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WORKSHOP - CGI WITH AREA OF WORK
avec Area Of Work
Ce workshop est une introduction aux logiciels de création 3D qui permettent de réaliser des images aux qualités photographiques qui ne sont pas des photographies.
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avec Area Of Work
Ce workshop est une introduction aux logiciels de création 3D qui permettent de réaliser des images aux qualités photographiques qui ne sont pas des photographies.
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avec Milo Keller
Suite au succès de l’exposition issue du projet de recherche Automated Photography à Paris Photo en 2021 puis à la Galerie l’elac en 2022, l’ECAL/Ecole cantonale d’art de Lausanne exporte son projet de recherche à Plateform-L à Seoul du 17 septembre au 8 octobre 2022, pour une exposition audiovisuelle immersive.
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par Sophie Schreurs
Fed Underbelly of Silicon Valley est une installation immersive qui rend physique et corporelle les tensions sociales et politiques des réseaux sociaux. Le pouvoir des réseaux sociaux est apparent parce qu’ils possèdent l’archive de notre culture, mais surtout parce qu’ils décident de la visibilité des contenus. D’apparence démocratique, il est cependant clair que, de nos jours, certaines voix sont amplifiées tandis que d’autres sont réduites au silence par la modération de contenus. Je fais un parallèle entre les mécanismes cachés derrière les réseaux sociaux et le fonctionnement du corps humain. J’imagine le corps comme porteur de souvenirs et d’émotions qui s’infiltrent et s’accrochent aux parois de nos entrailles. Tout comme les organes, ces plateformes filtrent et circulent.
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par Alisa Strub
My Grind Bears Fruit est une série d’autoportraits projetés, combinés à des textes peints. Ces tableaux tracent un territoire dans l’engagement avec identitaire et la mise en scène de soi dans notre culture médiatisée ; explorant la tension entre la vie publique et privée. Ce besoin de nous raconter et d’épier. Cette ligne floue entre la documentation de l’intime et la construction d’identités. Ces situations dans lesquelles je joue pour la caméra sont influencées par la perception de ce que je consomme quotidiennement en ligne. Elles sont combinées et confrontées par l’utilisation intuitive, mais délibérément scénarisée de mots tirés des réseaux sociaux, créant ainsi un contrepoint qui invite le spectateur à confronter l’image et le texte à ses propres expériences.
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par Emma Bedos
Comment continuer à exister dans les lieux que nous avons quittés, à travers la mémoire de ceux qui y restent ? Ce projet illustre le sentiment d’éloignement et la manière dont la technologie tente de le combler. J’ai demandé à mes proches resté·e·s sur mon île d’origine de saisir des images de souvenirs communs. Retranscrites en photogrammétrie pour les matérialiser, l’association de la communication au travail de mémoire crée un nouvel environnement commun. Mais le résultat met en évidence l’omniprésence du vide. L’installation matérialise ce contact à distance, comme le négatif de lui-même, par des découpes dans de la soie flottante et insaisissable. L’imaginaire vient compléter la mémoire avec des images fantasmées d’un idéal lointain, où résonne la présence-absence.
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par Yang Su
Cloud and Beyond the Infinite est une installation vidéo avec une simulation en temps réel. Grâce à des moteurs de rendu améliorés et à des représentations visuelles de plus haute définition, l’ère du Metaverse, environnement virtuel numérique immersif, arrive à grands pas. Pourtant, derrière les images éblouissantes et réalistes de celui-ci se cachent des centres de données en constante expansion, une augmentation du traitement GPU et de la consommation d’énergie, ainsi que la chaleur et les émissions de carbone qui en découlent. Alors que le Metaverse s’améliore et devient plus vivable, notre environnement physique se détériore progressivement. L’artiste a choisi l’élément « Cloud » pour dépeindre un monde virtuel immersif, montrant une circulation d’une infinité de « nuages ».
