BLI × ECAL

BLI × ECAL

La collaboration entre l’ECAL et le BLI touche à des enjeux contemporains qui animent particulièrement les étudiants-es-x de l’école: notre rapport aux minorités et la manière adéquate de les représenter. On a longtemps toléré, voire encouragé dans le milieu de la photographie, une attitude anthropologique paternaliste. Les mentalités ont évolué, et les jeunes artistes de l’ECAL ont entretenu un rapport d’égal à égal avec les diverses communautés qu’ils-elles ont rencontrées. L’élaboration des images a nécessité un langage qui a permis aux étudiant-e-x-s de se positionner relationnellement à autrui et d’installer des protocoles en adéquation avec leurs propres valeurs et celles des personnes qui ont été de l’autre côté de l’objectif. Les images nous donnent à voir un panorama complexe, multiple, de la diversité culturelle de notre ville et nous démontre que les rencontres et les mélanges sont possibles et féconds.

Matthieu Gafsou, photographe et enseignant.

Collaboration (2023) avec Matthieu Gafsou

Assistant·e·s
Sarah Koeke, Angèle Marignac-Serra
Étudiant·e·s
Gwendoline Albasini, Tony Altermatt, Noa Chevalley, Sara De Brito Faustino, Jessica Dreier, Valerie Geissbühler, Eloïse Genoud, Martino De Grandis, Marie Haefner, Ulises Lozano, Yan Miranda, Lea Sblandano, Samuel Spreyz
Savoir-faire
Documentaire
Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

Yan Miranda - ECAL

N'ayant pas de connexion directe avec la culture Vietnamienne j'ai pu entrer en contact avec la communauté des Vietnamiens libres de Lausanne qui m'ont accueilli à bras ouverts. J'ai pu acquérir un intérêt sincère pour la culture, les traditions, son histoire, ainsi que le respect et sensibilité à ses valeurs. Durant cette période j'ai noué des relations en participant activement à des événements communautaires, à des conversations et à des expériences partagées. Ce qui m'a permis de mettre en évidence ses belles caractéristiques tels que son hospitalité, sa chaleur, ses valeurs familiales et le pouvoir du collectivisme. Qui s'est traduit par la suite à un langage photographique poétique, illustrant leurs beautés et force individuelles.

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Samuel Spreyz - ECAL

Chaque été, l‘association Colombia Vive organise un grand festival qui célèbre la culture colombienne et entend la partager. Entre bastidores propose une immersion dans les coulisses de la préparation de cet événement. En suivant notamment les répétitions du groupe de danse de l‘association, ce projet m‘a permis d‘apprivoiser l‘esthétique impermanente de la fête.

Samuel Spreyz - ECAL

Chaque été, l‘association Colombia Vive organise un grand festival qui célèbre la culture colombienne et entend la partager. Entre bastidores propose une immersion dans les coulisses de la préparation de cet événement. En suivant notamment les répétitions du groupe de danse de l‘association, ce projet m‘a permis d‘apprivoiser l‘esthétique impermanente de la fête.

Samuel Spreyz - ECAL

Chaque été, l‘association Colombia Vive organise un grand festival qui célèbre la culture colombienne et entend la partager. Entre bastidores propose une immersion dans les coulisses de la préparation de cet événement. En suivant notamment les répétitions du groupe de danse de l‘association, ce projet m‘a permis d‘apprivoiser l‘esthétique impermanente de la fête.

Samuel Spreyz - ECAL

Chaque été, l‘association Colombia Vive organise un grand festival qui célèbre la culture colombienne et entend la partager. Entre bastidores propose une immersion dans les coulisses de la préparation de cet événement. En suivant notamment les répétitions du groupe de danse de l‘association, ce projet m‘a permis d‘apprivoiser l‘esthétique impermanente de la fête.

Samuel Spreyz - ECAL

Chaque été, l‘association Colombia Vive organise un grand festival qui célèbre la culture colombienne et entend la partager. Entre bastidores propose une immersion dans les coulisses de la préparation de cet événement. En suivant notamment les répétitions du groupe de danse de l‘association, ce projet m‘a permis d‘apprivoiser l‘esthétique impermanente de la fête.

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Tony Altermatt - ECAL

Ce projet porte sur la communauté Rom de Lausanne. J'aborde ce sujet au travers du regard des adolescents qui possèdent une vision singulière de leur propre culture. L'approche délicate et sensible que j'ai adopté m'a permis d'établir une notion ludique, brouillant ainsi les frontières entre le photographe et le sujet. Le spectateur devient le sujet et inverse les dogmes établis de la photographie documentaire.

