Overflow évoque les
excès de l’hypercapitalisme et ses tendances autodestructrices, dans l’abîme de
la technologie et des artefacts.
Ce travail se définit à travers ces métropoles
et leurs lieux de transit, comme les free
zones. Mes images interprètent cette accélération de la société à travers
le progrès permanent et la délégation graduelle du pouvoir à la machine.
Le livre et l’installation sont une métaphore
de l'omniprésence des dispositifs médiatiques, de la virtualisation du réel à
travers un processus aliénant.
L’humain y évolue dans une réalité subjective,
aux airs de simulation.