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par Mahalia Taje Giotto
existential boner est un livre sur les obsessions. Des obsessions liées au corps, à l’identité de genre, aux sexualités et aux désirs. Mahalia Taje Giotto, est né en 1992 et a été assignée au sexe féminin à la naissance. Passant par plusieurs phases de transformation physique - de l’écriture sur la peau pendant l’enfance aux tatouages à l’âge adulte, en passant par les troubles alimentaires à l’adolescence - taje a entamé sa transition en 2020. Ce parcours identitaire est au cœur de son travail, qui exprime les pensées incessantes qui l’anime à travers un jeu de superpositions. L’observation quotidienne des changements physiques est retranscrite dans des images et des textes, entre abstrait et concret. Un chaos articulé qui reflète la façon dont taje vit sa tran- sition, avec une approche sculpturale du livre comme reflet des changements corpo- rels. L’artiste explore ses désirs et son identité fluide, tout en donnant de la visibilité à la communauté transgenre dont il est issu.
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par Alexey Chernikov
Ce projet met l’accent sur la fragilité de notre existence, le pouvoir de la surveillance et l’incertitude de notre avenir. Le projet utilise le vocabulaire visuel des drones militaires. Une caméra thermique est montée sur un drone imitant l’imagerie militaire. Le médium lui-même a un rôle essentiel car il transmet l’aspect esthétique de l’œuvre. Une grande quantité d’images des champs de bataille sont prises depuis le ciel. Ces images se terminent pour la plupart par un explosion. Dans Above Everything, une réalité parallèle est créée où la fin de chaque vidéo est imprévisible. Les séquences vidéo ainsi que le son déformé des hélices créent le sentiment d’une menace constante, illustrant la tension causée par la guerre en Ukraine qui se déroule à des milliers de kilomètres.
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par Clemens Fischer
Conçue comme un laboratoire, cette œuvre consiste en des installations de caméras qui spéculent sur un avenir où l’imagerie est créée et consommée sans que nous soyons présents. La caméra devient un acteur indépendant qui devra apprendre par lui-même à travailler, à échouer et à interpréter. Equipées d’un matériel et de tâches minimales, les machines créées sont lancées dans l’existence pour découvrir leur but et leur lien avec le monde qui les entoure. Gaffeuses, naïves mais en même temps fortement chargées de notre héritage nostalgique, ces installations sont une invitation à réfléchir sur un état temporaire et improvisé de la photographie et sur l’importance de nous-mêmes en tant que créateurs.
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par Nikolai Frerichs
Le film Carrie Ann questionne la standardisation. Est-il possible de parler d’amour dans un monde synthétiquement contrôlé ? L’amour romantique existe-t-il encore ou n’est-il plus qu’une construction idéologique ? L’individualité et la liberté semblent impossibles à atteindre dans ces environnements digitaux normalisés. Néanmoins, les créateurs de logiciels essaient constamment de créer de nouveaux outils et de nouvelles possibilités pour simuler notre monde de la manière la plus réaliste possible et ainsi brouiller ces limites. Mais on s’aperçoit que ces représentations sont pleines de stéréotypes. Y a-t-il quelque chose de plus grand, ne serait-ce qu’une projection de notre imaginaire sur la définition d’une vie idéale ? L’amour a-t-il le pouvoir de nous sauver de notre standardisation ?
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par Augustin Lignier
Container est un projet sur l’aliénation. À la caméra, la machine, l’espace, aux images, au medium et à une idée. Par la photographie et de la performance, je construis des règles pour expérimenter la relation à l’apparatus. En poussant mon corps dans ses limites, j’expérimente sur la caméra et le corps comme une boîte noire dans un white cube. Les règles sont les entrées et les images les sorties. En étudiant la réaction d’une action répétitive sur les vidéos. Et en se concentrant sur l’obsession d’appuyer sur le déclencheur sur les images. Utilisant cette action comme solution. Pour voir les images, les spectateur·rice·s doivent faire la même action que les performeur·rice·s. Les expériences donnent le pouvoir à la machine. Produire des images, performer, enregistrer et exposer sont une chose.