Tony Altermatt - ECAL

Ce projet porte sur la communauté Rom de Lausanne. J'aborde ce sujet au travers du regard des adolescents qui possèdent une vision singulière de leur propre culture. L'approche délicate et sensible que j'ai adopté m'a permis d'établir une notion ludique, brouillant ainsi les frontières entre le photographe et le sujet. Le spectateur devient le sujet et inverse les dogmes établis de la photographie documentaire.

Tony Altermatt - ECAL

Ce projet porte sur la communauté Rom de Lausanne. J'aborde ce sujet au travers du regard des adolescents qui possèdent une vision singulière de leur propre culture. L'approche délicate et sensible que j'ai adopté m'a permis d'établir une notion ludique, brouillant ainsi les frontières entre le photographe et le sujet. Le spectateur devient le sujet et inverse les dogmes établis de la photographie documentaire.

Tony Altermatt - ECAL

Ce projet porte sur la communauté Rom de Lausanne. J'aborde ce sujet au travers du regard des adolescents qui possèdent une vision singulière de leur propre culture. L'approche délicate et sensible que j'ai adopté m'a permis d'établir une notion ludique, brouillant ainsi les frontières entre le photographe et le sujet. Le spectateur devient le sujet et inverse les dogmes établis de la photographie documentaire.

Tony Altermatt

Ce projet porte sur la communauté Rom de Lausanne. J'aborde ce sujet au travers du regard des adolescents qui possèdent une vision singulière de leur propre culture. L'approche délicate et sensible que j'ai adopté m'a permis d'établir une notion ludique, brouillant ainsi les frontières entre le photographe et le sujet. Le spectateur devient le sujet et inverse les dogmes établis de la photographie documentaire.

Tony Altermatt - ECAL

Ce projet porte sur la communauté Rom de Lausanne. J'aborde ce sujet au travers du regard des adolescents qui possèdent une vision singulière de leur propre culture. L'approche délicate et sensible que j'ai adopté m'a permis d'établir une notion ludique, brouillant ainsi les frontières entre le photographe et le sujet. Le spectateur devient le sujet et inverse les dogmes établis de la photographie documentaire.

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Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

Noa Chevalley - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec l’association International Women's Club de Lausanne. Après de nombreux échanges, je me suis liée d’amitié avec une de ses membres, Mandeep Sengh, originaire d’Inde et vivant en Californie depuis de nombreuses années. Au travers de portraits, mise en scènes, archives et collections d’objects, nous racontons ensemble son histoire et sa double culture au travers d’une édition. Merci à Mandeep Sengh.

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Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

Sara De Brito Faustino - ECAL

Ce projet à été réalisé en collaboration avec la LICRA et la CILV. Il prend la forme finale d’un magasine appelé LIKRAT. Ce mot hébreu signifie « aller à la rencontre de », « s’approcher de l’autre ». Il est symbole d’une relation, d’une entente interculturelle. Merci à Eden Soussanna et le Rabin Eliezer Shaï Di Martino.

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Eloïse Genoud - ECAL

« En Allemagne, c’est beaucoup, mais ce n’est pas bon. En France, c’est bon, mais ce n’est pas beaucoup. En Alsace, c’est bon et c’est beaucoup. » - Marguerite Spoerlin, la Cuisinière alsacienne. Ce travail a été réalisé en collaboration avec les membres de la Société des Alsaciens et des Lorrains de Suisse romande et de Lausanne pour fêter leurs 150 ans. Ce livre de cuisine fait honneur à la gastronomie alsacienne, mais aussi aux membres de sa communauté qui ont permis la propagation de ses mets et de son savoir-faire à travers le monde et qui témoignent de la réussite de leur association. Merci à Anne Luisier, Bertrand Picard, Catherine Kaltenrieder, Julien Krauss, Max-Olivier Bourcoud et Olivier Reutenauer.

Eloïse Genoud - ECAL

« En Allemagne, c’est beaucoup, mais ce n’est pas bon. En France, c’est bon, mais ce n’est pas beaucoup. En Alsace, c’est bon et c’est beaucoup. » - Marguerite Spoerlin, la Cuisinière alsacienne. Ce travail a été réalisé en collaboration avec les membres de la Société des Alsaciens et des Lorrains de Suisse romande et de Lausanne pour fêter leurs 150 ans. Ce livre de cuisine fait honneur à la gastronomie alsacienne, mais aussi aux membres de sa communauté qui ont permis la propagation de ses mets et de son savoir-faire à travers le monde et qui témoignent de la réussite de leur association. Merci à Anne Luisier, Bertrand Picard, Catherine Kaltenrieder, Julien Krauss, Max-Olivier Bourcoud et Olivier Reutenauer.

