Backstage Roméo et Juliette

Backstage Roméo et Juliette

Réalisé avec les étudiant.e.s du Master cinema ECAL x HEAD, Backstage Roméo et Juliette est une immersion dans les coulisses d’un ballet au Grand Théâtre de Genève le temps d’une représentation. 

Workshop (2009)

Savoir-faire
Documentaire

Documentaire

Synopsis

Le spectacle derrière le spectacle : «Backstage Roméo et Juliette» est une immersion dans les coulisses d’un ballet au Grand Théâtre de Genève le temps d’une représentation. Un espace où évoluent danseurs, techniciens et musiciens, où se côtoient l’extrême tension de la performance et l’attente détendue, l’excellence physique et le travail quotidien.

L’intérêt n’est pas de filmer le processus artistique et l’élaboration d’un spectacle, mais plutôt le fonctionnement de la «machinerie» derrière la scène, avant, pendant et après la représentation. Capter les gestes et les actions des acteurs, des danseurs et des techniciens, maquilleurs, accessoiristes, décorateurs, régisseurs lumières … tout ce qui s’organise autour de la scène. L’intérêt de l’exercice proposé est de saisir les interactions entre les gens, l’attente, la tension, les signes de coordination.

CINEMA, Backstage Roméo Juliette

Projets liés à Documentaire

Léa Corin – Ni tout à fait libre, ni tout à fait captif

BA DESIGN GRAPHIQUE

Léa Corin – Ni tout à fait libre, ni tout à fait captif

by Léa Corin

Ni tout à fait libre, ni tout à fait captif explore le thème de la semi-liberté. À travers une installation vidéo et un livre, ce projet archive et documente les activités d’une association dédiée à la réinsertion. La projection, conçue comme une archive émotionnelle, associe vidéos expérimentales et témoignages sonores de personnes en semi-liberté suivies par l’association, révélant la complexité de cette transition. Le livre, en complément, adopte une approche documentaire et sensible, mêlant récits et créations visuelles. Ce projet dépasse la forme graphique pour nourrir le dialogue social et éclairer un enjeu essentiel mais souvent ignoré.

Pratique documentaire

BA PHOTOGRAPHIE

Pratique documentaire

with Matthieu Gafsou

Le cours «pratiques documentaires» est consacré cette année à un territoire très proche de nous et, d’une certaine façon pour la plupart d‘entre nous, très lointain: la campagne. Pour un citadin, l’espace rural est un territoire hors de la ville où l’on se promène et où il y a des paysans.es, des champs et des forêts. Les récentes votation en Suisse témoignent d’un accroissement considérable du hiatus entre les villes et les campagnes: l’extrême droite serait le lieu de la ruralité et la gauche serait quant à elle urbaine. Ce territoire se distinguerait donc non seulement de la ville parce qu’il est topologiquement différent de cette dernière mais aussi parce qu’il semble être habité par des personnes dont les modes de vie et la pensée sont en porte-à-faux avec la ville. La réalité toutefois est bien évidemment plus complexe et résiste à pareille simplification.

ECAL x SDOL : Horizon Ouest, Regards sur la métamorphose urbaine

BA PHOTOGRAPHIE

ECAL x SDOL : Horizon Ouest, Regards sur la métamorphose urbaine

with Matthieu Gafsou

De nouvelles infrastructures de transport voient le jour, tandis que d’anciennes friches industrielles cèdent la place à des constructions modernes et à des espaces extérieurs réaménagés. Peu à peu, les habitant·e·s investissent ces nouveaux quartiers et adoptent de nouvelles habitudes.  Pour capturer les premiers instants de vie de ces espaces, l’association « Ouest lausannois : Prix Wakker 2011 » a invité les étudiant·e·s de deuxième année du Bachelor Photographie de l’ECAL à les observer tout au long de l’année 2024.   Ce projet met en lumière 18 chantiers en cours ou quartiers récemment achevés. À travers leur regard, les étudiant·e·s nous offrent des approches originales pour découvrir, apprivoiser et s’approprier ces nouveaux espaces. La photographie entretient un lien singulier avec le monde qui nous entoure, car elle dépend souvent de lui. Loin de le documenter stricto sensu, elle a cette capacité de transfigurer et de révéler l’invisible ou de l’indicible. C’est cette approche qu’ont adoptée les étudiant·e·s en photographie de l’ECAL, à la demande de l’Association « Ouest lausannois : Prix Wakker 2011 », en explorant divers territoires de l’Ouest lausannois.   Dans le cadre de cette commande, chaque étudiant·e s’est vu attribuer, par tirage au sort, un lieu spécifique : un nouveau quartier, un chantier ou un bâtiment singulier, sur lequel il·elle a travaillé durant une année académique. Face à des espaces parfois peu photogéniques, voire réfractaires à l’image, le défi était d’aller au-delà des apparences, d’entrer en résonance avec ces lieux pour en saisir les dynamiques propres.  Les photographies réalisées interrogent notre perception de ces paysages récents et témoignent de l’activité humaine qui s’y déploie. Que disent-ils de nos manières d’habiter et de circuler ? Qui sont celles et ceux qui peuplent ces espaces. Quelles formes paysagères émergent de ces transformations rapides ? Par des approches tantôt sensibles et intimes, tantôt distanciées et analytiques, ou encore guidées par une fascination formelle pour les objets appréhendés, les oeuvres présentées révèlent la densité et la diversité du quotidien. Elles font émerger une poétique de la ville, nous invitant à considérer ces territoires non comme de simples arrière-plans fonctionnels, mais comme des espaces à part entière, porteurs d’histoires, de formes et d’une identité propre – mouvante et multiple, à l’image de celles et ceux qui les habitent.

Création photographique – 2025 #2

BA PHOTOGRAPHIE

Création photographique – 2025 #2

with Natacha Lesueur

Documenteur, la puissance du faux À partir de projets développés autour d’un thème commun, les étudiant·e·x·s développent un travail personnel et approfondi sur la thématique du faux-semblant. Ils et elles construisent un projet qui explore les limites de la véracité en photographie.

Lidia Molina González – Toilet Break Magazine

BA DESIGN GRAPHIQUE

Lidia Molina González – Toilet Break Magazine

by Lidia Molina González

Tout a commencé par une pause. Un moment seul dans un espace partagé: calme, ordinaire, un peu étrange. Les toilettes ne sont peut-être pas l’endroit où l’on cherche de grandes idées, et c’est justement pour cela qu’on les a choisies. Toilet Break part de cet espace souvent ignoré pour questionner notre manière de vivre ensemble, d’occuper l’espace, de créer du lien. Ce premier numéro explore les entre-deux : public et privé, intérieur et extérieur. Il réunit des voix de Suisse, de Belgique, du Japon. Un lieu où les idées circulent librement, où le sérieux côtoie le décalé. Un projet collectif et personnel, pour tester, écouter autrement, croire aux détours. Un moment pour s’asseoir et réfléchir.

Formations liées