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par Hikaru Hori
Slowpoke est une série de collages sculpturaux. Prises dans mon environnement, les images d’objets de la vie quotidienne sont accumulées et superposées pour transformer des expériences multi-sensorielles. Dans le contexte de cette série, j’ai particulièrement travaillé sur l’idée d’un « mélange de perceptions physiques et numériques » pour la présentation du diplôme à venir. En réponse à ce contexte contemporain où la représentation et le représenté affectent simultanément notre cognition, Slowpoke invite les spectateur·rice·s à faire l’expérience de la construction cachée de l’image à travers les collages sculpturaux.
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avec Robin Bervini, Milo Keller
Pendant cet atelier de cinq jours encadré par Milo Keller et Robin Bervini, les participant·e·s ont travaillé en groupes pour créer des environnements suggestifs inspirés de photographies de référence. L'objectif était d'amener les spectateurs et spectatrices dans un univers parallèle à observer depuis un point de repère statique. Les étudiant·e·s ont appris les bases de la création d'environnements avec Unreal Engine 4 en faisant face à des complications techniques afin de faire fonctionner leurs projets sur le casque autonome Meta Quest 2.
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avec Mazaccio & Drowilal, MAP
Durant cet atelier d'une semaine, les étudiant·e·s ont été confrontés chaque matin à un défi sculptural et, l'après-midi, ils ont continué à développer leurs projets semestriels avec les conseils du duo d'artistes Mazaccio & Drowilal.
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avec Marco De Mutiis
Dans cet atelier intensif d'une semaine, le curateur digital Marco de Mutiis a demandé aux étudiant·e·s de créer un projet photographique à l'aide d'un processus de ludification ou autrement automatisé.
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avec Nicolas Polli
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par Natalie Maximova
Mention Bien Cette œuvre est une interprétation de la possibilité que nous vivions dans une réalité générée par ordinateur, semblable à un jeu vidéo, inspirée par les idées de la théorie de la simulation. Le monde est construit comme un assemblage de structures sans âme, sans indication de temps ou de lieu. Le changement rapide des styles architecturaux tout au long de ce voyage explique l’ambiguïté de la théorie de la simulation et l’impossibilité de la prouver. Il y a des multitudes d’architectures et d’imaginations, il y a donc des multitudes de mystères. C’est un voyage à mi-chemin entre le rêve et le cauchemar. En l’absence d’une compréhension totale, que pouvons-nous faire d’autre que d’aller de l’avant ? Installation vidéo: animation CGI créée dans le moteur de jeu, son multicanal.
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par Sara Bastai
RAM 1.0 est un projet issu de la collaboration entre moi-même et l’Intelligence Artificielle. C’est un récit fictif de ma vie, basé sur mes archives visuelles, mais médiatisé par l’IA. Le projet explore l’importance de la construction d’une archive dans le domaine numérique. Focalisé sur l’interaction entre les images et le texte, je laisse l’IA analyser mes souvenirs pour ensuite les réinterpréter et créer de nouvelles images. De nouveaux souvenirs fabriqués se présentent sous la forme de livres différents et de diaporamas proposés sur une installation modulaire. Flottant entre l’humain et le non-humain, le dialogue entre moi-même et la machine prend naissance et vous permet de vous immerger dans un nouvel ensemble de données de mes souvenirs à travers le regard de la technologie.
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par Olivia Wünsche
Mention Très bien Prix Profot New State of Equilibrium est une interprétation visuelle de ma quête spirituelle et de mes aventures psychédéliques. La paix intérieure, le sentiment d’être profondément connecté, l’amour infini pour le monde naturel et la soif de transcendance sont les thèmes centraux que j’ai essayé de visualiser tout au long de ce projet. Le livre et l’installation questionnent et investiguent des mécanismes et des limites de notre perception cognitive et sensorielle. En soulignant la présence simultanée du visible et de l’invisible, je veux remettre en question la vision matérialiste et séculaire qui semble encore régner dans notre culture occidentale.
