Le projet explore l’angoisse existentielle de la consommation passive des médias numériques. Nous sommes bombardés de nouvelles, vidéos, moments heureux, de mort, de publications d’amis et de célébrités. Ce flux provoque la déconnexion, l’engourdissement, et l’épuisement. Une chaise en plastique blanc, symbole de détente, devient le support perdu. J’incorpore des éléments archéologiques pour réfléchir au présent en décomposition et au futur incertain. Les images sont montées sur des plaques métalliques, formant une grille de 24 carrés, support de photos transposées, assemblées et déchirées. Le projet utilise le même titre qu’un article de TMZ qui décrit l’impact d’Internet sur une tribu amazonienne isolée.
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