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2006 2024
PROJECTIONS XXL

DESIGN GRAPHIQUE

MEDIA & INTERACTION DESIGN

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PROJECTIONS XXL

avec Sami Benhadj, Vincent Jacquier

Un environnement visuel immersif et magnétique, créé par les étudiants de l'ECAL, illumine les façades du mudac et du bâtiment Photo Elysée. Dans le cadre d'un projet interdisciplinaire au sein du département Communication Visuelle de l'ECAL, les étudiants des programmes Bachelor Photographie, Design Graphique et Media & Interaction Design ont développé des projets vidéo immersifs destinés à orner les façades de Photo Elysée.

Sara De Brito Faustino – Toute petite et vilaine

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Sara De Brito Faustino – Toute petite et vilaine

par Sara De Brito Faustino

« Il s’agit d’un foyer, un lieu où étrangeté et familiarité de l’ordinaire se côtoient. Espace intime, il se devrait d’être ressourçant et sécurisant. Pourtant, il a été le théâtre de scènes douloureuses. Aujourd’hui cette maison m’apparait comme menaçante. Inconfortable, dysfonctionnelle, elle témoigne des cicatrices du passé. Dans mes photographies, je revisite mes souvenirs et me réapproprie mon corps. Mes maquettes minuscules expriment un idéal de fillette confronté à mes fêlures actuelles. Déconstruire, reconstruire, les objets deviennent corps : je me sens difforme et pétrifiée. Toute petite et vilaine suscite une tension antagoniste entre esthétique séduisante et éléments inquiétants. »

Samuel Spreyz – MSM. Rx

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Samuel Spreyz – MSM. Rx

par Samuel Spreyz

« Les hommes cisgenre gays seraient-ils emprisonnés dans le système sanitaire pour toujours ? Tels des clones désirants sous chimie, ils jouissent d’une nouvelle révolution sexuelle. Une révolution sexuelle sous substances légales. Ils deviennent des patients de longue durée pour accéder à ce libéralisme sexuel. Au moyen de la PrEP, leur utilisation consensuelle du système sanitaire s’intensifie et c’est ce que MSM Rx a l’ambition de représenter. Mon essai visuel se fonde sur une fascination pour ce mode de vie, mélange entre chimie légale et illégale, fêtes torrides et autres pratiques extrêmes entre mâles consentants. »

Diego Fellmann – Lopo

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Diego Fellmann – Lopo

par Diego Fellmann

« Ce travail porte sur les derniers fragments de souvenir de l’un de mes proches, Lopo. Initialement destiné à une carrière politique, il a décidé de suivre un autre chemin. Quittant son foyer familial avec ses économies, il a parcouru les déserts et les salines de l’Altiplano, cherchant sa propre voie. Plusieurs années plus tard, mon père a retrouvé sa trace dans un hôtel où ils avaient enregistré quelques chansons que Lopo avait composées en s’inspirant de son périple. Après cette disparition mystérieuse, il ne reste presque aucune trace de lui, sauf ces enregistrements. En utilisant des maquettes et des paysages, j’explore les failles de la mémoire et leurs aspects volatiles pour tenter de recréer un portrait de lui à partir des rares et derniers souvenirs que mon père et ma mère ont de lui. »

Gaétan Uldry – I NO LONGER LOVE BLUE SKIES

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Gaétan Uldry – I NO LONGER LOVE BLUE SKIES

par Gaétan Uldry

Le drone se présente comme une machine de contrôle, de surveillance et de suppression, de plus en plus utilisée et améliorée dans son évolution technologique. Le drone agit donc comme un prisme qui recrée une nouvelle réalité, filtrant et annihilant le monde réel. L’image produite se présente comme une sorte de mirage, dénué de sens. La machine offre une mise à distance assumée de la confrontation à la mort. Ce livre souligne cette nouvelle réalité en collectant, recadrant et assemblant des images produites par des drones pour dénoncer l’absurdité et le danger de ces mécanismes d’exercice de la violence. Il questionne leur statut, dont la plastique et l’esthétique éloignent et dissimulent la vraie nature de leur fonction qui reste de contrôler, de surveiller et de tuer.

Matteo Angelé – If I Could Tell You/Se Potessi Dirtelo

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Matteo Angelé – If I Could Tell You/Se Potessi Dirtelo

par Matteo Angelé

Ce projet de réappropriation tente de questionner l’influence du contexte et du médium par la réutilisation d’images pornographiques issues de magazines homosexuels des années 80, une décennie marquée par la découverte du SIDA. Créée à la base dans un but purement pornographique, ces images, représentant des corps dépourvus de mouvements et issus de la bondage culture, viennent approfondir l’archétype masculin décrit par Rudy Lemcke dans « A History of Violence » : « Né[s] et façonné[s] par la violence (…), nous évoluons dans un monde où ces dynamiques de contrôle et de pouvoir sont en marche pour, avec et contre nous. Les effets de cette violence font partie de qui nous sommes. »

