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Workshop 4x5
Projet d’atelier avec Matthieu Gafsou
Durant une semaine, les étudiant-e-x-s ont travaillé à la chambre photographique ou chambre technique 4x5’’.
De la photographie artistique à celle de commande, en passant par la nature morte, le portrait ou la mode, ce programme s’adresse à des étudiant·e·x·s passionné·e·x·s par le médium photographique et désireux·ses de parfaire leur œil, ainsi que leur technique. Prospectif, pragmatique et expérimental, ce Bachelor s’inscrit dans le cadre du Département Communication Visuelle qui offre en parallèle des cours et projets transversaux permettant l’acquisition de compétences pluridisciplinaires (design graphique, design interactif et cinéma).
Grâce à des cours et workshops donnés par des acteur·ice·x·s majeurs de la scène internationale, les étudiant·e·x·s s’aguerrissent aux différents champs de la photographie : éditoriale, documentaire ou encore artistique. Leur participation à des expositions et des publications, ainsi que des mandats pour des institutions créent une immersion réelle dans le monde professionnel. Iels bénéficient également d’un riche enseignement théorique et de conférences multidisciplinaires au sein de l’école.
Les compétences et les projets accumulés tout au long du cursus permettent la production d’un portfolio répondant aux standards techniques et esthétiques les plus exigeants pour le monde du travail. Qu’iels travaillent sur des projets photographiques appliqués ou libres, de la direction artistique ou la création d’images en mouvement en indépendant ou au sein d’une structure, les étudiant·e·x·s formé·e·x·s à l’ECAL ont de nombreuses opportunités au terme de leur cursus. S’iels le souhaitent, iels peuvent également approfondir leur discipline par le nouveau Master Photographie à l’ECAL ou un programme équivalent dans une autre institution.
Français
Bachelor of Arts HES-SO en Communication Visuelle, orientation en Photographie
CHF 1 925.-
180 ECTS
3 ans
1/3
Acquérir les techniques photographiques numériques et argentiques (prises de vues, éclairage).
Appréhender le fonctionnement d’un laboratoire analogique (développement de films et tirages en noir et blanc).
Développer des compétences sur les logiciels numériques (Photoshop, Capture One…).
Réaliser et monter des images en mouvement (clip).
Pratiquer la photographie appliquée et la photographie plasticienne (nature morte, portrait, architecture, mise en scène…).
S’immerger dans des cours transversaux de Graphisme, Media & Interaction Design (site web), Animation 3D (Cinéma 4D) et Animation 2D (After Effects, Premiere).
Faire ses gammes via des cours de théorie (Histoires de l’art, de la photographie, du cinéma, cultures numériques, design industriel, design graphique, photographie contemporaine, expositions et publications).
Participer à des semaines de workshops encadrées par des praticien·ne·s du monde entier avec pour objectif la réalisation de projets collectifs ou personnels.
1/3
Expérimenter les différentes techniques d’accrochage et d’installation.
Collaborer avec des marques et institutions.
Développer un projet éditorial (photographie de magazine et réseaux sociaux).
Réaliser un projet documentaire durant toute l’année.
Élargir ses horizons via des cours pratiques transversaux au sein d’un projet de séquence (clip vidéo ou VR) ou d’édition (à choix) en collaboration avec des étudiant·e·s en Graphisme et en Media & Interaction Design.
Compléter le spectre de sa vision théorique grâce à des cours de préparation à l’écriture d’un mémoire.
Enrichir ses connaissances via des cours de théorie (Information et communication, Visions globales).
Participer à des semaines de workshops encadrées par des praticien·ne·s du monde entier avec pour objectif la réalisation de projets collectifs ou personnels.
1/5
Réaliser un livre de photographie.
Définir son style et directions photographiques.
Développer des installations multimédia (projections, accrochages, sonorisation).
S’immerger dans des cours transversaux permettant d’affiner les compétences collaboratives dans le cadre d’un projet transdisciplinaire (création d’une plateforme numérique, incluant Design Graphique, Media & Interaction Design et Photographie).
Participer à des semaines de workshops encadrées par des praticien·ne·s du monde entier avec pour objectif la réalisation de projets collectifs ou personnels.
Rédiger un mémoire à partir des connaissances acquises durant tout le cursus.
Concrétiser tous les savoir-faire acquis par le biais du travail de diplôme et d’un portfolio, qui serviront de cartes de visite pour intégrer rapidement le marché du travail ou poursuivre ses études par le biais d’un Master.
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Projet d’atelier avec Matthieu Gafsou
Durant une semaine, les étudiant-e-x-s ont travaillé à la chambre photographique ou chambre technique 4x5’’.
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Projet d’atelier avec Matthieu Gafsou
Le cours «pratiques documentaires» se concentre sur le traitement d’une thématique liée à l’écologie au sens large. Chacun.e est libre de s’approprier le sujet à sa façon pour autant que soit mise en oeuvre une démarche documentaire. Par documentaire il faut comprendre une logique de relation au réel, à quelque-chose qui s’ancre dans un ici et un maintenant. Il peut s’agir d’un objet de départ très précis et concret (un jardin de permaculture, des militants de Extinction Rebellion, la documentation de sites pollués, la rencontre de personnes travaillant avec des animaux) ou d’une approche plus large et multiple, ou même personnelle.