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par Manqin Zhang
I’m not a Loner est une installation basée sur des photos où Manqin agit comme une archéologue qui creuse dans la partie oubliée et insignifiante de la vie. L’œuvre se compose de trois toupies en résine, quatre blocs de béton, cinq tee-shirts, douze briquets et deux assiettes. En les traitant comme des artefacts historiques, l’œuvre entend construire un récit de l’histoire individuelle à travers des souvenirs, des relations et des objets. Alors que l’histoire individuelle décrit la peur, la colère et la culpabilité – personnelles, familiales, sociétales et historiques, Manqin souhaite accroître le rôle de l’individu dans l’histoire pour évoquer l’importance d’être soi-même et faire face à l’aliénation moderne.
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avec Milo Keller
A l'occasion de la Biennale dell' immagine Chiasso, les étudiant·e·s de 2e année en Master Photographie proposent, du 17 au 19 septembre, «Exquisite Corpse» – une série de projets en Réalité Virtuelle (VR) dans le Palestra CPC. Direction artistique: Milo Keller Assistants: Florian Amoser Robin Bervini Etudiant·e·s: Emma Bedos Alexey Chernikov Mahalia “Taje” Giotto Clemens Fischer Nikolai Frerichs Hikaru Hori Augustin Lignier Sophie Schreurs Alisa Strub Yang Su
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par Maeva Bosko
Entering the Unknown is an immersive experience that tends to alter the consciousness during an introspective journey. Because of its wild and authentic side, the forest has always bewitched the collective mind. A nature of peace but also a kingdom of mysteries, the forest gives off an almost supernatural force. To cross the threshold of the forest, because of its deep roots, is to open the door of the unconscious and to trigger the awakening of panic fears, terrors or even phobias. According to Jung, these terrors translate the fear of seeing the contents of the unconscious revealed, the fear of meeting oneself.Starting from the conscious world you gonna dive to reach the world of the unconscious. A fall into the realms of the unknown.
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par Joanna Wierzbicka
What is a body, where does it start, where does it end? How do we experience having a body and being a body, especially among other bodies? How can we resituate ourselves within earth others, and rethink relations on a wider level between human and nonhuman actants to account for a more ethical living? The project aims to interrogate the notion of bodily matter, recapture our corporeality and challenge the assumption that our bodies end at the skin. Instead, they are redefined as radically open systems, human and non-human assemblages, corporeal chimeras, microbiotic multi-species in the constant process of becoming. Matter, when recognised as an active agent, helps to acknowledge infinite interactions within complex networks of agency between various porous corporealities and entities. Trans-corporeality disrupts divisions between a body and the world. Bodies leave traces everywhere, ascribing themselves into various corporeal, technological, political narratives, but also traces are ascribed onto bodies - mediating and altering their flesh. As captured by Haraway in the figuration of compost - we are always becoming with others, together creating a lively matter of compost, composing and decomposing each other. “Nothing is connected to everything, everything is connected to something” takes a form of an installation, a speculative self-portrait as compost, built out of images of my own body (made with different apparatuses including Scanning Electron Microscope, digital microscopes) mixed with still lifes of food and different materials representing the transformation and movement, as in compost. Additionally, sculptures are accompanied by the video that expands on the idea of corporeal companionship and brings in the notion of uncanny-like lump of flesh covered with skin. It is a performative act, a result of wondering how to become a microorganism, a bacteria and if I am already enough of one. All the parts of installation, exploring the line between oppositions such as human/nonhuman, internal/external, self/the other, refer to the definition of an abject and are meant to translate that moment, or a sensation - how a breakdown in meaning, something expelled from “I” eventually comes to define “I”.
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avec Milo Keller, Robin Bervini
Atelier d'introduction à la réalité virtuelle animé par Milo Keller avec l'assistance technique de Florian Amoser et Robin Bervini. Pendant cette introduction de 5 jours, les étudiants ont appris à utiliser Unreal Engine 4 pour prototyper et tester leurs scènes en temps réel. En travaillant en binôme, chacun d'entre eux a commencé à développer un module d'une expérience VR globale qui sera présentée à la Biennale dell'immagine 2021 à Chiasso.