Valerie Geissbühler – Soft Matter in Interwoven Worlds

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Valerie Geissbühler – Soft Matter in Interwoven Worlds

par Valerie Geissbühler

« Soft Matter in Interwoven Worlds est une installation à multiples facettes qui rassemble des récits autour de la pomme de terre. Ces récits retracent le voyage du tubercule depuis le Pérou, son lieu de naissance, jusqu’en Suisse. Une soft matter est une entité perçue comme non héroïque et acquise. Au lieu de réduire le tubercule à une plante nourricière, je la vois comme un porteur de vie résiliant, une créature qui bouge entre la naissance, la croissance, la mort et la perte. Je fusionne les connaissances ancestrales et des images d’autofiction en me déplaçant entre de multiples perspectives, territoires et époques, entre ma biculturalité et ma féminité. Tout cela me ramène aux racines de mes questionnements : est-ce que je t’ai élevé ou est-ce que tu m’as donné naissance ? »

Jessica Dreier – Margem Sul

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Jessica Dreier – Margem Sul

par Jessica Dreier

« Margem Sul explore l’histoire sociale et politique du Portugal en se concentrant sur la marge sud en face de Lisbonne. J’ai documenté Barreiro, Almada, Moita et Trafaria, en mettant l’accent sur Segundo Torrão. Après la Révolution des Œillets en 1974, des communautés angolaises, mozambicaines, cap-verdiennes, guinéennes et santoméennes se sont installées ici, formant une entité solidaire. Des rappeurs locaux dénoncent la gentrification croissante à Trafaria. L’État justifie les destructions pour des raisons de sécurité, mais reste évasif sur les motivations réelles. Depuis fin 2022, foyers démolis et expulsions se multiplient. Mon travail donne une voix amplifiée aux acteur·ice·s, traduisant diverses situations, de la déambulation à des situations manifestes. »

Louis Victorin Michel – Deus Corporatæ

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Louis Victorin Michel – Deus Corporatæ

par Louis Victorin Michel

Deus Corporatæ tisse des liens entre le monde de l’argent et le pouvoir. Il tente de représenter le monde de la corporation comme une forteresse numineuse. Ses architectures imposantes et éblouissantes transmettent un sentiment de présence absolue, comme une dimension sacrée. Des symboles sont disséminés parmi ces lieux, similaires à des armoiries ; ils permettent d’incarner et de reconnaître les différentes corporations dans la ville. Ces façades vitrées illuminent les alentours en réfléchissant la lumière grâce à leur matériaux contemporains, comme le verre et l’acier. Tous les codes de la culture du travail, capitaliste, globalisée, créent une nouvelle mythologie contemporaine. Les protocoles, les règles peuvent être associés à des rituels, qui permettent l’appartenance à ce monde.

Noa Chevalley – Bêche pour dame

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Noa Chevalley – Bêche pour dame

par Noa Chevalley

« Au milieu de cette gravière, paysage vaste, artificiel et monumental, je tente de laisser ma trace. En mimétisme avec cet environnement, j’entaille la terre à la force de mes bras. Le corps nu devient un outil pour creuser et filmer. Il est désexualisé dans cette action vaine et infinie. J’utilise ma force pour me sentir plus puissante et me détacher des injonctions normatives qui me sont imposées. Malgré cela, je ne parviens pas à rivaliser avec ce lieu gigantesque. Une lutte acharnée se mène entre la pelle et le sol, une lutte qui casse le corps et le démantèle. Ce travail est le miroir d’un sentiment d’insuffisance qui s’inscrit dans une dynamique d’acharnement à répondre aux attentes qu’on nous impose. Je n’écoute plus mon corps et suis conditionnée à accepter un monde qui le déchire. »

Eloïse Genoud – INSIDE

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Eloïse Genoud – INSIDE

par Eloïse Genoud

« INSIDE est un travail autour de la danse contemporaine, du mouvement et du corps. Né de ma passion pour la danse, ce livre cherche à illustrer cette pratique de l’intérieur, comme une intimité à expérimenter. Danseuse depuis 18 ans, je tente de faire vivre au spectateur le mouvement, le groupe et la passion pour la scène et pour cet art. INSIDE fait référence à ce moment particulier de l’arrivée sous les projecteurs et de la communion entre les corps et la lumière. Ce travail n’est pas un documentaire sur la danse, mais une expérimentation où les individus fusionnent en un seul et unique corps. Une majeure partie de ce projet a été mise en scène, demandant un travail de chorégraphie et de participation active aux danses réalisées spécialement pour cet ouvrage. »

Dominique Bartels – The Threads That Hold the Earth Together

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Dominique Bartels – The Threads That Hold the Earth Together

par Dominique Bartels

« Nostalgie de supports qui rentrent en relation avec mon corps. L’installation The Threads That Hold the Earth Together explore la plasticité de l’image photographique et filmique à travers le tissage. Faire et juxtaposer des photographies, c’est pour moi une manière de rendre tangible, de tisser des liens. La matière, le corps même de l’image sont mon point de départ. Pour saisir ce passage d’informe à forme, je travaille différents supports liés au lin : premier tissu pour couvrir, habiller et conserver le corps humain. Trois toiles tissées et détissées de lin, pellicule photographique et bande magnétique, sont suspendues dans l’espace. Une vidéo qui explore la transformation linière à travers différentes textures d’images tourne en boucle sur une télévision. »

Inès Mermoud – OS CRIAS

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Inès Mermoud – OS CRIAS

par Inès Mermoud

OS CRIAS  essaie de mettre en lumière le rapport des enfants vivant dans différentes favelas à Rio de Janeiro avec la violence qui les environne. Le projet aborde le sujet d’un aspect personnel, en se basant sur des récits et des expériences familiales. Ce livre documentaire évoque les problématiques politiques et sociales brésiliennes d’un point de vue critique et lie différentes typologies d’images. Une approche participative est également soulevée.

