Impériale (montage)

Natasha Degrandi – Impériale (montage)

À l’aube, un coup de canon déchire la plaine. Les chevaux foulent la terre battue au galop. Eva, 21 ans, rêve de rejoindre les chasseurs de la garde impériale, un régiment napoléonien réservé aux hommes.

Projet de diplôme (2020) par Natasha Degrandi

Savoir-faire
Documentaire

Documentaire / 22 min

Commentaire

Mon travail de diplôme a été le montage du film «Impériale» de Coline Confort ainsi que l’écriture de mon mémoire, qui interroge la manipulation et l’éthique du montage documentaire. « Impériale » est un court-métrage documentaire qui raconte l’histoire d’Eva, une jeune fille qui doit se travestir en homme afin de vivre son rêve impérial, celui de rejoindre la cavalerie de la Grande Armée de Napoléon Bonaparte. Ce travail m’a permis de mieux comprendre les spécificités de l’écriture d’un film documentaire ainsi que les confrontations que l’on peut avoir avec notre imaginaire et la réalité.

Natasha Degrandi

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Simulations Par la réalisation d’un très court métrage, les étudiants-es-x apprennent des notions fondamentales dans le développement narratif, visuel et conceptuel d’une réalisation vidéo. Ce projet permet d’obtenir des compétences techniques essentielles relatives au tournage, à l’éclairage, au mouvement caméra, à la prise de son, au montage et à la post-production.

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De nouvelles infrastructures de transport voient le jour, tandis que d’anciennes friches industrielles cèdent la place à des constructions modernes et à des espaces extérieurs réaménagés. Peu à peu, les habitant·e·s investissent ces nouveaux quartiers et adoptent de nouvelles habitudes.  Pour capturer les premiers instants de vie de ces espaces, l’association « Ouest lausannois : Prix Wakker 2011 » a invité les étudiant·e·s de deuxième année du Bachelor Photographie de l’ECAL à les observer tout au long de l’année 2024.   Ce projet met en lumière 18 chantiers en cours ou quartiers récemment achevés. À travers leur regard, les étudiant·e·s nous offrent des approches originales pour découvrir, apprivoiser et s’approprier ces nouveaux espaces. La photographie entretient un lien singulier avec le monde qui nous entoure, car elle dépend souvent de lui. Loin de le documenter stricto sensu, elle a cette capacité de transfigurer et de révéler l’invisible ou de l’indicible. C’est cette approche qu’ont adoptée les étudiant·e·s en photographie de l’ECAL, à la demande de l’Association « Ouest lausannois : Prix Wakker 2011 », en explorant divers territoires de l’Ouest lausannois.   Dans le cadre de cette commande, chaque étudiant·e s’est vu attribuer, par tirage au sort, un lieu spécifique : un nouveau quartier, un chantier ou un bâtiment singulier, sur lequel il·elle a travaillé durant une année académique. Face à des espaces parfois peu photogéniques, voire réfractaires à l’image, le défi était d’aller au-delà des apparences, d’entrer en résonance avec ces lieux pour en saisir les dynamiques propres.  Les photographies réalisées interrogent notre perception de ces paysages récents et témoignent de l’activité humaine qui s’y déploie. Que disent-ils de nos manières d’habiter et de circuler ? Qui sont celles et ceux qui peuplent ces espaces. Quelles formes paysagères émergent de ces transformations rapides ? Par des approches tantôt sensibles et intimes, tantôt distanciées et analytiques, ou encore guidées par une fascination formelle pour les objets appréhendés, les oeuvres présentées révèlent la densité et la diversité du quotidien. Elles font émerger une poétique de la ville, nous invitant à considérer ces territoires non comme de simples arrière-plans fonctionnels, mais comme des espaces à part entière, porteurs d’histoires, de formes et d’une identité propre – mouvante et multiple, à l’image de celles et ceux qui les habitent.

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Le cours «pratiques documentaires» est consacré cette année à un territoire très proche de nous et, d’une certaine façon pour la plupart d‘entre nous, très lointain: la campagne. Pour un citadin, l’espace rural est un territoire hors de la ville où l’on se promène et où il y a des paysans.es, des champs et des forêts. Les récentes votation en Suisse témoignent d’un accroissement considérable du hiatus entre les villes et les campagnes: l’extrême droite serait le lieu de la ruralité et la gauche serait quant à elle urbaine. Ce territoire se distinguerait donc non seulement de la ville parce qu’il est topologiquement différent de cette dernière mais aussi parce qu’il semble être habité par des personnes dont les modes de vie et la pensée sont en porte-à-faux avec la ville. La réalité toutefois est bien évidemment plus complexe et résiste à pareille simplification.

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Documenteur, la puissance du faux À partir de projets développés autour d’un thème commun, les étudiant·e·x·s développent un travail personnel et approfondi sur la thématique du faux-semblant. Ils et elles construisent un projet qui explore les limites de la véracité en photographie.

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