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avec Lauren Huret, MAP
In this workshop, first and second year students had group discussions around what makes an image iconic and developed group and individual projects. The workshop was tutored by Lauren Huret
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avec Simone Niquille
L'atelier s'inspire du portrait traditionnel mais s'en écarte intentionnellement, permettant une exploration critique des constructions culturelles et numériques du "soi" et de la "famille" à travers l'objectif des filtres neuronaux, en mettant l'accent sur la production quotidienne plutôt que sur la qualité, l'édition étant reportée à un stade ultérieur de la préparation de la présentation.
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avec Nicolas Polli
The workshop is a complement to the Photobook semester project during which the first year students, tutored by graphic designer Nicolas Polli, learned to think of the photobook as an object. Each student developed their sequence and made creative choices that led to the production of a dummy.
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par Jelena Luise
Après une crise commune, il est inévitable que le temps soit perçu sous la notion de l’avant et de l’après. Voir les choses réduites en cendre peut être dérangeant au début, mais de profondes transformations sont à l’œuvre. Ceci donne l’occasion de construire quelque chose de nouveau - mais quoi ? En s’appuyant sur un moment d’apogée écrasant, la portée de notre imagination est mise à l’épreuve. L’ancien monde se meurt et le nouveau monde lutte pour naître. C’est le temps des monstres.
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par Philipp Klak
Mention Bien L’aléatoire est une qualité essentielle dans la pratique artistique. Ce projet traite de la question de savoir dans quelle mesure les machines peuvent améliorer et surmonter l’aspect humain en programmant une image et en générant de manière aléatoire des variations illimitées d’une même scène et d’un même type d’objet. Pendant mon séjour à l’ECAL, j’ai développé un intérêt pour l’étude des processus et structures cachées. En référence à l’histoire de la photographie et aux typologies des Becher, je génère des images aléatoirement à l’aide d’un système entièrement automatisé.
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avec Simone Niquille, François Zajega
Le travail questionne le déterminisme génétique, la représentation, les réseaux d’infrastructure et la vie privée en usant de techniques digitales pour penser la technologie. Les techniques actuelles veulent achever une pleine quantification de la réalité en réduisant le sujet en données pures, en une collection d’objet marchandé. L’installation utilise un rayon d’outils technologiques (réalité virtuelle, analyse d’ADN, intelligence artificielle, photogrammétrie) et aspire à présenter les résultats de mes recherches théoriques à travers un parcours personnel.
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par Robin Bervini
Prix Elinchrom « Until I Stop Trying to Get Out of My Skin » est une installation spatiale et de réalité virtuelle illustrant la lutte personnelle de l’artiste pour trouver son identité biraciale dans le sud de la Suisse. Entouré de famille et d’amis blancs et ne connaissant que la culture locale, l’artiste s’est identifié comme blanc, mais la remise en cause continue de ses origines et les préjugés vécus lui ont fait douter de son appartenance. L’installation plonge le spectateur dans la peau de l’artiste : en incarnant ses avatars, le spectateur rencontrera les alter egos de l’artiste qui incarnent son moi idéal à différentes étapes.
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avec Area Of Work
A one week transversal CGI workshop tutored by Area of Work to the first year Master Photography students in November 2020. Tutors: Area of Work Students: Emma Bedos, Alexey Chernikov, Mattia Dagani Rio, Thomas Dreux (HEAD Geneva), Clemens Fischer, Nikolai Frerichs, Mahalia Giotto, Hikaru Hori, Joanne Joho (HEAD Geneva), Augustin Lignier, Yshao Lin, Sophie Schreurs, Alisa Strub and Renée Verhoeven. Assistants: Florian Amoser, Robin Bervini, Thomas Le Provost. Digital architecture: Florian Amoser Virtual walkthrough: Robin Bervini Soundtrack: Hatari - MSH03X
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avec MAP, Charles Negre
During this practical workshop tutored by Charles Negres, the students have been introduced to studio lighting for still life photography and realized images on topics connected to climate.
