit Design Preis Schweiz. Cette même année, il a participé activement à la mise en place des nouveaux locaux de l ECAL à Renens dans un bâtiment réhabilité par l architecte suisse Bernard Tschumi. En 2009, il a obtenu le Prix de Lausanne pour avoir largement contribué au rayonnement de cette ville dans le monde.

Lire le contenu

Joël Tettamanti: Local Studies Event
Joël Tettamanti: Local Studies

Joël Tettamanti: Local Studies,01–30.10.2009,Gallery l elac, ECAL L espace lausannois d art contemporain (l elac) accueille «Local Studies», de Joël Tettamanti, diplômé de l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne en 2001. Cette exposition a été réalisée en collaboration avec la Fondation suisse pour la photographie (Fotostiftung Schweiz) à Winterthur. Je n ai jamais dit que je détestais un lieu, même pas quand je suis allé au Luxembourg photographier une centrale nucléaire. J y découvre toujours un motif intéressant, quelque chose d irréel peut-être. (JT) Texte de Martin Gasser (Conservateur) pour l exposition «Local Studies» au Fotostiftung Schweiz de Winterthur du 28.2. au 17.5.2009 Né en 1977 au Cameroun, Joël Tettamanti a grandi au Lesotho et en Suisse. Photographe de voyage moderne, il arpente, comme de nombreux photographes avant lui, des contrées connues et inconnues dans toutes les régions du globe, mais sans se documenter au préalable et sans jamais consulter de guides de voyage. Il lui suffit de savoir comment atteindre sa destination. Livré à lui-même, Tettamanti ne suit pas un programme photographique préétabli. Il travaille à l instinct, trouvant son inspiration au gré d errances et de rencontres fortuites qui lui inspirent des images à la fois poignantes et sereines. Évitant les paysages connus et les sujets ressassés, il cherche des images qui révèlent quelque chose de l identité d un lieu telle qu il la perçoit sur le vif. En Islande (« Where is my giant?», 2008), par exemple, le photographe se lance dans un véritable corps-à-corps avec une nature majestueuse, d une beauté sidérante, dont tout semble avoir été dit et montré, pour en saisir au final l essence peu spectaculaire mais néanmoins emblématique. De 1997 à 2001, Joël Tettamanti se forme en communication visuelle et photographie à l ECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne. Ses premiers projets traitent du paysage dans les montagnes suisses («Cols alpins», 2001) et les agglomérations du Plateau («Stadtland Schweiz», 2002). Par la suite, des commandes pour des revues comme Hochparterre, Das Magazin ou Wallpaper lui permettent de se rendre dans des pays lointains où, au terme d un long voyage en avion, il ne s arrête généralement que peu de temps. Tettamanti aime le décalage horaire, le sentiment de se réveiller à contretemps en un lieu où l on n est, intérieurement, pas encore vraiment arrivé. Tel un somnambule, il se retrouve invariablement dans des lieux inhabités et désolés qui ne dévoilent leur charme qu à la lumière incertaine entre chien et loup. Joël Tettamanti s intéresse aux lieux de passage, aux lieux-limites, comme les cols alpins et les frontières nationales («Ondarribi», France et Espagne, 2003), parce que ces endroits sont à la fois ouverture et clôture, en même temps sauvegarde d une identité connue et incitation à la découverte d inconnu. Grand saute-frontières entre les cultures, le photographe sillonne le globe, du Groenland au Mexique, de la Chine à l Espagne, dans des paysages où la présence humaine est à peine perceptible, des villes d où la nature est pratiquement bannie. Il pose son regard sur les constellations d objets avec lesquelles les gens « meublent » les lieux où ils vivent - échafaudages absurdes, abris provisoires, blocs d habitation, quartiers tentaculaires, ruines sans âge. Corps étrangers dans un environnement en apparence familier, à la frontière entre utilisation et délabrement, comme des « containers » oubliés ou laissés là par hasard, dont ni l observateur ni le photographe ne savent plus ce qu ils contiennent ni à quoi ils servent. Ils apparaissent souvent dans un vide atmosphérique qui confère à leurs structures et leurs formes une similitude superficielle, une parenté intérieure mystérieuse. Ils sont là et attendent, dit Tettamanti, jusqu à ce que leurs détails insignifiants, révélés par la qualité sensuelle de la lumière, commencent à parler de manière suggestive. Joël Tettamanti ne donne pas d explications. Non seulement il veut voir le monde autrement, mais encore il veut dévoiler un autre monde, irréel peut-être mais néanmoins familier - un monde en perpétuel changement. Décalage également au plan technique. Tettamanti photographie lentement et avec une précision méticuleuse. Comme les photographes du 19e siècle, il se sert d une caméra grand format avec trépied, et travaille avec des temps d exposition très longs et des négatifs couleurs 4x5 . Mais ensuite, par le truchement de leur numérisation en haute résolution, il catapulte ses images dans le 21e siècle ; converties en séries de données électroniques, elles entrent dans le catalogue virtuel de notre culture moderne. L exposition «Local Studies» est inspirée du livre éponyme de Joël Tettamanti, réalisé avec le soutien du Musée d Art Moderne du Luxembourg (MUDAM) et paru en 2006 chez Edition etc, Berlin. L exposition montre aussi une sélection de travaux de ces trois dernières années. Elle était produite en collaboration entre la Fondation suisse pour la photographie (Fotostiftung Schweiz) et Joël Tettamanti et represente la première présentation de grande envergure de son œuvre photographique en Suisse. Martin Gasser, Conservateur, Fotostiftung Schweiz Toutes les photographies de l exposition sont des tirages Lambda (C-print sur papier Fujicolor Archive, collés sur aluminium) et sont issues d études photographiques comprenant plusieurs images. Une partie d entre elles ont été publiées dans le livre Local Studies. Les textes dans l exposition, qui comportent des extraits de discussion avec l artiste, sont tirés de cette publication. Les photographies ont été produites sous la direction de Joël Tettamanti par les entreprises Diaprint à Marly et TED Support à Yverdon et se trouvent maintenant comme dons de l artiste dans la collection de la Fotostiftung Schweiz, Winterthour.