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Projet d’atelier avec Laurence Bonvin
Reclaiming Water vous invite à réaliser des projets en relation avec l’élé- ment eau, quel qu’en soit sa forme, solide, liquide ou gazeuse. Les océans couvrent 71% de la surface terrestre et nous sommes constitué à 65% d’eau. L’eau est un élément vital, elle est synonyme de vie et peut égale- ment être un élément perturbateur et destructeur. A qui appartient l’eau ? Est-ce un bien commun ou une ressource com- mercialisable ? L’accès à l’eau potable est déjà un problème dans de nombreuses régions et deviendra un des enjeux globaux majeurs de ce siècle. Ici, les glaciers fondent et disparaissent progressivement, là la mon- tée des océans met en péril l’habitabilité de certaines îles et côtes. Inon- dations et crues soudaines produisent des pertes humaines, matérielles et remodèlent le paysage. L’activité humaine domestique, industrielle et minière engendre une pollution des eaux de surfaces et des nappes phréatiques. L’eau potable sera à moyen terme la matière première la plus recherchée et la plus précieuse. La question de l’eau révèle d’ailleurs de nombreuses questions d’injustices environnementales. Réclamer l’eau est une invitation à vous questionner et à produire des images en relation avec les innombrables enjeux liés à l’eau. Dans nos ré- gions la question de l’eau prend des formes particulières liées notamment à la fonte des glaciers, à la raréfaction de la neige et à une abondance exceptionnelle de cette ressource naturelle. D’une part ce qui encore vrai aujourd’hui ne le sera pas forcément demain. Et d’autre part dans d’autres parties du monde l’eau est déjà un enjeu politique, social, économique et humain. Comment adresser visuellement ces questions ?
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Projet d’atelier avec RVB Books/Matthieu Charon & Rémi Faucheux
Partant du préalable que le livre constitue tout à la fois une pratique alternative à l’exposition qu’une pratique d’exposition alternative - pratiques d’exposition alternatives dans la mesure où le livre et l’imprimé sont potentiellement des modes de visibilité de l’art ; pratiques alternatives à l’exposition parce que ce moyen de visibilité est très différent de ce que l’on nomme usuellement une exposition.
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Projet d’atelier avec Laurence Bonvin
Ce cours pour intérêt de permettre aux étudiant.e.s d’amorcer ou de poursuivre un projet de diplôme. Reprendre un sujet pas terminé, qui n'a pas pu être réaliser jusqu’à ce jour et qui implique une prise de risque dans la forme, la technique, la réalisation ou le sujet.
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Projet d’atelier avec Nicolas Poillot
En conceptualisant et en produisant le contenu visuel pour un magazine, ayant comme thématique - RÉSISTANCE - les élèves ont abordé de manière pratique, créative et professionnelle la notion de photographie appliquée en étroite collaboration avec un Directeur Artistique.
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Projet d’atelier avec Natacha Lesueur
Les étudiant.e.s développent un projet sur tout le semestre. Argumentation et analyse sont stimulées. Il s’agit de s’interroger sur les enjeux de la photographie d’auteur.ice et de développer une expression personnelle, qui puisse potentiellement amorcer le travail de diplôme des étudiant.e.s.
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Projet d’atelier avec Maxime Guyon
« Sculpture » est un thème intentionnellement large pour donné à ce projet de semestre afin de stimuler l’expérimentation et la liberté de réalisation. La Sculpture est un médium artistique permettant de réaliser des formes en volume grâce à d’innombrables techniques qui ont été manié depuis l’ère Paléolithique jusqu’à notre société contemporaine. Il s’agit d’un projet ambitieux où chaque étudiant-e-s devra accomplir une série d’images soulignant leurs créations grâce une technique poussée de la composition et de la lumière en studio. Créer une sculpture est l’exercice d’une vie entière pour certains artistes, pour d’autres une manière spontanée d’élaborer un corpus de travail frénétique.
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Projet d’atelier avec Natacha Lesueur
À partir de projets développés autour de la thématique «Trompe L’oeil et Simulacre», les étudiant-e-x-s ont développé un travail personnel et approfondi sur l’entier du semestre.
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Projet d’atelier avec Laurence Bonvin
Comment passer de la bidimensionnalité de l’image à la pluridimensionnalité de l’expérience? Comment introduire des notions d’espace, de volume, de tactilité, de sensualité, dans les images et dans la manière de les présenter? Si les images peuvent nous permettre de créer de nouveaux liens avec le monde, comment éventuellement sortir d’une vision essentiellement basée sur la technique, une vision perspectiviste et anthropocentrée? Comment imaginer et représenter ce que serait une représentation détachée de notre point de vue humain? Dans notre culture une séparation a été établie entre culture et nature. Cette dichotomie a déterminé notre manière de voir, de comprendre et de représenter le monde qui nous entoure. Comment créer des images du vivant, de la « nature » qui iraient au-delà de cette distinction et de ce point de vue? Des images qui contribuent à recréer un lien avec ce qui est non-humain: le végétal, le minéral, l’animal, le cosmique. Qu’est-ce que sent et perçoit un animal, une plante, un objet, un arbre, la terre?
