Le terme de traite des êtres humains englobe une problématique complexe. Il s’agit d’une forme d’exploitation extrême qu’il est nécessaire d’examiner et de comprendre dans le contexte de la pauvreté mondiale, des politiques migratoires restrictives, des crises économiques et des discriminations basées sur le sexe, l’ethnicité, l’identité de genre ou l’orientation sexuelle. Mon être est une édition qui essaye d’expliquer ce phénomène, en laissant la parole aux femmes qui ont été victimes d’exploitation bénéficiaires d’une association de Lausanne, ASTREE. Pour ce faire, le projet est un mélange de témoignages, de résultats d’ateliers artistiques, d’interviews avec des personnes qui luttent contre ce fléau et des sources journalistiques.