Tony Altermatt – Huǒlóng

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Tony Altermatt – Huǒlóng

par Tony Altermatt

« Huǒlóng évoque les souvenirs et la sensation que nous procure un pays dans lequel on n’a jamais habité. On explore puis on entremêle des symboles et des images, donnant naissance à notre propre culture. D’est en ouest, j’y crée ma représentation de la seconde génération de la diaspora chinoise. Silencieusement construits, deux paysages distincts se confondent. Notre jeunesse y évolue, oscillant entre deux cultures. L’osmose est palpable, entre héritage traditionnel et volonté d’émancipation. Ce récit fictif est le fruit d’un voyage. Les protagonistes se rassemblent pour échanger leurs regards. Nous connectons terres, objets et environnements. C’est notre manière de représenter le métissage : une symphonie poétique, où les frontières sont dissoutes. »

Ulises Lozano – Coming in

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Ulises Lozano – Coming in

par Ulises Lozano

« L’adolescence est synonyme de construction identitaire. L’identité est redéfinie par la jeunesse d’aujourd’hui. L’esthétique qu’iels empruntent témoigne d’un désir de singularité dans une société en pleine mouvance. De façon collaborative, j’accompagne un processus d’affirmation de soi. Iels s’épanouissent et je leur propose un espace d’expression. La photographie prend forme : un lieu sûr pour les participant·e·s, leur autorisant le déploiement de personnalités fantasmées. Une sorte d’alter ego en éclosion. Ces autoportraits font écho à l’expérience intime du coming in. Devenant ainsi des instants de respiration, de réconciliation. Au travers de rencontres, de dessin et de photographie, iels me dévoilent leur soi intime. Coming in est une interprétation visuelle de ce processus.»

Gwendoline Albasini – Dear Kingdom

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Gwendoline Albasini – Dear Kingdom

par Gwendoline Albasini

Dear Kingdom est une histoire contée. Un personnage fictif y incarne la princesse prisonnière de son rôle, le cheval qui la libère et la sorcière qui lui jette un sort. Ces archétypes confrontent des interrogations intimes sur le genre féminin et cherchent à démonter des idéaux collectifs. Le château rêvé, une fois que l’on regarde au-delà de ses remparts, se liquéfie. Par la vidéo, le·la spectateur·rice·x est immergé·e·x dans un univers aussi majestueux qu’oppressant. La composition sonore est faite de chant et de violon. Les sonorités peuvent à la fois être puissantes et frêles et font transparaître la beauté des disparités. « Dear Kingdom est une adresse aux projections d’un idéal social et personnel. Il y a dans ce message une volonté de partager mon chemin dans cet univers imposant, théâtral et fantaisiste. »

BLI × ECAL

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BLI × ECAL

avec Matthieu Gafsou

La collaboration entre l’ECAL et le BLI touche à des enjeux contemporains qui animent particulièrement les étudiants-es-x de l’école: notre rapport aux minorités et la manière adéquate de les représenter. On a longtemps toléré, voire encouragé dans le milieu de la photographie, une attitude anthropologique paternaliste. Les mentalités ont évolué, et les jeunes artistes de l’ECAL ont entretenu un rapport d’égal à égal avec les diverses communautés qu’ils-elles ont rencontrées. L’élaboration des images a nécessité un langage qui a permis aux étudiant-e-x-s de se positionner relationnellement à autrui et d’installer des protocoles en adéquation avec leurs propres valeurs et celles des personnes qui ont été de l’autre côté de l’objectif. Les images nous donnent à voir un panorama complexe, multiple, de la diversité culturelle de notre ville et nous démontre que les rencontres et les mélanges sont possibles et féconds. Matthieu Gafsou, photographe et enseignant.

Vampire week

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Vampire week

avec Jean-Vincent Simonet

Durant une semaine, les étudiant-e-x-s ont développé des techniques qui transforment la perception et la relation au corpus d’image: effacement, déplacement, perte de la sensation du réel.