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Projet d’atelier avec Matthieu Gafsou
La simple évocation du terme animal pose déjà des questions ; la plus générale de toutes est la suivante: appartenons-nous, en tant qu’humains, à ce règne, où en sommes-nous devenus totalement étranger·e·x·s ? Il ne s’agit pas ici de répondre à une telle question mais de saisir que la césure entre humains et non humains est extrêmement forte dans notre société – la seule de l’histoire humaine qui ait forgé une telle frontière. Pourtant l’animal est partout dans notre quotidien. Il y a l’animal que l’on mange, ou que l’on refuse de manger, celui que l’on domestique, celui qui habite notre – son ? – milieu, celui que l’on chasse, celui que l’on met en cage dans des zoos, celui que l’on étudie, que l’on protège, etc... On parle aujourd’hui de la sixième extinction de masse de la biodiversité. Ce contexte qui est aujourd'hui le nôtre complexifie notre relation au vivant et aux animaux en particulier. Nous sommes contraint·e·x·s de repenser notre relation aux Autres et prenons conscience que le vivant est un maillage complexe au sein duquel nous n’avons pas toute la place. En outre, les recherches scientifiques récentes ont fait exploser la théorie cartésienne de l’animal-machine et démontrent que nous ne sommes pas les seul·e·x·s à avoir développé une intériorité. Au cours de ce projet mené sur une année entière, il a été demandé aux étudiant·e·x·s de produire une série qui aborde une ou plusieurs des thématiques associées au monde animal, selon la forme de leur choix mais en utilisant le réel comme matière première.
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Projet d’atelier avec Natacha Lesueur
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Workshop avec Philippe Jarrigeon
A l’occasion de Paris Photo, Pierre Hardy & l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne présentent l’exposition «Walk with Pierre Hardy». Quinze modèles emblématiques du créateur ont été réinterprétés visuellement par les étudiants de Bachelor Photographie, sous la direction de Philippe Jarrigeon. A découvrir également une luxueuse publication spécialement éditée pour l’occasion. Du 11 au 13 novembre 2016 (de 10 h à 19 h), boutique Pierre Hardy (9-11 Place du Palais-Bourbon). «J’ai adoré travailler avec les étudiants. A l’ECAL, mon rôle était très éloigné de celui d’un professeur qui accompagne les travaux des étudiants. Comme j’étais leur sujet, je connaissais parfaitement la matière. Il suffit de me montrer qu’un demi-centimètre d’un talon pour que je reconnaisse le modèle que j’ai créé », explique Pierre Hardy. Les étudiants du Bachelor Photographie de l’ECAL ont ainsi travaillé sur diverses collections de ces quinze dernières années réalisées par le créateur parisien avec pour objectif de les réinterpréter visuellement. Le photographe Philippe Jarrigeon revient sur la manière dont a été conduit ce workshop qu’il a dirigé à l’ECAL: «Nous avons sélectionné avec l’équipe de Pierre Hardy une quinzaine de paires de chaussures dans les archives. Une raison purement pratique explique cette décision de puiser dans les archives. Cela nous permettait de conserver les modèles aussi longtemps que nous le souhaitions à l’école. En outre, les étudiants pouvaient s’abstraire de l’actualité saisonnière. Au début du workshop, en octobre 2015, chaque étudiant a tiré au sort un modèle avec lequel il ou elle a dû travailler.» Ce projet a permis aux étudiants d’interroger la relation entre la photographie et la chaussure, donc par extension de les confronter à ce fameux duo : photographie et mode. Pour Milo Keller, responsable de la Photographie à l’ECAL : « Les étudiants, qui travaillent hors de toute contrainte commerciale dans ce cas et sont moins formatés qu’un professionnel, proposent des approches souvent inattendues ». Les résultats sont en effet souvent étonnants et décalés, voire même parfois provocateurs ou poétiques, mais traitent toujours avec respect les créations originales. Publication «Walk with Pierre Hardy» Texte (français) : conversation entre Pierre Hardy, Philippe Jarrigeon et Milo Keller Retranscription : Sylvain Menétrey Softcover, 220 × 280 mm, 52 pages, 48 images en couleur, novembre 2016 ISBN : 978-2-9700962-9-0 Prix : CHF 15 / EUR 15
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Workshop
<meta charset="UTF-8"> Après avoir marqué l’histoire du XXe siècle par des épisodes majeurs, Cuba doit se confronter à un nouveau tournant historique. Les discours d'ouverture d’Obama et le décès de Fidel Castro, leader de la révolution cubaine de 1959, poussent le pays vers un changement de paradigme sans précèdent. Les mesures de libéralisation partielles (restaurants, taxis et activités touristiques par exemple) créent un équilibre incertain entre tourisme de masse et ancrage historique communiste. La volonté du workshop dirigé par Milo Keller (responsable photographie) et Vincent Jacquier (responsable communication visuelle) était de repenser le rapport visuel que l’imaginaire collectif entretient avec Cuba. Il s’agissait pour les étudiants de sortir du cliché touristique, que ce soit la vieille voiture américaine, les maisons coloniales colorées ou le cigare. En partenariat avec l’Ambassade Suisse à Cuba, cette semaine a été rythmée par des nombreuses visites culturelles. Des échanges avec des institutions comme l’Instituto Superio de Arte(ISA) et la Fototeca de Cuba, mais aussi des rencontres avec des