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2008 2024
SLAP !

ARTS VISUELS

SLAP !

avec Geoffrey Cottenceau, Gina Proenza

Parade, accélérateur à particules ou bal dansant, SLAP propose d’habiter un espace dans une perspective gravitationnelle. Les oeuvres, qui se positionnent à la frontière entre deux et trois dimensions, sont soumises aux lois centrifuges et se retrouvent à échanger entre elles pour créer des narratifs fortuits, comme si la ronde continue dont elles faisaient partie s’était brus- quement arrêtée. L’espace d’exposition devient le lieu d’un évènement foncièrement social -de par les travaux qu’il accueille et le contexte d’exposition- et révèle la perspective sociale que les oeuvres entretiennent entre elles. Telle une discussion un peu trop longue avec un.e ami.e.x d’ami.e.x, certaines pièces se retrouvent écrasées par leurs conversations, tandis que d’autres s’y prêtent facilement. Vous n’hésiterez donc pas à intercepter quelques unes des phrases que s’échangent les pièces, tout en ayant la possibilité de : répliquer/négocier/argumenter avec l’espace-temps-social que SLAP, en vrai meeting point statique, propose le temps d’une soirée.

Concerts ECAL: Arto Lindsay

ARTS VISUELS

Concerts ECAL: Arto Lindsay

avec Arto Lindsay

Concerts ECAL ( mars 2019 ) Arto Lindsay Musicien ( chant & guitare ) et artiste, Rio www.artolindsay.com Jeudi 21 mars à 19h30 Studio Cinéma, ECAL Entrée libre Né en 1953, Arto Lindsay se situe à l’intersection de la musique et de l’art depuis plus de quatre décennies. En tant que membre de DNA, il a contribué à la fondation de la No Wave fin des années 70 à New York. Il a ensuite développé une musique pop extrêmement subversive, un mélange de styles américain et brésilien, notamment avec Ambitious Lovers. Au cours de sa carrière, Lindsay a également collaboré avec des artistes visuels et musicaux, dont Vito Acconci, Laurie Anderson, Animal Collective, Matthew Barney, Dominique Gonzalez-Foerster, Rirkrit Tiravanija et Caetano Veloso. Il sera à l’ECAL pour un concert exceptionnel donnant la part belle au Brésil et aux guitares électriques.

Animation musicale

ARTS VISUELS

Animation musicale

par Sunna Margrét Þórisdóttir, Christian Schulz

Summer University Tehran

ARTS VISUELS

Summer University Tehran

avec Luc Andrié, Stéphane Kropf

Some thoughts and starting points for an art event about Ta’ârof to be held at Bon Gah Thinking the interrelations within the art world, taking as a starting point an Iranian artist run space inviting a visiting Swiss art school wishing to understand (or underscore…) if and how Ta’ârof may be of any help to try to build a temporary community, and make art. Drawing on some recent UN General Assembly speeches, that Trick or Treat is the ultimate geopolitical strategy tool, where USA is working towards a « more just and peaceful future ». Assuming that Switzerland is a neutral country and thereafter represents consular and diplomatic interests of USA in Iran. Taking in consideration that the art community doesn’t differ from society in general: it is just a reductio ad absurdum. Artists tend to recognize each other globally, assuming some kind of moral superiority towards the rest of society, or at least pretending to understand the complex tissues of relationships and power relations that makes (and destroys) a community. But fundamentally there is almost no solidarity within the artists. Ta’ârof continually questions hierarchy, be it the artist towards other artists, the artist towards the spectator and so on. Ta’ârof plays the game of an ideal society, like art, where the artist is benevolent and humble towards the spectator. Ta’ârof shows that every word always tends to have a hidden desire.

Printmaking by ECAL

ARTS VISUELS

Printmaking by ECAL

Fidèle à sa vocation de relais de la création actuelle, le Cabinet cantonal des estampes présente le fonds des éditions de l’Ecal/Ecole cantonale d’art de Lausanne, qui a récemment rejoint la Collection des estampes de l’État de Vaud. L’activité d’édition de l’ECAL, qui débute en 1995, vise alors à impliquer les étudiants dans des projets concrets et à produire une trace du passage des artistes y enseignant ou y intervenant. À cette première phase concentrée autour du multiple (jusqu’en 1999) succède, dès 2007, un projet resserré autour de la lithographie et de la sérigraphie. Le corpus des quelque 70 estampes réalisées depuis témoigne de la variété des démarches artistiques contemporaines. John M Armleder, Pierre Charpin, Constance Guisset, Fabrice Gygi, Alex Hanimann, David Hominal, Helen Marten, Karim Noureldin, Mai-Thu Perret, et Olivier Saudan évoquent ainsi le déplacement de leurs intérêts dans le domaine imprimé et démontrent les ressources graphiques de l’image multipliée.

John Armleder et Christian Marclay, Simultaneous Duo Versions

ARTS VISUELS

John Armleder et Christian Marclay, Simultaneous Duo Versions

avec Stéphane Kropf

Exposition « Dear Peggy » du Bachelor et du Master Arts Visuels de l’ECAL chez Treize (Paris)

ARTS VISUELS

Exposition « Dear Peggy » du Bachelor et du Master Arts Visuels de l’ECAL chez Treize (Paris)

avec Gallien Déjean, Stéphane Kropf, Stéphanie Moisdon

L’utilisation de logiciels de modélisation 3D s’est accrue dans le domaine de la conception des expositions. Ces outils offrent aux designers et aux commissaires une plus grande maniabilité pour reconstituer l’espace virtuel de la galerie et y expérimenter les différentes options scénographiques envisagées. Pourtant, malgré l’éventail des possibilités de ces logiciel (la déconstruction de l’espace tridimensionnel en superposition de plans et de facettes), leur usage dans le champ curatorial reste souvent désespérément conventionnel : le tableau est accroché au mur, le mur est perpendiculaire au sol, la sculpture est posée sur le sol devant le mur. En présentant chez Treize (Paris) les travaux de 14 artistes sélectionnés parmi les étudiants du Bachelor et du Master Arts Visuels de l’ECAL, le projet « Dear Peggy » explore certaines ressources de la modélisation virtuelle pour les appliquer, avec des matériaux et des techniques simples, dans l’espace réel. Bien avant l’invention des logiciels 3D, l’architecte Frederick John Kiesler avait imaginé pour la section surréaliste d’Art of This Century (la galerie new-yorkaise de Peggy Guggenheim, ouverte en 1942) des murs convexes à partir desquels les œuvres, accrochées sur des tiges, étaient projetées dans l’espace. En s’inspirant de ce système, «Dear Peggy» s’affranchit de la linéarité et de la planéité murale du white cube pour métamorphoser l’espace d’exposition, démultiplier les plans de l’accrochage et donner une nouvelle matérialité aux œuvres présentées. Exposition sans thème, «Dear Peggy» incarne la diversité des pratiques développées au sein de l’ECAL. Cette mise entre parenthèse d’œuvres disparates entre deux murs incurvés fonctionne comme un emballage, une métaphore simultanée de l’exposition collective temporaire et de l’école d’art. «Dear Peggy» est un tube ouvert de part et d’autre, un passage transitoire, comme peut l’être une école dans la carrière d’un artiste.

Exposition Half Time 2013

ARTS VISUELS

Exposition Half Time 2013

avec Stéphane Kropf

Franz Erhard Walther

ARTS VISUELS

Franz Erhard Walther

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