Workshop avec Elizaveta Porodina

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Workshop avec Elizaveta Porodina

par Maude Bally, Ettore Bruni, Adel Debabéche, Rebecca Dubuis, Sofia Grytsiv, Belinda Kiela, Lester Kielstein, Eliot Pizzera, Melanie Rengifo, Inès Riber, Ashley Schneiter, Héloïse Tourrenc, Kristina Yenza, Johanna Bommer, Jennica Folkesson, Lorane Hochstätter, Cyriane Rawyler, Seraphine Sallin-Mason, Rose Graf, Lee Eggenschwiler, Fredrik Maag, Emanuele Delpozzo, Hector Codazzi, Maël Le Guével

Dans le cadre de ce workshop, Elizaveta Porodina a demandé aux étudiants-es-x d'explorer le thème "AFTERHUMAN". Ce thème ouvre des perspectives pour capturer des paysages futuristes, représentant la fusion potentielle de la technologie et de l'humanité. Pensez à dépeindre visuellement la coexistence de l'intelligence artificielle, de la cybernétique ou de la biotechnologie avec des éléments naturels. Expérimentez avec des techniques innovantes pour transmettre un sentiment d'évolution ou de transcendance. Cette exploration invite les photographes à interpréter de manière créative et à narrer visuellement un avenir au-delà de l'expérience humaine conventionnelle.

Workshop with Geray Mena

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Workshop with Geray Mena

avec Geray Mena

Le workshop s'est articulé autour de la dissolution des genres au sein de la photographie : Documentaire, Mode, Nature Morte et Portrait. Les étudiant-e-x-s ont établi des ponts entre pratiques commerciales et artistiques.

Workshop avec Taiyo Onorato

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Workshop avec Taiyo Onorato

avec Taiyo Onorato

Ce workshop était à propos de la photographie de mise en scène, plus particulièrement sur les portraits mis en scène. L'accent a été mis sur les deux éléments essentiels du portrait : le travail sur le sujet et la manipulation de l'arrière-plan. Les portraits mis en scène se distinguent des images classiques par la création active d'une image, en s'éloignant de la réalité. Des outils tels que la lumière, l'arrière-plan et la pose sont utilisés pour créer une narration délibérée. Les individus sont mis en scène, modifiés de manière spécifique, parés de tenues et de masques. La semaine s'est intéressée aux masques en tant qu'outils de transformation et de représentation. Tout au long de l'atelier, des masques ont été fabriqués avec les moyens du bord et sont devenus les objets centraux de la mise en scène. Les étudiants les ont photographiés et filmés, capturant ainsi l'essence de la transformation. Le deuxième élément de l'atelier, qui portait sur l'arrière-plan, a permis d'expérimenter des techniques de pop-up. La toile de fond, élément dynamique de la narration, a été manipulée à l'aide de décors astucieux et de techniques spatiales inattendues. L'objectif n'était pas seulement de capturer des moments, mais de les créer, en faisant naître des histoires qui transcendent les frontières de la réalité. Les étudiants-es-x étaient encouragés-ées à libérer leur créativité et expérimenter.

Hyperlab

DESIGN GRAPHIQUE

MEDIA & INTERACTION DESIGN

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Hyperlab

avec Vincent Jacquier, Angelo Benedetto, Ali-Eddine Abdelkhalek, Jean-Vincent Simonet, Clément Rouzaud

En collaboration avec le festival de musique HYPEROUEST, les étudiant·e·s de l’ECAL ont eu l’opportunité de concevoir une installation visuelle dans la salle adjacente au club éphémère du festival, située au sein de la friche Veillon à Crissier. Pour ce projet, les étudiant·e·s de 1res années ont travaillé en groupes, mélangeant les Bachelors Design graphique, Media & Interaction Design et Photographie. Leur objectif principal était de donner vie à des séquences visuelles puissantes et créatives autour du thème central « HYPER ». Simultanément, les étudiant·e·s de deuxième année de l’option Design graphique ont enrichi ce projet en développant l’identité visuelle de l’exposition. Ces collaborations interdisciplinaires ont stimulé les échanges et favorisé une cohésion visuelle, reliant les différentes propositions tout en renforçant l’aspect « laboratoire » et expérimental du projet.

Le livre d’artiste - 2022

DESIGN GRAPHIQUE

MEDIA & INTERACTION DESIGN

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Le livre d’artiste - 2022

avec Anouk Schneider Agabekov, Chi-Long Trieu

Dans le cadre du cours d'édition animé par Anouk Schneider et Chi-Long Trieu, les étudiant.e.s en 2ème année de Communication Visuelle ont eu l'opportunité de concevoir un livre d'artiste au cours du premier semestre. Ce projet de livre se distingue par son approche contemporaine visant à créer un objet éditorial qui intègre harmonieusement forme et contenu dans le contexte actuel du paysage éditorial. Les étudiant.e.s ont été encouragés à exploiter leur liberté artistique à tous les niveaux de création, que ce soit en termes de format, de choix de papier, de reliure, de mise en page, d'illustrations, de texte ou de typographie. Dans le cadre de ce cours, le livre d'artiste peut prendre forme à travers diverses modalités d'illustrations, telles que la photographie, la reproduction, la mise en contexte, le dessin, la 3D, etc. L'accent est mis sur la vision artistique de l'auteur.ice et sur les moyens mis en œuvre pour la concrétiser. Les étudiant.e.s endossent des rôles multiples en tant qu'éditeur, conservateur et architecte, couvrant ainsi les responsabilités de directeur artistique, designer, photographe, styliste, illustrateur, typographe, rédacteur en chef, et secrétaire de rédaction. Ce cours met en avant le design éditorial contemporain en explorant le potentiel narratif d'une séquence de contenu maîtrisé.