photographes qui ont travaillé pendant des décennies à Cuba comme Sven Creutzmann et Vives-Figueroa, ont permis une compréhension plus fine de la culture cubaine, avec des échanges autour des approches photographiques, pédagogiques et politiques. L’architecture a été l’un des thèmes majeurs, que ce soit par les visites des bâtiments de Porro et Gottardi ou encore la visite de la résidence de l’ambassadeur suisse dessinée par Richard Neutra. Grâce à l’aide de l’Ambassade Suisse, les étudiants ont été guidés par quatre photographes locaux : Raul Cañibano, Chino Arcos, Gabriel Guerra et Lissette Solorzano et ils ont pu s’introduire dans des lieux et des réseaux de La Havane invisibles aux touristes. Les projets réalisés sont variés : le rapport à la technologie a été abordé par Margaux Piette dans un film sur les hot spots Wifi disséminés à travers la ville ; mais aussi dans les photos d’Ivo Fovanna centrées sur le paquete, réseau physique d’échange de fichiers piratés ; ou encore dans le film de Tatiana Mégevand sur les activités touristiques Airbnb et le changement économique qu’elles impliquent. Les particularités sociales de Cuba se retrouvent dans les séries d’Olivia Schenker et Julien Deceroi. La première a réalisé des portraits de la minorité LGBTQ qui jouit d’une acceptation spéciale sur l’île. Le second nous fait découvrir Santería, religion majoritaire à Cuba d’inspiration chrétienne et Voodoo. Des tendances culturelles importées ont été mis en avant par les skateurs dans le film de Pierre-Kastriot Jashari et des aspects plus vernaculaires se révèlent dans la série de Vincent Levrat sur les pigeons collectionnés sur les toits par les habitants de La Havane. Les dix-huit projets de ce workshop ont été présenté sous forme de projection à la Fototeca de Cuba le vendredi8 décembre, en présence de l'Ambassadeur Suisse, M. Stutz et de photographes locaux. Ce workshop a été l'occasion de découvertes culturelles et sociales, mais aussi un cadre de travail qui a permis d'améliorer l'autonomie et l'ambition projectuelle des étudiants
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Workshop avec Nicolas Coulomb, Jeanne-Salomé Rochat, Florence Tétier
A l’occasion de Paris Photo 2017, Novembre Magazine et l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne présentent une exposition de photographie performative ainsi qu’une édition hors-série du magazine. Du 9 (vernissage dès 18h) au 11 novembre à l’Espace Canal Saint-Martin. Ce numéro spécial et cette exposition présentent une sélection d’images réalisées durant une période de quatre ans à l’occasion de workshops conduits à l’ECAL par Novembre Magazine dans le cadre du Département Photographie. A travers le regard de plus de 60 étudiants, ce projet offre un point de vue kaléidoscopique du monde contemporain à travers le corps et les nouvelles définitions de la beauté, tout en valorisant une approche interdisciplinaire de la photographie de mode. DOWNLOAD IMAGES HD Novembre Magazine – Numéro SpécialEdition et publication: Novembre Magazine x ECAL Design Graphique: Novembre Magazine x ECAL Fonte: Simplon Mono par Swiss Typefaces Spécifications: Anglais, 21 × 28 cm, 156 pages, 120 images, 2017 Impression et reliure: Musumeci S.P.A Prix: 20 EUR / 25 CHF ISBN: 978-2-9701157-8-6 Distribué par: https://www.kdpresse.com/en/2-2653-magazine-novembre.html Exposition Jeudi (vernissage) 9 novembre / 18h - 21h Vendredi 10 novembre / de 9h - 21h Samedi 11 novembre / de 9h - 19h Espace Canal Saint-Martin 13 rue Jean Poulmarch, 75010 Paris M5, Stop Jacques Bonsergent www.espacecanalsaintmartin.com Plus d’infos www.novembremagazine.com www.ecal.ch ecal.novembremagazine.com
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Workshop avec Philippe Jarrigeon
La créature Mugler, une silhouette captivante, victorieuse, flirtant avec le surnaturel et le 7ème art, telle une star mise en scène dans son environnement intersidéral et théâtral… À l’ECAL, les étudiants du photographe Philippe Jarrigeon ont eu la chance de pouvoir se pencher sur le travail du maître, accédant aux archives pour réinterpréter chacun une silhouette.
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Workshop avec Melanie Bonajo
"Improvisation is shit" est un workshop performatif présentant des jeux de rôle et des techniques d'improvisation dirigé par Melanie Bonajo à l'ECAL. Durant le workshop, les étudiants sont mis au défi de renégocier ce que signifie être humain par le biais de notre relation à la technologie et aux systèmes de contrôle. L'avènement de l'ère numérique et l'augmentation constante des valeurs laïques mondialisées ont fait que la sexualité en tant que sphère de la vie quotidienne est plus visible et plus disponible que jamais. Néanmoins, il semble que les gens perdent la capacité d'établir des liens significatifs même dans des circonstances physiquement intimes. Que dit de notre société le fait que beaucoup de gens préfèrent rencontrer et "ghoster" une relation plutôt que de payer quelqu'un pour un orgasme conscient ? Et qu'en est-il si le capitalisme gagne de l'argent grâce à notre solitude et à notre incapacité à nous procurer notre propre intimité ?
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Workshop avec Thomas Mailaender
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Workshop par 2 BAPH
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Workshop avec Anouk Kruithof
"Earth is already crying" workshop d'une semaine avec l'artiste Anouk Kruithof.
