Alors, Comment mieux Habiter ? – S1 2024

Édition

Dans cette édition, j’analyse l’influence du temps sur l’architecture de la Maison familiale qui a été laissée à l’abandon depuis de nombreuses années. En explorant la dimension intergénérationnelle au cœur de cette enquête temporelle, j’ai structuré chaque aspect en termes de degrés, des degrés générationnels. 
En tant qu’arrière-petite-fille des derniers résidents de la maison, je représente le degré 2, tandis que mon père incarne le degré 1. Ainsi, lors de notre exploration de la Maison, nous l’avons décrite en partageant anecdotes et affinités propres à nos degrés respectifs. L’enquête a ainsi évolué vers une dimension familiale, dépassant son caractère purement temporel.

Par Candice Aepli

Édition

Les abris anti-atomiques suisses représentent un phénomène architectural qui contraste avec la neutralité du pays.
C’est pourquoi, lorsque la suisse publie des documents liés à la guerre et à la défense de ses citoyens, le ton employé est très pudique voir même naïf face au sérieux des sujets traités. De la même manière, l’édition fait état du contraste entre la gravité du sujet des abris et la beauté spectaculaires des catastrophes qui justifierais l’utilisation des abris

Par Eliot Dubi

Édition

Ruelle Thomas 21 est l’adresse où se trouvait la librairie de ma maman, au rez de notre maison familiale, qui a cessé son activité en 2015. Chaque pièce était dédiée à un public : les livres de cuisine dans la cuisine, les livres pour enfants dans la chambre, et les romans dans le salon, pour les adultes. Partir de cette séparation de l'appartement pour délimiter l’espace littéraire de chacun·e·x était pour moi le meilleur moyen de l’exprimer. J’ai pris mon point de vue d’enfant qui n’aimait pas lire, pour expérimenter et déconstruire la séquence imposée par la littérature, à travers de critiques littéraires de ma maman, de couvertures de livres, ainsi qu’un manifesto de déculpabilisation.

Par Amélie Bertholet

Vidéo

« I never felt at home » traite de la sensation, la gène et la mélancolie de ne jamais se sentir chez soi, peut importe où nous habitons. 
L’inconfort ressenti à l'extérieur est amené dans l'intimité du foyer au travers de la projection.

Par Léa Corin

Édition

L'enfance, étape éphémère et singulière, constitue le socle de notre identité. "Ce qu’il reste de la vérité" est une exploration narrative et personnelle de l'enfance en foyer. L'idée maîtresse est de présenter cette expérience nuancée, oscillant entre bonheur éphémère et enjeux complexes, à travers une double narration : celle de l'enfant qui, sans vraiment comprendre les circonstances, les subit avec innocence et dissociation ; et celle de l'adulte, dont le regard plus mature offre une réflexion rétrospective sur cette période de vie singulière.

Par Mathilde Driebold

Édition

Ce projet d'étude se déploie comme une analyse technique des interactions lumineuses au sein d’un espace résidentiel, avec une emphase particulière sur les critères de santé mentale engendré par l'éclairage et les préférences visuelles des occupants potentiels. Les enjeux de cette analyse, consistent à déconstruire les mécanismes et les variables influant sur l’éclairage intérieur, l’architecture et l’environnement afin de créer une synthèse entre fonctionnalité et esthétique.

Par Marc Facchinetti