Redesign 2022

MEDIA & INTERACTION DESIGN

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Redesign 2022

avec Giliane Cachin

Dans le cadre du cours donné par Giliane Cachin, les étudiant.e.s de 1ème année sont amené.e.s à réaliser une édition en examinant les différents axes qui la composent. Le cours propose une étude des divers systèmes de grille et des fondamentaux de la micro-typographie. Lors du semestre, les élèves rechercheront la meilleure manière de structurer et d’agencer le contenu qu’ils auront choisi (ou qui leur aura été attribué, en fonction des données du semestre).Quelques règles indispensables à connaître en terme d’impression et de reliure seront passées en revue à la fin du semestre, de façon à donner vie à l’objet conceptualisé.

Service Design - 2023

DESIGN GRAPHIQUE

MEDIA & INTERACTION DESIGN

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Service Design - 2023

avec Angelo Benedetto, Vincent Jacquier, Pauline Saglio

Lors du cours de service design, les étudiant·es en troisième année des bachelors Design Graphique, Photographie et Media & Interaction Design ont collaboré·e sur des projets multisupports. Cette collaboration, organisée entre le département de Communication Visuelle, avait pour thème les SDGs (Sustainable Development Goals). Le thème "Pour la bonne cause, faites des SDGs une réalité" visait à promouvoir des causes qui tenaient à cœur à chaque groupe d'étudiant·es. Tous les projets étaient composés d'au moins deux supports distincts, dont un support principal et un secondaire. Les étudiant·es avaient la liberté de choisir les médias les plus pertinents pour leurs projets, que ce soit un site web, des publications, des affiches, une séquence vidéo et même de la réalité virtuelle.

Workshop Moyen Format Argentique

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Workshop Moyen Format Argentique

avec Anoush Abrar

Pour cette semaine sur le thème «sitter», les étudiants-es-x en première année de photographie devaient imaginer un portrait pris au moyen format argentique. Le terme «sitter» était historiquement utilisé en photographie pour désigner la personne qui posait pour un portrait. Cette utilisation remonte aux débuts de la photographie, lorsque des temps d’exposition longs étaient nécessaires et que les sujets devaient rester immobiles pendant des périodes prolongées. Le terme reflétait l’idée que la personne devait s’asseoir ou tenir une pose pendant toute la durée de l’exposition. Désormais, vu que la technologie de la photographie a évolué et que les temps d’exposition se sont racourcit, le terme «modèle» ou «sujet» est devenu plus couramment utilisé, reflétant un éventail plus large de poses et d’activités au-delà de simplement s’asseoir.

Workshop avec Alba Zari

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Workshop avec Alba Zari

avec Alba Zari

Ce workshop offre aux étudiants-es-x une occasion unique de se plonger dans des récits à travers le prisme de l'image et de la mémoire. Dans un premier temps, ils s'intéresseront à des archives d'images et sélectionneront une histoire du passé qu'ils disséqueront visuellement. Cette phase analytique ouvre la voie à une exploration plus personnelle, les participants passant à l'étape suivante, où ils remplaceront un personnage des archives par eux-elles-mêmes, par le biais de l'autoportrait. Au cœur de l'atelier se trouve une interrogation sur le médium de la photographie et sur le concept d'archive. Grâce à des discussions guidées, les participants comprendront que la photographie n'est pas seulement un moyen de capturer des moments, mais aussi une forme de témoignage de l'histoire. Ils exploreront leur rôle en tant que collectionneurs et éditeurs d'images, en réfléchissant aux nuances de la production et de la consommation d'images. En utilisant leurs archives personnelles comme tremplin pour la créativité et la réflexion, les participants se familiariseront avec les complexités de la narration visuelle. En examinant les images de manière analytique et conceptuelle, ils développeront une compréhension plus profonde de leur rôle dans l'élaboration des récits. En fin de compte, l'atelier vise à donner aux étudiants-es-x les moyens de créer leurs propres histoires, en favorisant un lien plus profond avec le passé et leur propre identité grâce à l'outil puissant qu'est la photographie.