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Collaboration
L’artiste et les étudiants ont vécu une semaine de complète autonomie au sein d’une forêt sauvage de l’Ouest lausannois. Après le choc de la privation des conforts habituels comme l’eau courante, l’électricité, le chauffage, les jeunes photographes ont apprivoisé cette nouvelle condition qui a nourri leur imaginaire et les a poussé à produire une énorme quantité d’images. Cuisine au feu de bois, nuit à la belle étoile, chasse et pêche ont constitué leur quotidien et un contexte propice aux expérimentations visuelles. Les réponses ont été multiples, de l’image fixe à l’image en mouvement, certaines traitent directement d’un camping délirant contemporain, d’autres flirtent avec des réminiscences historiques sur les campements de la Grande Guerre. Les dénominateurs communs de tous les travaux sont l’humour et le décalage. Pendant Paris Photo, le résultat est présenté sous la forme d’une installation dans un lieu insolite en plein milieu urbain, Les Voûtes. Après la semaine de workshop en Suisse tous les étudiants ont travaillé avec Thomas Mailaender sur la conception et la réalisation de l’exposition. Les étudiants ont vécu une semaine d’installation en immersion totale : ils ont habité dans l’exposition en la construisant. Les images sont présentées dans un environnement brut, une sorte de village, de campement de fortune. Tout ce processus leur a permis de se confronter non seulement à la réalisation des prises de vues, mais aussi à la question de la production et de l’exposition des images au public. L’exposition est accompagnée par un catalogue-journal en bichromie réalisé par les étudiants et imprimé à l’ECAL.
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Projet de diplôme par Gaïa Lamarre
C’est dans ce monde que je veux vivre, dans cet endroit où je n’ai pas besoin de m’identifier. Là où je n’ai pas peur du jugement, ni des autres. Là où je ne ressens pas la peur, loin de cette binarité. Ce monde-là est sûr. Il est bâti sur les souvenirs de ceux qui, avant moi, voulaient eux aussi simplement vivre leur vie de manière authentique, sans se demander si le prochain jour serait leur dernier. Ce voyage métaphorique fantasmé exprime mes doutes et mes indécisions quant à des questionnements identitaires de plus en plus conscients.
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Projet de diplôme par Valentin Woeffray
Nous sommes surveillés par l’Etat et les géants de la tech, dirigés ou détenus par un petit nombre. Avec notre argent, dans un système où ce sont eux qui fixent les règles, ils nous surveillent, s’assurant que nous nous comportons comme prévu, nous faisant dépenser comme prévu. L’Etat policier veille à ce qu’aucun grain de sable ne puisse se retrouver dans les rouages, à ce que nous puissions encore consommer frénétiquement d’une manière qui mènera à notre perte. Et lorsque cela se produira, cette même élite partira pour l’espace et colonisera des Terres nouvelles, sans nous. contact@valentinwoeffray.com https://valentinwoeffray.com
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Projet de diplôme par Yul Tomatala
À travers une imbrication de réflexions autour de l’héritage moderne et colonial de la ville de Casablanca, j’envisage ici le développement urbain comme une grille de lecture. Face à cette problématique, la pratique documentaire, à travers photographie et archive, est augmentée de deux caractères fictifs. Les limites du réel s’étendent alors pour s’orienter vers une narration plus expansive et personnelle. Ce territoire, autrefois fantasmé comme un laboratoire par les architectes européens du siècle dernier, devient pour moi un espace d’enquêtes, d’expériences et de remises en cause. Oscillant entre ma fascination pour l’utopie moderniste et mon désir de formes narratives qui débordent de la déconstruction post-moderne, mes images tentent d’évoquer l‘innocence et l’exubérance d’une époque agitée dans la mémoire collective.
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Projet de diplôme par Emeline Courcier
Le film Sous les cendres du Mekong est une interrogation sur la coexistence de traditions et de cultures opposées, la vie et la mort, et la confrontation entre la grande Histoire et l’histoire individuelle. Sur fond de crise sanitaire et de racisme anti-asiatique, les liens familiaux se dévoilent à travers des conversations questionnant ma place en tant que fille de Viêt Khieu au sein de la lignée. Par nos croyances en la réincarnation, je me projette sur une figure qui m’est familièrement étrangère: la cousine de ma mère, noyée dans le Mékong. Créant un lien entre passé et présent, guerre et paix, parole et silence. C’est par la mémoire traumatique et l’héritage psychologique que les séquelles d’une guerre à laquelle ma famille a échappé me parviennent, prenant le pas dans mes songes.
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Projet de diplôme par Vincent Levrat
Les terrains vagues, de par leur vide et leur manque de fonction, se révèlent insoumis aux normes sociales. Ils représenteraient ainsi des espaces de liberté où l’imaginaire s’exprimerait sans limite. J’ai donc investi un terrain vague pour en faire mon royaume, un espace des possibles. C’est un terrain de jeux ou l’on célèbre l’expérimentation physique, la matérialité, un territoire permettant de s’échapper du monde virtuel et technologique. Les matériaux pauvres trouvés in situ deviennent source de création, une fois animés de la vertu de la naïveté infantile.
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Projet de diplôme par Olivia Schenker
Le fétichisme a pendant longtemps été cantonné au carcan des déviances sexuelles et ces minorités préfèrent souvent garder le silence sur leur paraphilie. Internet est alors devenu le refuge d’une communauté secrète mais étonnamment vaste. Durant un an, j’y ai posté plusieurs petites annonces offrant de photographier anonymement quiconque souhaiterait capturer son fantasme. Ce projet collaboratif explore différents fétichismes latents, dans lesquels l’appareil photographique devient l’objet de désir entre deux inconnus.
