Identité Visuelle – 2019

Identité Visuelle – 2019

Le style typographique international (ou style international), également connu sous le nom de Swiss style, est un courant du design graphique développé en Suisse dans les années 1950, notamment par Armin Hofmann et Emil Ruder. Il met l’accent sur le dépouillement, la lisibilité et l’objectivité, en utilisant des polices de caractères sans-serif comme élément principal et structurant du design. Parmi les identités d’entreprises et logos emblématiques du style international, on peut citer American Airlines, (1967, Massimo Vignelli) Fiat, (Jean Reiwald et Armin Vogt), ou Swissair (1978, Karl Gerstner). (source: wikipedia) Un des effets de ce style très répandu (et plutôt rigide) est que tout finit par se ressembler. Pendant le semestre prochain, vous donnerez une personnalité identifiable à une marque, dans le sens figuré du terme.

Projet d’atelier (2019) avec Jonas Wandeler

Étudiant·e·s
Marvin Armand, Sidonie Bays, Guillaume Besson, Arnaud Claret, Elise Connor, Jean Ducret, Loïc Dupasquier, Astrid Durand, Basile Fournier, Leah Hardy, Lucas Haussener, Bruno Jolliet, Alexandre Lescieux, Niki Paltenghi, Noé Proton, Aurore Péry, Lou Rais, Jean Reynaud, Arthur Seguin, Andréa Uldry
Savoir-faire
Identité visuelle

Le style typographique international (ou style international), également connu sous le nom de Swiss style, est un courant du design graphique développé en Suisse dans les années 1950, notamment par Armin Hofmann et Emil Ruder. Il met l’accent sur le dépouillement, la lisibilité et l’objectivité, en utilisant des polices de caractères sans-serif comme élément principal et structurant du design. Parmi les identités d’entreprises et logos emblématiques du style international, on peut citer American Airlines, (1967, Massimo Vignelli) Fiat, (Jean Reiwald et Armin Vogt), ou Swissair (1978, Karl Gerstner). (source: wikipedia)

Un des effets de ce style très répandu (et plutôt rigide) est que tout finit par se ressembler. Pendant le semestre prochain, vous donnerez une personnalité identifiable à une marque, dans le sens figuré du terme.

Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry
Aurore Péry

1/13

Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Niki Paltenghi
Aurore Péry

1/10

Eugénie Simeon
Eugénie Simeon
Eugénie Simeon
Eugénie Simeon
Eugénie Simeon
Eugénie Simeon
Eugénie Simeon
Eugénie Simeon

1/8

Projets liés à Identité visuelle

Alfredo Venti – Points de rencontre/Treffpunkte

BA DESIGN GRAPHIQUE

Alfredo Venti – Points de rencontre/Treffpunkte

by Alfredo Venti

Points de rencontre/Treffpunkte est un système graphique inclusif conçu pour rendre les ressources socioculturelles plus visibles et accessibles aux personnes en situation d’isolement linguistique, ou à celles et ceux souhaitant rejoindre un tissu social. Inspiré des outils pédagogiques destinés aux allophones, il repose sur un usage combiné de pictogrammes, de couleurs, de mots-clés visuels et d’une signalétique modulaire. Déployé aux entrées des centres sociaux via des panneaux interchangeables, ainsi que par des campagnes d’affichage (imprimés et digitales), il rend ces structures visibles dans l’espace public à celles et ceux qui cherchent un service, un réseau, ou simplement un lieu accueillant.

Emilie Maier – Moji

BA MEDIA & INTERACTION DESIGN

Emilie Maier – Moji

with Pauline Saglio, Christophe Guignard, Alain Bellet, Gaël Hugo, Laura Nieder, Lara Défayes

Un mot de passe trop simple peut être décrypté en quelques secondes. Beaucoup réutilisent le même depuis des années ou confient tous leurs mots de passe à des logiciels spécialisés, en comptant ne pas avoir à s’en souvenir eux-mêmes. Moji propose une alternative ludique et accessible pour renforcer notre sécurité numérique, sans complexité. Pensée pour les personnes peu à l’aise avec ces enjeux, l’application accompagne l’utilisateur pas à pas, guidé par Moji - un petit personnage qui simplifie la création de mots de passe et rend leur mémorisation plus intuitive. L’ensemble de l’expérience est conçu pour être fluide et non anxiogène, transformant ainsi une tâche souvent pénible en un moment simple, guidé et rassurant.

Eliot Dubi – JUST IN CASE

BA DESIGN GRAPHIQUE

Eliot Dubi – JUST IN CASE

by Eliot Dubi

À l’échelle d’un individu, on ne peut ni prédire ni empêcher la prochaine catastrophe; on peut seulement s’équiper des bons réflexes pour y faire face. JUST IN CASE est un site web qui rassemble, en quatre scénarios – grands incendies, ruptures de barrage, accidents industriels et séismes – les gestes essentiels à mémoriser quand tout bascule. Une arborescence claire, des textes concis et le style illustratif en aplats rendent l’apprentissage accessible sans sensationnalisme. Un triptyque d’affiches assure la promotion auprès du grand public. Pensé pour une génération inondée d’alertes anxiogènes, JUST IN CASE transforme l’inquiétude en gestes simples, immédiats, juste au cas où.

Candice Aepli – Brindille et Azilise

BA DESIGN GRAPHIQUE

Candice Aepli – Brindille et Azilise

by Candice Aepli

Brindille et Azilise invite à imaginer l’espace des petits autrement, en offrant un univers ludique et vivant dans la chambre des enfants. Ici, l’histoire ne se lit pas entre les pages, elle se couche sur le sol, grimpe jusqu’aux fenêtres. Elle se glisse sous un bras. Elle borde les rêves. C’est tout un monde à hauteur d’enfant, où les écosystèmes prennent vie à travers le mobilier et transforment le quotidien en terrain d’exploration. Le jardin, collection numéro 1 Le jardinier a glissé des graines dans la terre, le soleil brillant réchauffe les pétales, la souris grignote en cachette, et dans ce coin plein de vie, chacun s'affaire, et tout le monde sourit.

Dorian Pangallo – Sublime Démocratie

BA DESIGN GRAPHIQUE

Dorian Pangallo – Sublime Démocratie

by Dorian Pangallo

À l’ère où les crises se succèdent et justifient l’exception permanente, Sublime Démocratie agit comme une campagne critique multimédia. Elle met en scène des démocraties vidées de leurs fondements, dont les symboles persistants maintiennent l’illusion. Conçue comme une fable contemporaine, l’œuvre s’appuie sur des discours présidentiels précis et des visuels léchés. Elle intègre l’IA comme moteur d’un processus critique, où le faux devient langage. En jouant des codes du pouvoir, le projet glisse de la normalité au malaise. Il questionne notre accoutumance à la peur, à l’autorité et aux récits dominants.

Formations liées