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avec Simone Niquille, François Zajega
Creuser un trou et excaver la terre peut être considéré comme l’activité humaine la plus primitive et la plus élémentaire. Cependant, c’est aussi une activité à laquelle toute activité humaine peut être réduite. Ce projet étudie principalement notre relation à la terre en décrivant une étrange réalité dans laquelle un plan de sol bidimensionnel s’ouvre pour révéler des tunnels de différentes formes. L’œuvre est destinée à créer un voyage religieux, permettant au spectateur de contempler la vie, la réalité cyclique et le mouvement perpétuel, à travers des tunnels et des chemins sans fin.
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avec Charles Negre
Inspiré par la capacité humaine de transformation émotionnelle et l’examen du genre de la nature morte, le projet fusionne une série de vidéos de natures mortes d’objets quotidiens caractérisés, créant un collage de différents moments et processus récurrents dans le temps. L’accent est mis sur l’exploration du concept d’entropie, rendant le temps tangible et capturant la transformation d’un moment en sa représentation matérielle. Le projet est présenté sur un écran de projection semi-circulaire de 12x2m, entourant ainsi le spectateur avec l’imagerie et permettant une expérience plus viscérale.
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avec Charles Negre
« Shuǐhuò » est un terme mandarin qui désigne le commerce d’une marchandise par des canaux de distribution qui ne sont pas autorisés par le fabricant d’origine ou le propriétaire de la marque. 水 (« Shuǐ ») en mandarin signifie « eau » et 貨 (« huò ») signifie « marchandises ». Cependant, comme la marchandise n’est pas autorisée, elle est normalement de mauvaise qualité. C’est pourquoi, lorsque nous voyons des produits de mauvaise qualité, nous utilisons le mot « Shuǐ » pour les décrire.
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avec Simone Niquille, François Zajega
« Counter Faith » explore une narration personnelle dans le but de comprendre le moteur derrière la construction de communautés fermées en Indonésie, alors que les imaginaires violents de 1998 restent non résolus dans le système de croyances endommagé de la nation. Single-channel video, 10'34"
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avec Bruno Ceschel
The two-channel video installation aims to transfer contemporary human emotions into visual digital culture and non-verbal codes. Our desire to connect with other species (AI, nature) is explored through the premise that it is rooted in deep existential fear. This emotional experience requires dominance, seen here as a form of captivity: by investigating artificial environments we create for this purpose, I question whether we can still see ourselves as a part of nature. Lastly, a tactile experience is sought by visually conveying limiting and unpleasant sensations.
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avec Bruno Ceschel
En grandissant entre appartements du même complexe, un sentiment familier restait dans les maisons vides encourageant la transformation. Ceci est l’expérience d’habiter un corps, fluctuant d’un état à un autre. Ici, cette oscillation a lieu dans les constellations potentielles autour de la binarité de genre. La dichotomie masculin / féminin est remplacée par une dichotomie entre le genre et sa négation. Ce renoncement, cependant, est un changement perpétuel, un rassemblement de questions plutôt que de réponses, un ensemble de contemplations quotidiennes face à des constructions psychiques.
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avec Bruno Ceschel
Tout au long du développement de la civilisation humaine, le contrôle de l’environnement naturel au profit du progrès a été considéré comme essentiel, ce qui a engendré une séparation entre la sphère culturelle et naturelle. Dans une tentative de mettre à jour une vision de la biosphère comme étant un lieu de constante contamination mutuelle, « Entangled Life » met l’accent sur la notion de réseaux fongiques comme inspiration à la décentralisation de l’organisation de l’humanité, transcendant ainsi les notions anthropocentriques de la perception du monde.
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avec Bruno Ceschel
Notre système est une construction fragile. Ce projet examine le regard porté sur le monde extérieur, montre des traces d’architecture délabrée, révèle des constructions fines et fragiles et donc notre désir d’un espace intime, d’une place dans la société. Métaphoriquement, les natures mortes montrent la manipulation individuelle des artefacts. En même temps, elles reflètent le support lui-même et démontrent leur confrontation physique directe avec le matériau de façon spontanée et ludique. L’œuvre est présentée dans une installation spatiale, afin de créer une situation photographique et d’établir un lien entre l’image et le matériau.