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Projet de diplôme par Yasmina Gonin
Avec Roma Invicta, je me suis intéressée aux vestiges de la Rome mussolinienne. La monumentalité derrière l'idéologie fasciste, ou plutôt son expression architecturale, me fascine. Est-il possible d’apprécier ce paysage en faisant abstraction de son contexte politique? Faut-il restaurer ces créations, les actualiser, les censurer ou les détruire?
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Projet de diplôme par Maxime Guyon
Ce projet traite de l'évolution technologique au sens large du terme. Se réappropriant les codes esthétiques que témoigne l'ère de l'hyper-commercialisation, cette série examine de nombreuses commodités standardisées ainsi que des hautes technologies, répertoriées ici comme espèces à part entière. Certaines images dans ce projet sont manipulées intentionnellement, témoignant alors des hybridations que subit le médium ainsi que la technologie. Cela m'a permis de me questionner sur le rôle d'un photographe aujourd'hui face à la forte dématérialisation de la pratique.
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Projet de diplôme par benoit jeannet
A Geological Index of the Landscape traite de l’invention du paysage et son existence naissante par la représentation. Ce travail s’inspire du besoin frénétique de l’homme de vouloir rendre le monde à son échelle afin de se l’approprier. Le projet se construit autour du conflit permanent qu’entretient l’homme entre l’émotionnel et le rationalisme. La fascination pour les mystères du monde et les formes géologiques qui en émanent sont confrontées au besoin obsessionnel et absurde de l’homme de vouloir catégoriser le singulier.
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Projet de diplôme par Gohan Keller
« A Travers les Autres » est un travail de recherche sur mon identité depuis l’extérieur. Sous la forme d’un autoportrait collaboratif, j’examine le caractère hybride, multiple et fluide de l’identité. En donnant la parole à mes proches, j’explore différentes représentations et perceptions de moi-même afin de mieux me comprendre et de me redéfinir. Cette diversité de point de vue questionne également la dualité entre subjectivité et objectivité dans toute tentative de définition.
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Collaboration avec Milo Keller, Florence Tétier, Nicolas Coulomb, Calypso Mahieu
L'exposition Under Your Smell propose une expérience hypnotique et immersive dans le siège de Jean Paul Gaultier en imaginant de nouvelles définitions de beauté et d’expression corporelle. Sous la direction de Florence Tétier et Nicolas Coulomb, les étudiant·e·s de 3ème année Bachelor Photographie ont donné vie aux parfums iconiques de la marque à travers une expérience photographique immersive.
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Collaboration avec Nicolas Poillot
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Collaboration avec Noir Associates, Peter Puklus
C'est avec un grand plaisir que nous vous présentons une sélection d'œuvres d'étudiants en photographie et graphisme, sous la direction du photographe Peter Puklus, pour Mode Suisse - Edition 15. Le workshop initié par Noir Associates et mené en novembre 2018, vise à produire la campagne actuelle de Mode Suisse, promouvant la jeunesse et la collaboration interdisciplinaire. Les résultats de ce workshop ont été si convaincants que les moyens de communication des deux éditions de Mode Suisse en 2019 seront confectionnés en collaboration avec les étudiants de l'ECAL, à commencer par les travaux de Raphaèle Rey, Hugo Plagnard et Théo Barraud. Le début de cette collaboration naissante est marqué par l'approche intelligente des étudiants pour répondre aux besoins de MADE VISIBLE, dont le partenariat avec Mode Suisse est un moyen de rendre la créativité visible de manière étonnante et originale. Le travail a déjà commencé avec les meilleurs résultats de cette collaboration pour être présentés à la fin de l'été 2019 à l'occasion de la 16e édition de Mode Suisse. Partenaires principaux : Engagement Migros, The Zurich Silk Association ZSIG, the Hulda and Gustav Zumsteg Foundation et The Swiss Arts Council Pro Helvetia
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Collaboration avec Jonas Marguet
De Lavaux au Chablais vaudois, l’univers viticole a été réinterprété pendant un semestre par les étudiants en 2e année de Bachelor Photographie de l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne, en collaboration avec la Confrérie des Vignerons. Sous la direction de Jonas Marguet, photographe et enseignant, les étudiants ont exploité des indices récoltés sur le terrain auprès des vignerons. Sélectionnée et présentée dans le cadre du Festival Images Vevey, la série "Nuisibles" d'Elisa Ribeiro offre un éclairage spécifique sur un aspect inattendu de la viticulture. Elle dresse une galerie de portraits d’insectes ravageurs de la vigne réalisés à l’aide d’un microscope à balayage électronique. En se réappropriant un outillage scientifique à des fins artistiques, elle révèle l’extraordinaire, invisible à l’oeil nu. Ce travail questionne les fondements même de l’image photographique ; le processus de prise de vue se faisant ici par le biais d’un faisceau d’électrons. Ces minuscules nuisibles apparaissent tels des monstres géants, présentés dans de grandes boîtes lumineuses évoquant l’éclairage de l’observation microscopique. Musée de la Confrérie des Vignerons Rue du Château 2 1800 Vevey www.confreriedesvignerons.ch www.images.ch
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Collaboration avec Matthieu Gafsou
Du 20 septembre au 11 novembre 2018 Vernissage : le 19 septembre à 18h Entre 2017 et 2018, une équipe de sociologues du CIC a recensé, localisé et documenté les quelque 800 communautés religieuses et spirituelles établies sur ce territoire, tandis que les étudiants en Bachelor Photographie, sous la direction du professeur et photographe Matthieu Gafsou, a sillonné le canton à la rencontre d’une vingtaine d’entre elles. Leur travail donne pour la première fois une vue d’ensemble de la diversité des croyances dans la région. Horaires Lu, ma: fermé Me-ve: 12h à 18h Sa-di: 11h à 17h Tarif: 6.- (réduit: 4.-) Enfants (–16 ans): gratuit Nuit des musées 22 sept. de 14h à 2h Espace Arlaud Pl. de la Riponne 2bis 1005 Lausanne
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Collaboration avec Philippe Jarrigeon
La Société Realstone SA, propriétaire du quartier de Sébeillon à Lausanne, et l’ECAL s’associent dans la réalisation d’un événement artistique hors du commun. Cette collaboration donnera lieu à une exposition photographique déployée durant 12 jours au cœur même des bâtiments A, B, et C. Realstone a proposé à l'ECAL le quartier de Sébeillon tel un terrain de jeu et d’exploration en offrant une carte blanche aux étudiants de deuxième année Bachelor. Sous la direction du photographe de mode Philippe Jarrigeon, le groupe d’élèves s’est attelé à briser les dogmes de la photographie d’architecture afin de proposer une nouvelle vision du genre.