ECAL × JEAN PAUL GAULTIER: Under Your Smell

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ECAL × JEAN PAUL GAULTIER: Under Your Smell

avec Milo Keller, Florence Tétier, Nicolas Coulomb, Calypso Mahieu

L'exposition Under Your Smell propose une expérience hypnotique et immersive au siège de Jean Paul Gaultier en imaginant de nouvelles définitions de beauté et d’expression corporelle.  Sous la direction de Florence Tétier et Nicolas Coulomb, les étudiant·e·s de 3ème année Bachelor Photographie ont donné vie aux parfums iconiques de la marque à travers une expérience photographique immersive. Lors de la première saison, avec la complicité de Claude Emmanuelle Gajan Maull, les jeunes photographes ont fluidifié les flacons iconiques avec leurs silhouettes sexuées - Le Mâle, Le Classique, Le Beau et La Belle - dans une nouvelle perspective LGBTQIA+. Pour cette nouvelle saison, le projet évolue autour du parfum Scandal, avec la création de natures mortes dans lesquelles les textures liquides, sèches et organiques contrastent pour évoquer l'essence du parfum, le design de son flacon et ses complexités. Par la mise en scène, les parfums deviennent la toile de fond d'histoires de transgression et de projections fantastiques. En plus des impressions monumentales sur tissu, des coussins-images géants invitent le public à s'allonger et à célébrer la fluidité des genres et les définitions toujours changeantes de la beauté et de l'expression de soi.

Yann Difford – Is it a mirage or an oasis?

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Yann Difford – Is it a mirage or an oasis?

par Yann Difford

« L’exotisme découle du lointain, du peu connu, mais surtout d’un point de vue. Ce projet remet en question le désir d’exotisme, de quelle manière il s’exprime et se déploie, et se généralement dans un contexte unidirectionnel occidental; c’est-à-dire de l’occident tourné vers le reste du globe. Cette remise en question permet de saisir qu’il ne s’agit pas d’un état de fait, mais plus d’un processus d’exotisation. C’est à travers la décontextualisation et la recontextualisation de symboles exotiques que je déconstruis ce processus.»

Camille Spiller – Smooth Space

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Camille Spiller – Smooth Space

avec RVB Books/Matthieu Charon & Rémi Faucheux

« Mon travail porte sur la construction de la ville et aborde ma propre position critique au sein du vaste tissu social produit par la ville. Inspiré par le « smooth space » de Deleuze et Guattari – qui signifie ouverture, fluidité, multi-dimensionnalité – ce travail analyse et relie les processus d’urbanisation dans différentes villes d’Europe occidentale. Des fragments de bâtiments préfabriqués, d’immeubles de bureaux et de rues s’agrègent de manière chaotique. En déformant davantage leur aspect à travers l’appareil photographique, leur chaos est accentué, générant ainsi une atmosphère de doute. Le collage en post-production pousse la distorsion jusqu’à créer une énigme entre illusion optique et réalité construite.»

Samara Krähenbühl – Il est passé tout à l'heure, il m'a dit de rien dire

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Samara Krähenbühl – Il est passé tout à l'heure, il m'a dit de rien dire

par Samara Krähenbühl

« Au moment charnière du passage à l’âge adulte, l’enfance et ses souvenirs refont surface plus que jamais. Par le biais d’un court-métrage à la limite de la vidéo d’art, je me questionne sur comment surmonter ses traumas et se réapproprier son vécu et ses zones d’ombre. De par son caractère onirique, le film prend une teinte surréaliste. Entre métaphores visuelles et imagerie mentale, j’exorcise un épisode intime et douloureux de mon enfance.»

Marvin Merkel – Kuh Vache Mucca

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Marvin Merkel – Kuh Vache Mucca

par Marvin Merkel

« Kuh Vache Mucca est une installation à travers laquelle je questionne ma relation à l’identité nationale suisse. N’ayant ni le passeport, ni famille ou racine en Suisse je me suis depuis toujours identifié comme un ressortissant suisse. Les images et sculptures qui constituent ce projet témoignent de mes tentatives de réconciliation avec la patrie et l’identité qu’elle projette. Ces tentatives maladroites, voire ratées, proposent une nouvelle approche de l’identité nationale. Leur facture rend comiques et absurdes les traditions, coutumes, figures et monuments que chaque citoyen·ne·e a appris à encenser et remet ainsi en cause leur existence. Est-il aujourd’hui encore nécessaire et légitime d’entretenir l’identité nationale d’un pays ?»

Yolane Rais – Nagual

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Yolane Rais – Nagual

par Yolane Rais

« Nagual est le mot utilisé par les chamans pour définir le monde de l’invisible. Ce projet est présenté sous la forme d’une installation sensorielle dans un univers mystérieux et spirituel. Une exploration à la frontière entre le monde du vivant et celui de l’invisible, une tentative de matérialiser l’immatériel qui tente de montrer d’autres formes de corps. Ce projet s’articule sur le sacré et les croyances à travers l’expérience d’un autre type de réalité. C’est un travail introspectif où je retranscris mes visions vécues lors de différents voyages faits en présence de chamanes. Avec les différents éléments que je présente, je veux remettre en avant notre lien à la nature, au vivant, le but étant de montrer une autre vision, une autre relation possible à la perception de notre monde.»

Ludivine Keller – Girovago sulla risacca cercandoti

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Ludivine Keller – Girovago sulla risacca cercandoti

par Ludivine Keller

« Girovago sulla risacca cercandoti est le récit d’une errance onirique vécue suite à la perte d’un proche. Ce projet regroupe plusieurs symboles devenus pour moi obsessionnels au cours de ces dernières années, qui évoluent par des allers-retours, comme un ressac émotif. Il découle de plusieurs périples effectués en Italie, moments en suspension et apnées salvatrices. L’eau sert ici de pont temporel aux projections fabriquées par l’absence et une creatura-musa nous guide dans ce monde des songes. L’édition traduit les sensations ambivalentes et fluctuantes de cette errance, alors que les sculptures-collages mettent en tension ce désir de recréer des amalgames pour combler un manque.»