Lire le contenu

DeMo Project
DeMo

DeMo La muséographie est un processus de création qui consiste à passer de l idée d une exposition à sa mise en espace et à sa communication. Le plus souvent, cette activité est collective et pluridisciplinaire. Elle met en présence, d une part, les personnes chargées de définir les contenus d une exposition – responsables de musées, conservateurs, commissaires d exposition – et, d autre part, celles qui interviennent dans sa réalisation pratique – scénographes ou expographes, qu ils soient architectes ou designers de formation. L ECAL et la HEAD Genève forment leurs étudiants aux différents domaines qui interviennent dans la muséographie: la communication visuelle, l architecture d intérieur, le design industriel et de produits. Depuis septembre 2006, elles ont uni leurs efforts pour mener une recherche appliquée en muséographie en suivant deux directions complémentaires: • L expérimentation : en mettant sur pied des ateliers de recherche qui, en partant de situations particulières, expérimentent des solutions concrètes et novatrices à des questions qui se posent dans la muséographie contemporaine. Trois ateliers ont eu lieu : – en décembre 2006 sur le thème des collections (privées, publiques) avec Martino Gamper et Benjamin Reichen comme intervenants > images 1-4 – en mars 2007 avec Alexandra Gübeli et Claudia Wildermuth sur le thème de la mise en espace (scénographie) de textes (en l occurrence de textes-manifestes d architectes) > images 5-8 – en novembre 2007 avec Philippe Délis (curateur), Sean Murphy et Brian Studak sur le thème de la communication visuelle dans l espace d exposition > images 9-12 • L état de l art : en rassemblant et diffusant des connaissances originales, théoriques et pratiques, sur les apports et les perspectives du design dans la muséographie contemporaine. Personnes interviewées: Chantal PROD HOM, directrice du mudac, Lausanne ; Stéphane JAQUENOUD, designer muséographe, Jaquenoudesign, Penthalaz (décédé en novembre 2007) ; Alexandra GÜBELI, architecte et scénographe, GXM architectes, Zurich ; Philippe MATHEZ, conservateur au Musée d ethnographie, Genève ; Patrick REYMOND, architecte designer muséographe, Atelier Oï, La Neuveville ; Philippe DÉLIS, architecte designer scénographe, intégral phillipe délis, Paris et Rabat ; Paul NEALE, GTF (Graphic Thought Facility), Londres Martin R. SCHÄRER, directeur du Musée de l alimentation à Vevey, vice-président du Conseil international des musées (ICOM). Document à télécharger design-museographie.pdfRequérant principalECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Jean-François Blanc (chef de projet)Équipe de rechercheJulien Ayer Luc Bergeron Nicole UdryDuréeseptembre 2006 – décembre 2008Soutenu parECAL/Ecole cantonale d art de Lausanne Réserve stratégique de la HES-SO (RCDAV)

Lire le contenu

Clash of Civilisation? Project
Clash of Civilisation?

Clash of Civilisation? Six étudiant.e.s en première année de la formation Master HES-SO en option « documentaire » ont réalisé un film au Caire, autour du thème « Clash of Civilisation ? » Six étudiant.e.s en première année de la formation Master HES-SO en option « documentaire » ont réalisé un film au Caire, autour du thème « Clash of Civilisation ? ». Le slogan politique « Clash of Civilisation ? » est à questionner. Le but du travail au Caire est la confrontation avec les réalités politiques, culturelles et sociales au travers d une approche personnelle. Les films explorent des lieux du point de vue de leur histoire et de leur aspect physique, mais s intéressent avant tout aux hommes qui vivent dans ces espaces.

Lire le contenu

Emmanuel Crivelli People
Emmanuel Crivelli

Résident EXECAL à La Becque en juillet 2022 - Diplômé BA Design Graphique 2008

Directeur artistique et graphiste, Emmanuel Crivelli explore le monde éditorial en questionnant les formats papiers et digitaux. Après ses études en graphisme à l’ECAL, il travaille avec Philippe Jarrigeon et Sylvain Menétrey pour le magazine Dorade – « Revue galante, photographie et formes critiques », qui remporte les Swiss Design Awards en 2012. Ensuite, il crée, en collaboration avec une équipe éditoriale, POV Paper et POV magazine, qui traitent des genres et sexualités. En 2018, il remporte le mandat de l’Office fédéral de la culture pour la création de l’identité visuelle des Swiss Design Awards, ce jusqu’en 2021. Ce projet devient un laboratoire de contenu éditorial digital, avec des articles interactifs, des talks et des chats live.

Voir le profil

Marie Cornil People
Marie Cornil

Résidente EXECAL à La Becque en août 2022 - Diplômée BA Design Industriel 2018

Après une formation en Arts visuels à la HEAD-Genève, Marie Cornil suit un Bachelor en Design Industriel à l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne. Diplômée en 2018, elle expose à la Villa Noailles dans le cadre du Festival International Design Parade. Elle intègre ensuite, pour deux ans, le studio Ronan et Erwan Bouroullec à Paris. Elle travaille aujourd’hui en duo aux côtés d’Alexandre Willaume. Ils réalisent ensemble, aux côtés d’artisans et d’industriels français, un travail de recherche en imaginant des éléments dans lesquels vivre et interagir, cherchant à développer la multiplicité de leurs imbrications.

Voir le profil