Eloïse Genoud - ECAL

« En Allemagne, c’est beaucoup, mais ce n’est pas bon. En France, c’est bon, mais ce n’est pas beaucoup. En Alsace, c’est bon et c’est beaucoup. » - Marguerite Spoerlin, la Cuisinière alsacienne. Ce travail a été réalisé en collaboration avec les membres de la Société des Alsaciens et des Lorrains de Suisse romande et de Lausanne pour fêter leurs 150 ans. Ce livre de cuisine fait honneur à la gastronomie alsacienne, mais aussi aux membres de sa communauté qui ont permis la propagation de ses mets et de son savoir-faire à travers le monde et qui témoignent de la réussite de leur association. Merci à Anne Luisier, Bertrand Picard, Catherine Kaltenrieder, Julien Krauss, Max-Olivier Bourcoud et Olivier Reutenauer.

Eloïse Genoud - ECAL

« En Allemagne, c’est beaucoup, mais ce n’est pas bon. En France, c’est bon, mais ce n’est pas beaucoup. En Alsace, c’est bon et c’est beaucoup. » - Marguerite Spoerlin, la Cuisinière alsacienne. Ce travail a été réalisé en collaboration avec les membres de la Société des Alsaciens et des Lorrains de Suisse romande et de Lausanne pour fêter leurs 150 ans. Ce livre de cuisine fait honneur à la gastronomie alsacienne, mais aussi aux membres de sa communauté qui ont permis la propagation de ses mets et de son savoir-faire à travers le monde et qui témoignent de la réussite de leur association. Merci à Anne Luisier, Bertrand Picard, Catherine Kaltenrieder, Julien Krauss, Max-Olivier Bourcoud et Olivier Reutenauer.

Eloïse Genoud - ECAL

« En Allemagne, c’est beaucoup, mais ce n’est pas bon. En France, c’est bon, mais ce n’est pas beaucoup. En Alsace, c’est bon et c’est beaucoup. » - Marguerite Spoerlin, la Cuisinière alsacienne. Ce travail a été réalisé en collaboration avec les membres de la Société des Alsaciens et des Lorrains de Suisse romande et de Lausanne pour fêter leurs 150 ans. Ce livre de cuisine fait honneur à la gastronomie alsacienne, mais aussi aux membres de sa communauté qui ont permis la propagation de ses mets et de son savoir-faire à travers le monde et qui témoignent de la réussite de leur association. Merci à Anne Luisier, Bertrand Picard, Catherine Kaltenrieder, Julien Krauss, Max-Olivier Bourcoud et Olivier Reutenauer.

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Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

Ulises Lozano - ECAL

Par cette collaboration, j'ai pu entrer l'univers de jeune adolescents lausannois et découvrir un lieu vivant imprégné de leur énergie touchante et débordante. Par le biais d’atelier participatifs ainsi que par des prises de vues spontanées, j’ai pu observer leur mouvements, les regards, la performance, le jeu et les expressions qui m’ont offert des indices pour une lecture plus intime de leur environnement en perpétuel changement.

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Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

Valerie Geissbühler - ECAL

"Je sais tout sur les cheveux des gens, mais personne ne sait rien sur les miens" m'a dit Astrid, 17 ans, lors d'une de nos premières conversations. Avec Nodji N'Deurbelaou, membre de l'association "A Qui Le Tour" qui lutte contre le racisme et les brutalités policières, nous avons décidé de travailler sur le sujet des cheveux afro-descendants, de mettre en lumière et de célébrer la complexité et la diversité des cheveux afro-descendants. Au cours d'une année, j'ai rencontré et accompagné diverses personnes de différentes générations à Lausanne afin d'entendre leur histoire et leur rapport à leur cheveux. Ces rencontres ont été capturées au travers d'un portrait ainsi qu'un autoportrait photographié par la personne elle-même, comme un moyen de collaborer et de rendre l'autonomie à la personne photographiée. Merci à Achiraf Djakpa, Louise Astrid Pierre, Nodji N’Deurbelaou, Savannah Mamie, Sylvie Makela, Jaqueline Mutandu, Faihry Stesa, KT Gorique, Yilian Cañizares, Jessica Correia, Mamu Tshi, Khandy Beye Samt, Miffty Luwe, Sabrina Guerilli, Team of Inside Africa, Team of hair salon Tribus Urbaines.