Julie Corday – De la taille d'une mandarine

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Julie Corday – De la taille d'une mandarine

par Julie Corday

« Il s’agit d’un trauma physique et psychologique qui a eu lieu dans mon enfance. A 9 ans, une pierre de la taille d’une mandarine a percuté mon œil gauche. Aujourd’hui je cherche par la photographie à reconnecter la femme que je suis et la petite fille qui a failli perdre la vue il y a 20 ans. Plusieurs interventions chirurgicales et une perte importante de la vision feront naître des peurs et des angoisses entre aveuglement et défiguration. En tissant des liens entre mon histoire personnelle, des images mentales et la perception du monde qui m’entoure, je propose un récit composé de mes mots d’enfant et de métaphores visuelles pour raconter cet accident.» - Julie Corday

Florian Hilt – New Order

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Florian Hilt – New Order

par Florian Hilt

« New Order génère une série de rencontres et d’interactions entre des éléments distants par le biais d’approches multiples dans les domaines visuel, numérique et installatif. Par ces échanges, je donne accès à ma nature secrète : à mes pulsions, mes peurs, mes rêves. En les explorant comme des espaces infinis aux multiples niveaux d’information, passé, présent, futur se mélangent pour révéler de nouveaux assemblages. Ma collection est constituée de fragments contrastés : archives web et images de smartphones, artefacts aux allures anciennes et jeux vidéo. L’installation agit comme un autoportrait chaotique et permet au spectateur d’emprunter son propre chemin pour se questionner. En reliant les éléments qui la composent, chaque expérience sera la résultante d’un nouvel ordre.» - Florian Hilt

Angèle Marignac-Serra – Isula Anima

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Angèle Marignac-Serra – Isula Anima

par Angèle Marignac-Serra

« Au moment où tout se régénère, je déambule sur l’île de mes ancêtres. Ce livre capture la rencontre avec les âmes de ce lieu et l’invisible. Je me confronte à un monde géologique rude et confidentiel. Plus aucun membre de ma famille proche n’y réside. Les différents protagonistes constituent des indices, des traces arborant les trois règnes du vivant. Ils deviennent mon clan. Je deviens une archéologue de ce territoire. Animée par les croyances ancestrales vernaculaires, les paysages s’anthropomorphisent. C’est un hommage à la nature secrète, à l’imperceptible, à la recherche d’un visage dans la pierre, les arbres, le ciel. Je laisse place à mon imaginaire et fantasme des ruines modernes telles des signes posthumes. La frontière avec la mort devient de plus en plus tangible.»

Basil Pérot – As Long as You Wait

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Basil Pérot – As Long as You Wait

par Basil Pérot

Ce court-métrage cherche à exprimer cette incapacité à faire corps avec la réalité lors d’évènements traumatiques. Pour parvenir à cette osmose, on cherche alors à observer, à ressentir, à écouter aussi intensément que l’on peut. C’est ainsi que le personnage de Pola tente de s’agripper au réel, sombrant malgré tout lentement dans une folie entre crise identitaire et paranoïa. Le projet se place en tant que retranscription du point de vue de Pola et des sensations qu’elle éprouve. Un livre compilera les pensées qu’elle écrit au long du film dans un élan de lucidité au travers duquel elle tente elle-même de se convaincre que ce qu’elle vit est bien réel.

Lisa Mazenauer – Copper Tales

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Lisa Mazenauer – Copper Tales

par Lisa Mazenauer

Quels liens se tissent entre les désirs incarnés et les spirales des mines à ciel ouvert ? Copper Tales est une installation qui aborde l’opération minière par les corps sensibles qui y sont impliqués. Basé sur le site des mines de Rio Tinto (Espagne) traversé par un fleuve acide, le projet met en relation différent·e·x·s acteur·ice·x·s participant à l’extraction de matières premières. Les traces – archéologiques, géologiques, humaines, bactériennes – marquées sur les sols se projettent ensemble dans un récit à venir.

Révélation photographique

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Révélation photographique

avec Laurence Bonvin

Balbutiements Il s’agit de reprendre une idée, un projet en cours ou un projet déjà réalisé mais de manière pas satisfaisante, et de le pousser plus loin, à la fois d’un point de vue conceptuel et/ou esthétique, ainsi que du point de vue de la production. Faire l’expérience de ce qu’il est possible d’améliorer dans un projet par rapport à une première réalisation. Revisiter un classique. Il s’agit aussi de tester des idées, de prendre des risques, de pousser plus loin une démarche, d’expérimenter.

