Arunà
Canevascini

Projets

Arunà Canevascini – Villa Argentina

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Arunà Canevascini – Villa Argentina

par Arunà Canevascini

Ce travail est une exploration visuelle de la relation que j’ai  avec ma mère réalisée dans notre maison de famille. Ma mère est une artiste iranienne. Elle a passé une enfance solitaire à Téhéran, et reproduit en quelque sorte cet isolement dans sa vie adulte. Ce travail représente notre maison à la fois comme une scène pour l'univers poétique de ma mère, et comme un décor pour les objets disposés pour mon objectif. Dans cette solitude à deux, ce projet tente d'explorer des sujets tels que la domesticité, la féminité et les frontières sexuelles.

The Embarrassment Show

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The Embarrassment Show

avec Milo Keller, Erik Kessels

Après une présentation à l'ECAL en juin 2015 et à Unseen Photo Fair Amsterdam en septembre 2015, les étudiants du Bachelor Photographie de l'ECAL présentent "The Embarrassment Show", une exposition organisée par Erik Kessels, co-fondateur et directeur créatif de KesselsKramer (Amsterdam), au  NRW-Forum Düsseldorf  du 20 novembre au 10 janvier.  --------- The Embarrassment Show Workshop et exposition conçues par Erik Kessels, codirecteur et directeur artistique KesselsKramer (Amsterdam), avec des étudiants du Bachelor Photographie. « Avoir honte, c’est important. Si on n’est pas prêt à s’humilier, à faire des erreurs, voire à faire carrément n’importe quoi, mieux vaut viser une vie de bureau. C’est nettement plus sûr. Parce qu’en tant que créatif, c’est tous les jours qu’on vous traitera d’idiot. Pas grave. Faire des erreurs au risque d’être gêné, ou même d’échouer, c’est aussi progresser. Sans cela, on reste coincé dans sa zone de confort – sans embarras, certes, mais sans s’améliorer non plus. Bref, l’ennui le plus total. Alors si on veut vivre sa passion – créer des choses – il ne faut pas avoir peur de passer pour un crétin. A l’occasion de ce workshop et de cette exposition, j’ai poussé les étudiants de 2e année en Bachelor Photographie de l’ECAL dans leurs retranchements. En se mettant eux-mêmes dans une situation embarrassante, ils ont pu raconter une histoire personnelle, souvent gênante et risquée. Ils ont ainsi abordé un domaine de la photographie auquel ils n’auraient sans doute pas osé s’essayer. »  Erik Kessels