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Gwendoline Albasini - ECAL

Pendant un an j’ai suivi une association de femmes du quartier de la Borde, qui invite les membres à se retrouver afin de créer des liens communautaires, en un lieu de soutien, de dialogue et d’entraide. Ces femmes ont toutes des histoires surprenantes, propres à chacune et leur force de résilience révèle des personnalités joyeuses et téméraires. Ce projet met en lumières ces personnalités du quartier situé au nord de Lausanne, il a été effectué en collaboration avec les personnes photographiées.

Gwendoline Albasini - ECAL

Pendant un an j’ai suivi une association de femmes du quartier de la Borde, qui invite les membres à se retrouver afin de créer des liens communautaires, en un lieu de soutien, de dialogue et d’entraide. Ces femmes ont toutes des histoires surprenantes, propres à chacune et leur force de résilience révèle des personnalités joyeuses et téméraires. Ce projet met en lumières ces personnalités du quartier situé au nord de Lausanne, il a été effectué en collaboration avec les personnes photographiées.

Gwendoline Albasini - ECAL

Pendant un an j’ai suivi une association de femmes du quartier de la Borde, qui invite les membres à se retrouver afin de créer des liens communautaires, en un lieu de soutien, de dialogue et d’entraide. Ces femmes ont toutes des histoires surprenantes, propres à chacune et leur force de résilience révèle des personnalités joyeuses et téméraires. Ce projet met en lumières ces personnalités du quartier situé au nord de Lausanne, il a été effectué en collaboration avec les personnes photographiées.

Gwendoline Albasini - ECAL

Pendant un an j’ai suivi une association de femmes du quartier de la Borde, qui invite les membres à se retrouver afin de créer des liens communautaires, en un lieu de soutien, de dialogue et d’entraide. Ces femmes ont toutes des histoires surprenantes, propres à chacune et leur force de résilience révèle des personnalités joyeuses et téméraires. Ce projet met en lumières ces personnalités du quartier situé au nord de Lausanne, il a été effectué en collaboration avec les personnes photographiées.

Gwendoline Albasini - ECAL

Pendant un an j’ai suivi une association de femmes du quartier de la Borde, qui invite les membres à se retrouver afin de créer des liens communautaires, en un lieu de soutien, de dialogue et d’entraide. Ces femmes ont toutes des histoires surprenantes, propres à chacune et leur force de résilience révèle des personnalités joyeuses et téméraires. Ce projet met en lumières ces personnalités du quartier situé au nord de Lausanne, il a été effectué en collaboration avec les personnes photographiées.

Gwendoline Albasini - ECAL

Pendant un an j’ai suivi une association de femmes du quartier de la Borde, qui invite les membres à se retrouver afin de créer des liens communautaires, en un lieu de soutien, de dialogue et d’entraide. Ces femmes ont toutes des histoires surprenantes, propres à chacune et leur force de résilience révèle des personnalités joyeuses et téméraires. Ce projet met en lumières ces personnalités du quartier situé au nord de Lausanne, il a été effectué en collaboration avec les personnes photographiées.

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Martino De Grandis - ECAL

J'ai été chaleureusement accueillie au sein de l'association Léman Russe, qui réunit la diaspora russophone à Lausanne. Tout au long de ce projet, j'ai voulu explorer différentes perspectives sur la dynamique du pouvoir visuel impliquée dans le portrait. En demandant aux sujets de participer activement au processus de prise de vue, mon rôle était simplement d'ouvrir une fenêtre sur l'authenticité et la spontanéité de cette communauté.

Martino De Grandis - ECAL

J'ai été chaleureusement accueillie au sein de l'association Léman Russe, qui réunit la diaspora russophone à Lausanne. Tout au long de ce projet, j'ai voulu explorer différentes perspectives sur la dynamique du pouvoir visuel impliquée dans le portrait. En demandant aux sujets de participer activement au processus de prise de vue, mon rôle était simplement d'ouvrir une fenêtre sur l'authenticité et la spontanéité de cette communauté.

