Au-delà des questions de fonctionnalité, de confort et de bien-être individuel ou collectif, l’environnement bâti est à même de répondre de manière stimulante à des défis sociétaux, énergétiques et environnementaux.
L’espace de travail, d’habitation, l’espace public, l’espace intérieur, la rue, sont portés par de véritables déclarations d’intention qui motivent leurs formes, en suivant certains principes tel que la transition climatique, la densification, l’écologie et transition énergétique….
Les élèves de 2ème année en Design graphique ont travaillé sur la production d’une communication basée sur un de ces principes (ou d’autres) et sur la réalisation architecturale qui s’y réfère afin d’en faire la promotion.
Projet d’atelier (2023) par Rebecca Alfandary, Valentin Bonzon, Jonas Buxcel, Camille Choquard, Alexandra Cupsa, Sacha Décoppet, Morgane Gilliéron, Flaurant Kadrija, Karim Akel, Olympe Boutaghane, Lisa Grobet
Édition
À travers cet objet, ma mère a pu me transmettre la complexité des souvenirs en tant qu’immigrée dans un pays qui n’est pas le sien.
À l’aide des photos d’archives, des textes d’archives et sa parole actuelle traduisant les lettres reçue de mon grand-père, je me suis plongé dans la transmission de souvenir entre mon grand-père, ma mère et moi, utilisant ses souvenirs comme pivot de transmission entre le passé et le futur.
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Édition & Animation
Le but du projet est de raconter une histoire à travers mes expériences filmées et mes pensées écrites sur papier, recomposées pour raconter une histoire personnelle d’une femme qui ose s’approprier l’espace urbain, malgré la peur innée qu’elle ressent en elle-même. La partie visuelle et l’écriture se complètent, la partie filmée étant une immer-sion dans sa peau, où le.la spectateur.ice parcourt la ville à travers son point de vue. L’édition agit comme des sous-titres à la vidéo. Elle reflète ses pensées, ses sentiments et interractions, la poésie des moments de solitude, de contemplation à travers l’acte de flânerie.
Par Alexandra Cupsa
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Édition
DSE est un livre qui parle de la prison, un des milieux les plus controversés de notre système de justice. Elles sont censées être des lieux où les criminels sont punis et réhabilités, mais elles sont souvent critiquées pour leur surpopulation, leur manque de ressources et leurs conditions de detentions inhumaines.
Par Sacha Décoppet
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Édition
Velvet flowers remet en question les différents sentiments que les lieux abandonnés peuvent nous évoquer. A La lecture de l’ouvrage, une nostalgie s’installe, puis c’est au tour de l’inquiétude et du malaise. Nous pouvons sentir différentes traces et empreintes laissées par des entités, humaines ou non.
L’expérience est retranscrite à travers des photographies en argentique, des pages de textes denses et des fragments du lieu. Le sentiment de déjà-vu nous soumet à une question de temporalité qui ne peut être défi-nie et nous interroge sur le fait que nous ne nous trouvons jamais dans les bonnes traces.
Par Lisa Grobet
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Édition
Umberto Eco disait : « La fonction essentielle d’une bibliothèque est de favoriser la découverte de livres dont le lecteur ne soupçonnait pas l’existence et qui s’avèrent d’une importance capitale pour lui. » Dans la bibliothèque de Sitterwerk à Saint-Gall, chacun repose son livre comme bon lui semble et des collections temporaires naissent ainsi. Des livres n’ayant parfois aucun rapport se côtoient sur une même étagère.
En éliminant toutes classifications, nous laissons place à l’inattendu. Chercher un livre en particulier n’est plus l’objectif principal, c’est l’expérience du lieu qui prime. Cet objet suit une réflexion autour du livre, en prenant comme sujets d’expérience une sélection de 100 publications avec comme critère de sélection leur format qui doit se situer entre un A4 et un A3. Les livres ont été piochés dans le catalogue de la bibliothèque de Sitterwerk.
Par Valentin Bonzon
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