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Collaboration par Florian Amoser, Marvin Leuvrey
Du 10 septembre au 2 octobre 2016 , le Festival Images Vevey transformera à nouveau la petite ville de la Riviera en capitale suisse de la photographie. Autour de la thématique de « l’immersion », le visiteur pourra découvrir 75 projets en plein air. Outre les nombreux diplômés présents, l'ECAL propose diverses installations: ----- ECAL/Florian Amoser – Quai Maria Belgia Quantified Landscape présente une recherche en cours sur la transposition photographique de l’espace sur une surface plane. Plongé au cœur de galeries souterraines, Florian Amoser en cartographie les reliefs en posant au sol un laser monté sur moteur. Le faisceau lumineux balaye lentement les parois de la cavité, dessinant ainsi une ligne continue selon le principe des courbes de niveaux. Ces longues poses créent des paysages en noir et blanc évoquant autant la pratique analogique que le rendu numérique d’une modélisation tridimensionnelle. Ces images sont présentées sur des panneaux d’affichage face au lac Léman. Une scénographie originale du Festival Images Vevey ----- ECAL/Marvin Leuvrey – Quai Maria Belgia Revelations propose une narration de l’ordre du fantastique en plongeant dans le Léman des images de corps fragmentés de baigneurs. Leuvrey combine pratique photographique et recherche plastique en retravaillant ses clichés avec de la terre, du sable ou des déchets prélevés aux abords du Léman, ainsi qu’au travers de diverses expérimentations avec de l’acétone, de la peinture et de l’huile. Il intègre l’élément aquatique à son travail en utilisant le lac comme le révélateur d’un bac de laboratoire. En invitant le spectateur à fouler ces photographies présentées sur des plateformes à fleur d’eau, l’installation partant du Quai Maria Belgia prolonge le processus expérimental qu’impose Leuvrey à ses clichés. Une scénographie originale du Festival Images Vevey et de l’ECAL par des étudiants en Bachelor Design Industriel Margaux De Giovannini, Maki Nakaya-Sommet, Mélanie Zufferey ----- ECAL PhotoJukeBox – La Ferblanterie Photographie et musique entretiennent des relations bien plus étroites que l’on ne l’imagine. De nombreux musiciens ont en effet rendu hommage sous une forme ou une autre à ce mode d’expression artistique. Que ce soit Paul Simon (Kodachrome), Neil Young (Distant Camera), Lady Gaga (Paparazzi), Kraftwerk (Das Model), Barbara (Si la photo est bonne), Eddy Mitchell (La photo des jours heureux), Duran Duran (Girls on Film), The Cure (Picture of You), Depeche Mode (Photographic) ou encore Ringo Starr (Photograph). Le Festival Images a invité la trentaine d’étudiants de 1re Bachelor en Photographie de l’ECAL à réaliser un clip vidéo pour une chanson en une journée. Le résultat est présenté sous la forme d’un juke-box qui permet aux festivaliers de sélectionner le morceau de leur artiste favori, l’écouter et apprécier le vidéo-clip réalisé sur mesure. Une production du Festival Images Vevey et de l’ECAL – Commissariat : Stefano Stoll, Milo Keller ----- ECAL Scénographies Des étudiants du Bachelor Design Industriel ont travaillé sur des scénographies originales que l'on retrouve pour la présentation de divers artistes. ----- Information Festival Images Vevey Dates : du 10 septembre au 2 octobre 2016 Toutes les expositions sont gratuites Vernissage : le samedi 10 septembre Horaires des expositions en intérieur : tous les jours de 11h à 19h Images est un Festival de photographies en plein air : baladez-vous dans la ville pour découvrir les expositions proposées sur les façades, les rues ou les parcs!