Martino De Grandis - ECAL

J'ai été chaleureusement accueillie au sein de l'association Léman Russe, qui réunit la diaspora russophone à Lausanne. Tout au long de ce projet, j'ai voulu explorer différentes perspectives sur la dynamique du pouvoir visuel impliquée dans le portrait. En demandant aux sujets de participer activement au processus de prise de vue, mon rôle était simplement d'ouvrir une fenêtre sur l'authenticité et la spontanéité de cette communauté.

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Marie Haefner - ECAL

Cette série a été réalisé en collaboration avec l'association Kalam, explore le médium du portrait documentaire. Elle tente de faire en sorte que les protagonistes, Maha, Rania et Mili, participent autant que possible au processus créatif - par le biais du choix du lieu, de leurs propres photographies et de leurs textes. C'est une tentative de mettre en avant l'aspect collaboratif du portrait documentaire et de remettre en question le concept d'auteur photographique.

Marie Haefner - ECAL

Cette série a été réalisé en collaboration avec l'association Kalam, explore le médium du portrait documentaire. Elle tente de faire en sorte que les protagonistes, Maha, Rania et Mili, participent autant que possible au processus créatif - par le biais du choix du lieu, de leurs propres photographies et de leurs textes. C'est une tentative de mettre en avant l'aspect collaboratif du portrait documentaire et de remettre en question le concept d'auteur photographique.

Marie Haefner - ECAL

Cette série a été réalisé en collaboration avec l'association Kalam, explore le médium du portrait documentaire. Elle tente de faire en sorte que les protagonistes, Maha, Rania et Mili, participent autant que possible au processus créatif - par le biais du choix du lieu, de leurs propres photographies et de leurs textes. C'est une tentative de mettre en avant l'aspect collaboratif du portrait documentaire et de remettre en question le concept d'auteur photographique.

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Jessica Dreier - ECAL

Mon objectif lors de ce projet a été de représenter les récits de voyage d'une personne migrante de l'Érythrée à la Suisse. Ensemble, nous avons imaginé les portraits que vous voyez dans l'exposition. J'ai travaillé avec l'aide de l'association Kalam présente à Lausanne. Celle-ci accompagne les personnes arabophones habitantes dans le canton de vaud et leur offre un soutien social et professionnel.

Jessica Dreier - ECAL

Mon objectif lors de ce projet a été de représenter les récits de voyage d'une personne migrante de l'Érythrée à la Suisse. Ensemble, nous avons imaginé les portraits que vous voyez dans l'exposition. J'ai travaillé avec l'aide de l'association Kalam présente à Lausanne. Celle-ci accompagne les personnes arabophones habitantes dans le canton de vaud et leur offre un soutien social et professionnel.

Jessica Dreier - ECAL

Mon objectif lors de ce projet a été de représenter les récits de voyage d'une personne migrante de l'Érythrée à la Suisse. Ensemble, nous avons imaginé les portraits que vous voyez dans l'exposition. J'ai travaillé avec l'aide de l'association Kalam présente à Lausanne. Celle-ci accompagne les personnes arabophones habitantes dans le canton de vaud et leur offre un soutien social et professionnel.

Jessica Dreier - ECAL

Mon objectif lors de ce projet a été de représenter les récits de voyage d'une personne migrante de l'Érythrée à la Suisse. Ensemble, nous avons imaginé les portraits que vous voyez dans l'exposition. J'ai travaillé avec l'aide de l'association Kalam présente à Lausanne. Celle-ci accompagne les personnes arabophones habitantes dans le canton de vaud et leur offre un soutien social et professionnel.

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Lea Sblandano - ECAL

La Mitad del Mundo est un projet réalisé en collaboration avec l’association Équatorienne de Lausanne AEYAEL. Le projet met en lumière le visage de la communauté qui, malgré les difficultés politiques et sociales liées à l’immigration, réussit à maintenir son identité riche et sa culture par ses traditions, célébrations et événements culturels haut en couleur.

Lea Sblandano - ECAL

La Mitad del Mundo est un projet réalisé en collaboration avec l’association Équatorienne de Lausanne AEYAEL. Le projet met en lumière le visage de la communauté qui, malgré les difficultés politiques et sociales liées à l’immigration, réussit à maintenir son identité riche et sa culture par ses traditions, célébrations et événements culturels haut en couleur.

Lea Sblandano - ECAL

La Mitad del Mundo est un projet réalisé en collaboration avec l’association Équatorienne de Lausanne AEYAEL. Le projet met en lumière le visage de la communauté qui, malgré les difficultés politiques et sociales liées à l’immigration, réussit à maintenir son identité riche et sa culture par ses traditions, célébrations et événements culturels haut en couleur.

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