Editions photographiques

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Editions photographiques

avec RVB Books/Matthieu Charon & Rémi Faucheux

Partant du préalable que le livre constitue tout à la fois une pratique alternative à l’exposition qu’une pratique d’exposition alternative - pratiques d’exposition alternatives dans la mesure où le livre et l’imprimé sont potentiellement des modes de visibilité de l’art ; pratiques alternatives à l’exposition parce que ce moyen de visibilité est très différent de ce que l’on nomme usuellement une exposition - nous considérons le livre comme étant le média parfaitement adapté aux photographes prochainement diplômés.

Installation photographique

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Installation photographique

avec Marco Poloni

The Future, Inverted, or: Avoiding Stupidity Produire un dispositif d’images visuel et sonore – images en mouvement et images fixes, objets, sons et textes – qui articule un futur et votre modèle pour le penser. Ce futur peut être possible, probable ou préféré, d’ordre personnel ou social.

Création photographique

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Création photographique

avec Natacha Lesueur

Les étudiant.e.s développent un projet sur tout le semestre, sur un sujet librement choisi, en le soumettant régulièrement au regard critique et au conseil de la professeure. Argumentation et analyse sont stimulées.  Il s’agit de s’interroger sur les enjeux de la photographie d’auteur.ice et de développer une expression personnelle, qui puisse potentiellement amorcer le travail de diplôme des étudiant.e.s. Une attention particulière es apportée à l’argumentation du travail, aux différents stades de son élaboration.

Photographie et Art plastiques

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Photographie et Art plastiques

avec Natacha Lesueur

À partir de projets développés autour d’un thème commun, les étudiant·e·s  développent un travail personnel et approfondi sur l’entier du semestre. Il ne s’agit pas d’une réponse à un exercice. Le projet mené doit se développer, se préciser, se modifier s’il le faut mais s’enrichir tout au long du semestre, au fur et à mesure des recherches, réflexions, expériences menées par les étudiant·e· s et des consultations avec la professeure. Au cours ces consultations régulières, les étudiant-e-s abordent les divers aspects lies à la conception, la production et la réalisation d’un travail photographique...

Pratique photographique

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Pratique photographique

avec Milo Keller

Le cours souhaite développer une connaissance et sensibilité particulière pour toutes les typologies de lumière. Il invite les étudiants à la création libre, à l’autonomie d’élaboration et de réalisation d’un projet personnel.

Workshop Stefanie Moshammer

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Workshop Stefanie Moshammer

avec Stéfanie Moshammer

« Pour ce workshop il n’y a pas de règles mais je veux que vous me racontiez une histoire. Je préfère voir moins d’images avec un bon concept, plutôt que trop d’images sans aucune idée. » S.M C’est par cette invitation que les étudiant·e·x·s ont travaillé sur le territoire de la Ville de Renens à la recherche de lieux, personnes et traces d’une histoire qui ne soit pas simplement une série de belles images.

Workshop Paolo Wood

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Workshop Paolo Wood

avec Paolo Wood

On a affirmé que la photographie est un langage. Avec toutes ses limites et ses particularités mais un langage quand même. La photographie est souvent un langage assez pauvre qui répète constamment les mêmes noms et les mêmes verbes. Dans la tradition documentaire, la palette des sujets traités est assez limitée et récurrente et c’est pour cette raison que, pour réaliser des photographies, il faut apprendre et maîtriser cette langue : son vocabulaire sa grammaire et son histoire.

Workshop Mårten Lange

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Workshop Mårten Lange

avec Mårten Lange

L’échec est nécessaire et fait partie du développement artistique qui s’articule par la prise de risque, la chance, l’ambition, la peur et la liberté. Le but du workshop était de réussir à photographier, éditer et séquencer une série d’images sur le thème de l’échec. Les résultats finaux sont présentés dans des formes diverses : éditions, simples tirages ou accrochages plus complexes et vidéos.

The Indecisive Moment

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The Indecisive Moment

avec Jaya Pelupessy

A l'heure où la diffusion des images est fulgurante et quasi infinie, et où la distinction entre l'original et la copie semble souvent peu pertinente, que reste-t-il ? Dans cet atelier, les étudiant.e.s ont participé à une expérience qui consiste à disséquer et à éclairer divers aspects de l'image pour finalement réinterpréter son sens. En utilisant différentes techniques de reproduction et méthodes d'appropriation, les étudiant.e.s sont ammenés à réfléchir sur l'origine et le statut de l'image.

Lara Ziörjen – No Hard Feelings

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Lara Ziörjen – No Hard Feelings

par Lara Ziörjen

No Hard Feelings est une exploration personnelle du monde dans lequel nous vivons. A travers ces images, une vision puissante de notre culture émerge – qui sommes-nous, comment consommons-nous et finalement, quelle direction prenons-nous? Ce livre montre un monde abondant dans lequel s’accumule la fast fashion, la nourriture artificielle et les objets inutiles. Un aspect important de ce travail est la combinaison d’images ainsi que le travail du détail. S’approcher d’un objet, l’analyser et le comprendre. Il traite de l’absurdité et de la banalité de la vie quotidienne. Les images ont toutes été prises avec un téléphone portable, un outil primordial qui vient compléter mon approche conceptuelle.

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