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Collaboration
En réponse à l’invitation du Théâtre Vidy-Lausanne, dont la programmation cet hiver reflète le lien privilégié et les dynamiques entre théâtre et cinéma, les étudiants de 3e année en Bachelor Photographie de l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne ont travaillé sur les relations, les particularités, les interférences et les problématiques récurrentes qui traversent ces trois modes de représentation : le théâtre, le cinéma et la photographie. Cette exposition propose une sélection de travaux, sous la forme d’un jeu d’hybridation des arts qui a été initié dans le cours de l’artiste et photographe Natacha Lesueur. Théâtre Vidy-Lausanne Avenue Jaques-Dalcroze 5 1007 Lausanne +41 (0)21 619 45 44 www.vidy.ch
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Collaboration par 2 BAPH
Mandat réalisé par les deuxièmes année photographie avec la firme BMW.
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Collaboration
L’artiste et les étudiants ont vécu une semaine de complète autonomie au sein d’une forêt sauvage de l’Ouest lausannois. Après le choc de la privation des conforts habituels comme l’eau courante, l’électricité, le chauffage, les jeunes photographes ont apprivoisé cette nouvelle condition qui a nourri leur imaginaire et les a poussé à produire une énorme quantité d’images. Cuisine au feu de bois, nuit à la belle étoile, chasse et pêche ont constitué leur quotidien et un contexte propice aux expérimentations visuelles. Les réponses ont été multiples, de l’image fixe à l’image en mouvement, certaines traitent directement d’un camping délirant contemporain, d’autres flirtent avec des réminiscences historiques sur les campements de la Grande Guerre. Les dénominateurs communs de tous les travaux sont l’humour et le décalage. Pendant Paris Photo, le résultat est présenté sous la forme d’une installation dans un lieu insolite en plein milieu urbain, Les Voûtes. Après la semaine de workshop en Suisse tous les étudiants ont travaillé avec Thomas Mailaender sur la conception et la réalisation de l’exposition. Les étudiants ont vécu une semaine d’installation en immersion totale : ils ont habité dans l’exposition en la construisant. Les images sont présentées dans un environnement brut, une sorte de village, de campement de fortune. Tout ce processus leur a permis de se confronter non seulement à la réalisation des prises de vues, mais aussi à la question de la production et de l’exposition des images au public. L’exposition est accompagnée par un catalogue-journal en bichromie réalisé par les étudiants et imprimé à l’ECAL.
Photographe d’architecture, de design, de mode ou de nature morte, Photographe documentaire, Artiste photographe, Directeur·rice artistique, Editeur·rice photo, Chef·fe opérateur·rice, Enseignant·e…
(BA et MA Photographie) Anoush Abrar, Philippe Fragnière, Erwan Frotin, Yann Gross, Nicolas Haeni, Raphael Hefti, Philippe Jarrigeon, Florian Joye, Matthieu Lavanchy, Milo Keller, Namsa Leuba, Catherine Leutenegger, David Luraschi, Romain Mader, Jonas Marguet, Adrien Missika, Cyril Porchet, Laurence Rasti, Maya Rochat, Reto Schmid, Sebastian Stadler, Joël Tettamanti, Manon Wertenbroek…
Département Communication Visuelle
Vincent Jacquier
Bachelor Photographie
Milo Keller
Adjoint artistique
Calypso Mahieu
Assistant·e·s
Antoine Martin
Angèle Marignac-Serra
Lisa Mazenauer
Centre des technologies
Matthieu Minguet
Vincent Jacquier
Jamy Herrmann
Anoush Abrar
Laurence Bonvin
Milo Keller
Natacha Lesueur
Calypso Mahieu
Joël Vacheron
Tonatiuh Ambrosetti
Antonio Albanese
Angelo Benedetto
Claus Gunti
Vincent Jacquier
Violène Pont
Pauline Saglio
Anouk Schneider
Sébastien Agnetti
Estelle Blaschke
Sami Benhadj
Mélanie Boissonneau
Giliane Cachin
Matthieu Charon (RVB Books)
Angelo Cirimele
Mélanie Courtinat
Mehdi Derfoufi
Pierre Doze
Rémi Faucheux (RVB Books)
Matthieu Gafsou
Maxime Guyon
Nathalie Herschdorfer
Robert Huber
Philippe Jarrigeon
Xavier Lavorel
Benjamin Muzzin
Nicolas Poillot
Florian Pittet (SIGMASIX
Laurence Salmon
Olivia Schenker
Lionel Tardy
Chi-Long Trieu
Orsola Valenti
Sebastian Vargas
Viktoria Binschtok
Lucas Blalock
Melanie Bonajo
Olaf Breuning
Stefan Burger
Renate Buser
Antony Cairns
Pierre Debusschere
Ruth Erdt
Julien Gallico
Noémie Goudal
Yann Gross
Pieter Hugo
Ina Jang
Erik Kessels
Peter Knapp
Nico Krebs (Tonk)
Anouk Kruithof
Thomas Mailaender
Mazaccio & Drowilal
Théo Mercier
Stefanie Moshammer
Taiyo Onorato (Tonk)
Christian Patterson
Harri Peccinotti
Jaya Pelupessy
Antje Peters
Walter Pfeiffer
Nicolas Poillot (Études)
Peter Puklus
Augustin Rebetez
Maya Rochat
Paolo Roversi
Daniel Sannwald
Joachim Schmid
Jürgen Teller
Thomas Traum
Lukas Wassmann
Mirjam Wirz
Francesco Zanot