Avec Davide Fecarotti étudiant à l’Ensp de Arles, nous avons travaillé en duo autour d’une zone géographique située entre le sud de l’Italie et la Sicile. Nous avons fait la découverte d’une structure particulière. Une construction qui n’existe que dans l’imaginaire collectif des habitant.e.s. Les ingénieur·e·s l’appellent « le pont le plus haut du monde ». Ici, On le surnomme simplement « ponte », le pont qui n’existe pas.
Nous sommes arrivés là comme Ulysse dans le détroit de Messine, entre Scylla et Carribde mais sans les Argonautes. Une ruine, un projet architectural, subsistant tel un mythe, un monstre, une chimère aux bras d’acier... mais en réalité, un instrument de pouvoir et de séduction, depuis des années au service des dirigeants italiens.
Projet de diplôme (2024) par Noé Vercaemst
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