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avec Bruno Ceschel
Le virtuel devient un moyen essentiel de vivre des relations interpersonnelles et change la façon dont l’espace entre les corps est performé. Dans le cadre de ce projet, une série de captures d’écran documente les rencontres virtuelles entre l’artiste et les figures représentées – des performances réciproques à travers des écrans et des webcams. Présenté sous la forme d'un livre et d'une installation, ce projet recherche le corps féminin dans l’espace, la spatialisation des relations et l’espace-temps à l’ère numérique.
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avec MAP, Charles Negre
The students created still life compositions developing a consistent body of images. Tutored by Charles Negres.
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avec Milo Keller, MAP
L'utopie est invisible, seuls les utopistes peuvent la voir. Une classe de 12 étudiants du Master en photographie de l'ECAL/Université d'art et de design de Lausanne, en résidence à la Casa Corti à Pellio, Val d'Intelvi (Italie), a élaboré les concepts d'utopie et de communauté. Identifiant le malaise d'une génération piégée dans les réseaux sociaux, confuse entre la réalité et la sphère virtuelle, et ayant besoin d'établir de nouvelles valeurs, le groupe a développé une série de stratégies différentes : séances de méditation matinales, promenades au Monte Generoso, repas partagés et discussions pour produire des photographies et des vidéos qui, tout en s'éloignant progressivement de la réalité, atteignent des dimensions imaginaires qui oscillent entre utopie et dystopie, figuration et abstraction. Curateur Milo Keller Assistants Florian Amoser Calum Douglas Graphic Design Nicolas Polli biennaleimmagine.ch https://casacorti.org/
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avec Area Of Work
Ce workshop est une introduction aux logiciels de création 3D qui permettent de réaliser des images aux qualités photographiques qui ne sont pas des photographies.
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par Morgan Carlier
‘Shame has undergone a shift.’ In today’s world, my 15-year-old brother is free to express his identity and does not seem to face the same difficulties I experienced during my own adolescence. Only ten years separate us and, through him, I project a nostalgia of youth that I once dreamed of. The book presents him not only as muse but also as an initiator by showing his vision of being a teenager. Together, we reflect on notions of identity, freedom of youth and the expectations of gendered behavior. The border between staging and documented is blurred, his gaze becomes intertwined with mine.
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par Alina Frieske
Abglanz is a German word used to describe a ‘pale reflection’ or a ‘distant echo’. The project investigates the value and accessibility of personal visual information online. Fragments of images taken from social media platforms are reconstructed into a new scenario. Thereby, the original meaning of the images is put into another context. The work becomes an allegory of display, questioning how we are reflected and recognized behind the screen. It is presented in a panoramic view in order to guide the attention through the collection at large.
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par Jimmy Rachez
Alone Facing my own thoughts, my images tell of my chaotic daily life marked by an absence that leaves traces. In a spirit of openness to the world and self-construction, my installation opens my interior to the outside world through a series of photographs done in an organic way in my private space. Between the dry and the wet I am trying to find my balance.
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par Bianca Maldini
As evidenced by ancient Calabrian tales and popular beliefs, blood, symbol of absolute bonds, influences free will and life cycles. I left, looking for these stories, to find out that, what today is linked to childhood, comes from an ancient communion with nature that modernization is eroding. Combining images and words, I explored the boundary between fantasy and reality at the origins of myths. The project raises thoughts on the fascination for the ancestral and the dynamics of acceptance of the fantastic mixing anthropology and visual art.
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We are living in a feedback loop between digital technologies and our perception of the world, and what surrounds are multitudes of constructed realities. Light fields, 3d scanning, and photogrammetry are advancing the potential of computational realism, drawing upon scientific principles, theories and techniques prior to the advent of photography. It was Leonardo da Vinci who originally conceived of the Plenoptic Function, and Michael Faraday who theorised light to have a field. What has had to happen is for technology to catch up, and the result is the rapid metamorphosing of lens-based media, and an explosion of a new kind of realism.