Alexandre Brulé – Le nouveau millénaire

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ECAL Night Live

with Vincent Veillon, Paul Walther, Florian Pittet (Sigmasix), Vincent Jacquier, Julien Gurtner

Lors d'une semaine intensive, les étudiant·e·s de première année du département Communication Visuelle de l'ECAL ont eu l’opportunité de créer et produire la première édition du "ECAL Night Live". L'objectif était de concevoir une émission inspirée des formats télévisés satiriques.  Répartis en équipes pluridisciplinaires, regroupant des étudiant·e·s du Bachelor en Design Graphique, Media & Interaction Design et Photographie, ils ont collaboré par équipe pour créer tout le contenu, les décors et l'habillage de l'émission, réalisant ainsi un projet 100% fait maison en un temps record. Le thème principal portait sur l’autodérision, ciblant les métiers de la communication visuelle, les étudiant.e.s et l'institution elle-même, avec une petite touche d'actualité. Ce projet a été encadré par Vincent Veillon et Paul Walther, réalisateurs notamment de l’émission "52 minutes" sur la RTS, ainsi que par Florian Pittet, expert en scénographie digitale, qui a accompagné la création du plateau de tournage de l'émission.

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Clips Vidéo – 2025

with Sami Benhadj

Clips vidéo réalisés dans le cadre du cours de séquence supervisé par Sami Benhadj. Les étudiant·e·s de deuxième année des Bachelors Design Graphique, Media & Interaction Design et Photographie ont chacun·e réalisé un clip vidéo en solo. Chaque projet prend pour point de départ une musique existante et cherche à en traduire l’univers par l’image, en explorant la narration visuelle, le rythme et la mise en scène. Les étudiant·e·s étaient encouragé·e·s à expérimenter et à développer une approche créative et personnelle, donnant naissance à des univers graphiques originaux où son et image se répondent.

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Dorian Pangallo – Sublime Démocratie

by Dorian Pangallo

À l’ère où les crises se succèdent et justifient l’exception permanente, Sublime Démocratie agit comme une campagne critique multimédia. Elle met en scène des démocraties vidées de leurs fondements, dont les symboles persistants maintiennent l’illusion. Conçue comme une fable contemporaine, l’œuvre s’appuie sur des discours présidentiels précis et des visuels léchés. Elle intègre l’IA comme moteur d’un processus critique, où le faux devient langage. En jouant des codes du pouvoir, le projet glisse de la normalité au malaise. Il questionne notre accoutumance à la peur, à l’autorité et aux récits dominants.